Chronique de Maïssa: « Un plaisir, pour un regret éternel »

Chapitre 27

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J'étais dans mon lit. Profondément endormi. J'entendais pas le bruit qu'il y avait autour. J'étais pratiquement paralysé jusqu'à que quelqu'un me réveille brusquement.

Mama: ohh réveille toi!!!

Moi: mmmh?

Mama: va rapporter un plat à Khalti Saïda.

Moi: non.. j'ai la flemme

Mama: allez stp Vsy!!

Moi: orhh

Je reçois un message de hayat me disant « oublie pas qu'on a une sortie, prépare toi. » j'avais complètement oublier.

Je fais aucun changement à ma tenue, ni à ma coiffure. J'avais honte d'aller chez Younes, après ce que qui c'était passé la veille.. Je ne voulais ni le croiser, ni le regarder dans les yeux.
Je pars de chez moi, et je vais chez elle. Arrivé en face de chez elle, je sonne, mais personne me répond. Je décide de rentrer, et elle était là, mais visiblement elle ne m'avait pas entendu.

Khalti Saïda: selem hbiba!! Tu m'as manqué!

Moi: selem Khalti, moi aussi.

Khalti Saïda: sa va toi?

Moi: sa va hamdoullilah ett?

Khalti Saïda: sa va sa va. Tu veux manger quelque chose?

Moi: non sa va allez tkt pas.

Khalti Saïda: merci pour le plat ma fille.

Moi: Derrien. Bon je pense que je vais partir

Khalti Saïda: tu veux pas rester un peu?

Moi: non tkt pas, j'ai des choses à faire

Khalti Saïda: d'accord, reviens quand tu veux, et passe le Selem à ta mère!

Moi: oui je le ferai. Selem

Je pars d'ici, je ne suis même pas parti voir Younes. J'avais honte, de m'être laissé faire,alors qu'il ne l'a pas fait. Je culpabilisais qui m'est approché autant, je n'avait jamais fais sa auparavant. J'arrive chez moi, et mon téléphone sonne.

Moi: oui?

Hayat: ta finis de te préparer?

Moi: Ehh j'ai pas commencé

Hayat: putain bouge toi

Moi: écoute je ne pense pas y allez.

Hayat: pourquoi wsh?

Moi: jsp j'ai pas envie

Hayat: c'est par rapport à hier soir c'est sa?

Moi:...

Hayat: orh sa va c'est pas comme si vous l'avez vraiment fait

Moi: bref

Hayat: tu veux on reporte?

Moi: oui stp

Hayat: d'accord.

J'ai raccroché, et Bilel apparaît comme sa. Il froncé les sourcils.

Bilel : il c'est passé quoi hier soir?

Moi: bah rien. Tu t'es vraiment arrêté à sa?

Bilel: me prend pas pour un con

Moi: mais rien je te dis.

Bilel: y'a qui a ton arrêt de bus?

Moi: des gens