chapitre 14

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Hayat est venu le matin tôt,pour qu'on aille acheter un caftan j'ai pris 80€ avec moi normalement c'est suffisant. Elle avait pris 200€ mddrr. A croire elle acheter sa robe de mariée. On était dans la boutique, il y avait beaucoup de choix

Hayat: bon ta une idée de ce que tu veux prendre ?

Moi: non elles sont trop belle j'hésite entre 3

Hayat: essaie pour voir

Moi: alors attend

C'était soit un caftan bleu, soit un caftan orange, sinon un caftan blanc

J'ai essayé la bleu, la orange, et ensuite la blanche. J'ai eu mon coup de cœur pour la bleu

Hayat: waaa on dirait c'est toi la mariée carement

Moi: merci mais sa va allé hein

Hayat: je prends la quelle?

Moi: la violette elle est grave belle, elle te vas trop bien

Hayat: cb j'écoute ce que tu me me dit

Du coup on à acheter nos caftan, et on est parti au Flunch. On a pris une glace et on a discuté pendant 2h. Après sa, je suis rentré chez moi, et elle aussi

Mama: alors vous avez trouvé vos caftans ?

Moi: oui on a trouvé

Bilel: y'aura qui au mariage?

Mama: Younes et toute sa famille pourquoi?

Bilel:la salle elle est mélangé ?

Mama: non

Bilel: je t'ai a l'oeil toi je vois Younes, ou un autre gars venir te voir je te tue toi et lui

Moi: orh mais c'est pas possible

Bilel : ferme la et pose pas de questions

Moi: bref, je me casse tu me soule

Bilel: je fais sa pour ton bien Hbiba

Moi: oui mais non, toujours tu parles de lui a croire on est ensemble

Bilel: je sais que t'es pas comme sa, mais fait gaffe, les gars d'aujourd'hui, ils sont pas stable

Moi: oui

Bref je vous passe une semaine une semaine, c'était le jour du mariage. Je me prépare je met mon caftan bleu, la ceinture, les boucles d'oreilles et le collier assorti. Je me fait des boucles artificielle, je met des talons argenté, et je me maquille. Hayat arrive chez nous elle était magnifique

Hayat: t'es trop belle mashallah

Moi: tu t'es vue?? T'es encore plus Belle que moi

Hayat: en tout cas, Younes il va tomber sous ton charme

Moi: si seulement..

Chronique de Maïssa: « Un plaisir, pour un regret éternel »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant