Chapitre 9

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On était un vendredi soir, c'était les vacances. Je suis parti chez hayat, parce que sa faisait longtemps qu'on s'était pas vu. J'ai préparer mon sac, c'est ma mère qui m'a déposé parce que personne voulait. Je ne vise personne. J'arrive chez elle, et elle m'accueille en me balayant. Sympa. Je lui met une gifle mais elle cours après moi. J'ai des petites jambes, donc qui dit petites jambes dit tomber. Je me suis bien cassé la gueule. Carement j'ai un gros bleu sur la joue. Merci hayat.

Hayat: bahaha t'es tombé comme une merde

Moi: tg attend que je te mette un chasser toi

Hayat: ta taille stp?

Moi: sayez cb vous m'avez soûler avec ma taille

Hayat: mais tkt c'est mignon.

Moi: bref viens on va s'asseoir dans ta chambre

Hayat: je sent que ta des trucs à me raconter toi

Moi: oui c'est pour sa assis toi

On s'assoit, je lui explique qu'es qui c'est passer avec Younes. Elle était choqué mais elle trouvée sa étrange

Hayat: il est bizarre lui a regarder ton cul

Moi: mais arrête ferme ta bouche

Hayat: en même temps ta des belles fesses

Moi: je suis désolé mais tu m'incites à partir

Je pars en la laissant en plan

Hayat: cb mddrr je rigole avec toi.

Moi: il serait mieux de dormir

Hayat: Vsy on va faire dodo

Moi: oui stp je suis épuisée

Hayat: c'est à cause de l'autre?

Moi: oui il est chiant, il me fatigue

Hayat: je vois. Bonne nuit

Moi: bonne nuit

Le lendemain on se réveille, il fait beau mais pas très chaud. On était en vacances de la Toussaint. Je me prépare je prend le petit déjeuner. Y'avait son frère Noham, sa petite sœur Camilia, et son autre petite sœur, Mélina. Y'avait aussi sa mère elle s'appelle Soraya. Elle se prépare elle aussi, on pars pour aller chez moi. J'arrive chez moi, et je vois beaucoup beaucoup de monde. Beaucoup trop même. Y'avait Khalti Saïda, ses fils dont, Younes, Ibrahim et Sofiane. Y'avait des copines à ma mère Badia, sa fille son fils, bref y'avait pratiquement toute la ville. Moi à ce momant la j'avais un legging, un long Sweat, et j'avais les cheveux lisses détachés.

Khalti Saïda: tu m'as manqué ma fille !

Moi: moi aussi Khalti

Khalti Saïda: ta fille est vraiment belle masha allah

Mama: oui elle est belle, elle a des bonnes notes, elle a un bon coeur

Moi: Mercii mais je pense pas

Khalti Saïda: tu es trop dur avec toi même hbiba

Je hausse les épaules, et je monte dans la chambre j'étais fatiguée. Encore. Du coup je monte dans ma chambre, je suis dans ma chambre à peine je rentre je vois un homme. Pardon??
J'étais choquée

Moi: qu'es que tu fous dans ma chambre?

Younes: je suis venu ici pour dormir,hella ta chambre

Moi: y'avait la chambre a mon frère juste à côté tu vois?

Younes: non mais les matelas c'est pas le même

Je hausse les sourcils, pourquoi il voulait venir dans ma chambre, et pas celle de mon frère en plus c'est un gars

Younes: j'ai fouillé tes affaires

Moi: qui t'a permis ?!?

Younes: t'en cache des choses dit donc

Moi: je vais te tuer

Younes: Orhh sa va on peut pas faire de blague, j'ai pas fouiller ta chambre de merde

Moi: j'espère

Younes: je vois que ta des choses à cacher

Moi: sa te regarde pas

Younes se lève de mon lit, et essaie de fouiller un des tiroirs, mais je me place devant. Il arrive à me poucer mais j'arrive à revenir en face de lui.

Younes: je vois que tu veux résister, très bien

Il me porte comme si j'étais un sac à patate et me met dans mon lit. ( n'ayez pas l'esprit mal placé svp) il était en face de pendant que moi j'étais allongé en face de lui. J'essaie de me lever, mais il me tient.

On reste comme sa en se regardant pendant 5 bonnes minutes, quand on sent une présence de quelqu'un on se retourne.

Khalti Saïda: je vois que vous vous amusez bien

Je me leve direct gêné, j'avais pas d'intention derrière la tête c'est lui il m'a porté jusqu'à mon lit comme un sac de course.

Moi: tata c'est pas ce que tu crois

Khalti Saïda: j'aimerais beaucoup que tu te marie avec un de mes fils

Me marier avec Younes??? Mais sa va pas?

Khalti Saïda affiche un sourire au coin et descend en bas

Younes: je vois que ta kiffer que je te porte

Moi: pardon? Mais sa va pas?? Ta quoi dans le crâne ?

Younes: c'est sa, fait genre de rester dans le dénis

Moi: tu whippin tout de A à Z

Il rigole et il quitte ma chambre. Enfin. Il descend en bas comme si de rien était. Je comprend pas ce qu'il a dans le crâne. Carement sa m'intrigue, et m'inquiète. Prochaine fois je lui met mon poing dans sa gueule.

🤍

Chronique de Maïssa: « Un plaisir, pour un regret éternel »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant