Il est à présent 9 heures du matin, je suis en marche vers l'aéroport de la Nouvelle-Calédonie avec ma famille pour prendre l'avion direction les jeux olympiques. Mon frère Maxime y est déjà entrain de se prélassé dans son hôtel près de l'arena. J'enregistre mon billet en même temps que mes parents et avance pour rentrer dans l'avion. Je chercher ma place et bingo je suis côté hublot même si ma vue sur l'aile de l'avion laisse à désiré. Au moment d'éteindre mon téléphone je reçois une photo d'un certain Maxime Grousset dans son lit King size entrain de me narguer, pendant que moi je suis sur un siège de 50 cm de large avec un monsieur qui abaisse son siège pratiquement sur mes genoux. Certes ce n'est pas du luxe mais sa suffira pour deux heures de vol.
Malgré quelques turbulences en arrivant en France à cause de ce mauvais temps nous somme arrivés entier à Paris, même si ma mère me raconte toutes les peurs qu'elle a eu durant le vol pendant que l'on attend les valises.
- Non mais Alice tu ne te rend pas comptes comment j'ai eu peur quand l'avion a commencé à se secouer ou quand les lumières se sont éteintes et quand..
Ouff sauver par ma valise que j'aperçois au loins, je la laisse finir son monologue seule et pars récupérer mon bagage, j'attrape au même moment la grosse valise que mes parents se partagent. Elle est tellement lourde qu'on dirait qu'ils transportent un cadavre à l'intérieur. Je la ramène au pieds de mon père qui sort tout juste des toilettes et nous nous rendons à la sortie de l'aéroport pour chercher notre taxi.
Un homme avec une pancarte « Grousset » nous y attends.
Je le salue par politesse mais un blanc s'installe rapidement quand je me prend le vent du siècle par le chauffeur qui se retourne pour mettre les valises dans le coffre. C'est donc sa l'humeur des parisiens d'aujourd'hui ? Je n'adresse plus un mot, mon père donne l'adresse au chauffeur et le rentre dans le gps. Après une heure et demie de bouchons avec supplément les policiers qui fouillent nos affaire et le bonus du chauffeur apparemment muet, nous arrivons enfin devant l'hôtel.
Nous donnons notre noms à l'accueil, qui nous donna deux clés, l'idée de ne pas partager la chambre avec mon frère me réjouis beaucoup. Au moment de me retourner j'entends un son strident qui me bourdonne à l'oreille.-ALICE AU PAYS DES MERVEILLES !! Crie Maxime à travers le hall de l'hôtel.
Les regards des gens se tournent vers moi et mon regard exaspéré se tourne lui vers mon frère.
- Ma petite sœur préférée est la ici présente. Me dit-il en me serrant fort voir un peu trop fort dans ses bras que l'air devient compliqué à respirer.
- Tu sais que tu en a qu'une de sœur donc heureusement que je suis ta préféré. Dis je en le repoussant plus loins.
- Je m'imagine mal en avoir deux comme toi en même temps. Dit il en rigolant avant d'aller saluer nos parents.
Je souffle, ce n'est que le début mais il me fatigues déjà. Je récupère la clé de ma chambre sur le comptoir de l'accueil et je vais en direction de l'escalier central. Chambre 318 au troisième étage bien sûr. Sachant qu'il m'est impossible de prendre l'ascenseur étant donné que je suis claustrophobe je vais devoir me taper les trois étage d'escalier. Aller courage Alice c'est pas deux trois marches qui vont te faire peur.
J'en peux plus je dois faire une pause, arrivé au deuxième étage, mes jambes ne suivent plus, je m'assois sur ma valise en espérant qu'elle se mette à grimper toute seule. Après 5 minutes toujours aucuns miracles, je me redresse et la saisit avant que quelqu'un m'interpelle.- Vous avez besoin d'aide mademoiselle ? Me demande un plutôt bel homme à mon goût.
- Oui je vous avoue que sa ne serait pas de refus. Rigolais je en répondant.
Il l'a prise comme un bébé comme si elle ne pesait que deux-trois grammes. Je lui indique le nom de ma chambre 318. Et il posa ma valise juste devant.
-Mercii beaucoup j'y serais sans doutes pas arrivé toute seule.
- C'est normal, au fait moi c'est Léon si jamais tu as besoin d'aide j'ai la chambre 316 juste à côté. N'hésite pas surtout. Me dit il en m'adressant un clin d'œil.
- Et moi Alice, c'est gentil de ta part mais je pense que je pourrais survivre, cet hôtel n'a pas l'air si horrible que sa.
- On ne sait jamais, je te laisse alors je dois aller m'entraîner, à la prochaine Alice. Dit Léon en m'adressant un sourire charmeur avant de s'éloigner.
Je souris comme une idiote dans le couloir avant de rentrer dans ma chambre ou d'au moins essayer d'y rentrer. Je n'arrive pas à tourner la clé, peut être par manque de force ou d'habilité. Mais je devais compter sur moi même. Mon miracle de la valise venait de partir à l'entraînement.. oh sa veut sûrement dire que je viens de parler à un athlète, oh mon dieu un athlète viens de m'aider !!- Excusez-moi mademoiselle vous avez un soucis ? Me demande un homme qui travaille sûrement pour l'hôtel.
Je sors de mes pensées et répond,
-Oui ma clé ne veut pas se tourner je ne comprends pas pourquoi..A peine ai je fini ma phrase que la clé se tourne et la porte s'ouvre subitement me faisant basculer de l'avant.- Vous allez bien ? Me demande l'homme inquiet.
- Sa devrait aller. Dis je en m'empressant de me remettre sur pied, heureusement que je ne suis pas tombé devant Léon sa aurait été la honte je n'imagine même pas.
Je rentre ma valise et ferme la porte derrière moi, je me pose ensuite sur le grand lit que la photo de mon frère m'avait promise auparavant . Je me pose seulement que deux minutes.
Bonjour je vais essayer d'écrire un peu tous les jours n'hésitez pas à me dire si vous avez des idées ou si vous remarquez des fautes d'orthographe 🫶🏼
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Plus que de simples amis
FanfictionAlice Grousset se rend à Paris pour supporter son frère lors des jeux olympiques et rencontra très vite Léon Marchand un ami proche de son frère Maxime.