Chapitre 6 - Vol de Toxico chez les Haitanis

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Tu n'as pas le temps de crier à Sanzu de revenir, la porte s'ouvre en grand, et deux garçons apparaissent.

- Oui? C'est pourquoi? Dit celui aux tresses.

- Heu... Enfaites je suis... Je cherchais...

- Bon, tu t'esplique oui, dit celui aux lunette.

- Du calme Rindo, soupire celui aux tresses.

- Je suis calme.

- C'est ça, autant que tu l'était quand Angry t'a embrasser.

- Je t'emerde, moi au moins j'ai eu les couilles de lui dire que je l'aimais, toi c'est Smiley qui a fait les premiers pas.

- C'est moi qui l'ai draguer!

- Mais oui, c'est ça c'est ça...

- MAIS TU ME... Hé mais attend... Tu veux quoi déjà? Dit-il en se retournant vers toi.

- Enfaites je... Je suis dans votre classe...

- Notre classe?

Et merde

- Dans... Enfin dans celle de M.Rindo et... Je voulais savoir si on avait des devoirs... Et vu que j'habite juste à côté et que ma pote me repond pas au téléphone...

Mais oui le vouvoiment c'est credible...

- M. Rindo, carrement, ce marra le grand.

- Pourquoi tu m'appelle M.Rindo? S'étonna Rindo.

- Ba je ne peux pas vous appellez Haitanis...

- T'es sure que t'es dans ma classe? Je me serai souvenus si j'avais une fille aussi mignone que toi dans ma classe...

- Oh je vais le dire à ton copain.

- Tu fais ça je racconte des trucs honteux sur toi à Smiley.

- Si tu fais ça je montre une photo de toi bambin à Angry

- Si tu fais ça, je...

Soudain, tu entend un bruit de verre cassé, et tu apperçois une méche rose derière les frères. Ils vont se retournés... Tu lance en vitesse:

- Et pour les devoirs ducoup?

- Aucune idée, j'ai une tête à faire mes devoirs? Dit Rindo.

- ... Oui?

- C'est les lunettes, intervient le tressé, ça te donne un côté intelo.

Soudain, un autre bruit se fait entendre. Tu te met à tousser et tu dis les larmes aux yeux:

- Gomen.

- Mais pourquoi tu t'escuse?

- J'ai fait du bruit en toussant.

- ... Tout vas bien? T'es maltrété chez toi?

- Heu non...

- Tu es sure?

- Oui...

Un nouveau bruit se fit entendre.

- Rindo t'a entendu?

- On dirait qu'un truc est tombé Ran.

Vite, trouver une escuse. Ton cerveau est en ébulition, les premiers mots qui te viennent à l'esprit sont ceux-ci:

- Vous aussi vous avez une sourie?

- Une sourie? S'étona Ran.

- Ou...Oui? On en avait une chez nous, elle sortait parfois la nuit et elle cassait tout!

- On a une sourie? S'étonne Rindo.

- T'inquiète frangin on a qu'à rentrer et la buter. Tu nous escuseras ... Heu...

- T/p, T/p Juïo.

- On va aller tuer le sourie.

- NON!

- Hein? Ba si.

- Je... Je suis pour la protéction des animeaux. Vous ne pouvez pas la tuer!

- Ba si, c'est simple, on place un bout de fromage dans un piege à sourie. On prend la sourie et on la tue avec une barre de métal et voila.

- Avec une barre de métale!

Il est fou!

- Ba tu préfère le couteau?

- MAIS ON NE TUT PERSONNE!

- C'EST UNE SOURIE PAS UN ËTRE HUMAIN!

Cette fois, un bruit sourd ce fit entendre, et les Haitanis se retournent. Sanzu se tient juste devans eux.

-... Merde. T/p t'est pas douée!

- Pardon! JE suis pas douée! Tu n'as pas arreter de faire tomber des choses!

- Vous vous rendez compte que vous êtes en train de vous disputez alors que vous venez de vous faire prendre...

- Heu...

- COUR T/P, dit Sanzu en forçant le passage, un carton dans les mains.

- HE MAIS ATTEND MOI!

- GROUILLE TOI!

Tu te mis à courire dérrière Sanzu, poursuivis par les frères. 

- Vous êtes morts! Cria Ran

- On est mort, tu gémis.

- TAIS TOI ET COUR! Te repris Sanzu.

- On va ou?

- Ici!

Il virra de bord et se dirigea vers un imeuble. Il rentra du justesse dans l'accenseur, et apuya sur la fermeture des portes. Tu te glissa entre les portes, qui se refermère dèrière toi.

- Il vont prendre les escaliers, préviens Sanzu.

Il apuya sur le bouton 1. Arriver à cet étages, il apuya sur la fermetures des portes avant qu'elles n'ai eu le temps de s'ouvrir et apuya sur le rez-de chaussée. Arrivé au rez-de chaussé, il demanda l'ouverture des portes et te pris la main. Vous courrez dans les rues, jusque dans un autre imeuble. Il te fit monter dans un apartement.

- On est où? 

- Chez moi.

- Hé! C'est moche.

- Mais va te faire enculer batarde!

- Par qui?

- Par ton copain.

- Je suis célib batard.

- Ah moi aussi.

- En même temps le contraire m'aurait étoner.

- Mais ta gueule!

- Tu viens de voler de la drogue!

- Non, ON viens de voler de la drogue. Tu veux la gouter.

- Tu sais quoi?

- Quoi?

- Carrément.



Juste pour planer (SanzuXReader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant