La grosse punition de thomas

Chapitre 5 :Révélations Réconfort et étonnement

Le samedi matin se leva avec une douce lumière filtrant à travers les rideaux de la chambre de Thomas. C'était un jour particulier : il n'y avait pas de garderie pour Ralph, car c'était le week-end, et Carla, la sœur de Thomas, dormait encore paisiblement. Jenny, la mère de Thomas, décida de le laisser dormir un peu plus longtemps ce matin-là. Cependant, en entrant dans la chambre autour de 9h00, elle fut immédiatement frappée par une odeur nauséabonde.

L'inquiétude se peignit sur son visage alors qu'elle se demandait si son fils avait été malade. Avec une douceur et une compassion qu'elle n'avait pas manifestées depuis le début de la punition, elle s'approcha de lui. « Thomas, mon chéri, est-ce que ça va ? » demanda-t-elle en le réveillant doucement.

Thomas, les yeux encore lourds de sommeil, se mit à sangloter. « Non, maman, j'ai eu mal au ventre, j'ai eu du mal à m'endormir, et je crois que j'ai eu la diarrhée, » répondit-il entre deux sanglots.

Jenny, avec une tendresse infinie, lui demanda de la suivre jusqu'à la salle de bain. Là, elle lui enleva soigneusement la gigoteuse qui le couvrait. En observant la couche débordante, elle réalisa l'ampleur du désastre. « Eh bien, mon petit, il va falloir faire un grand nettoyage. Ta couche a débordé, ta gigoteuse et tes draps sont tout sales, et toi, tu as besoin d'une bonne douche. Ton body n'est pas dans un meilleur état, » dit-elle en l'observant avec une affection maternelle.

Thomas, rouge de honte, avait du mal à accepter qu'on le traite encore comme un bébé. La dernière fois que sa mère l'avait lavé, il n'avait que trois ans. Étonnamment, alors que Jenny le lavait, il ne ressentait pas la honte habituelle. Au contraire, il éprouvait une étrange sensation de confort et de bonheur, comme si quelque chose de réconfortant était lié à ce soin maternel.

Après la douche, Jenny enveloppa Thomas dans une nouvelle couche et enfila un body blanc orné d'un crocodile sur une petite île. Par-dessus, elle lui mit la tenue que Carla avait choisie : un haut rose à manches longues avec une jupe en froufrou et un motif de cheval en bas, associé à des collants roses moulants qui dessinaient la couche sous la jupe. Jenny lui dit de descendre de la table à langer et de se rendre à la cuisine pour le petit-déjeuner.

À quatre pattes, Thomas se dirigea vers la cuisine, honteux de sa tenue. Une fois assis, il remarqua que la jupe rose cachait sa couche. En regardant son reflet dans le miroir, il vit un enfant en tenue de petite fille, avec une couche et une tétine.

Jenny lui servit un biberon de lait pour le petit-déjeuner. Thomas, désormais habitué à répondre aux besoins de sa vessie sans trop y penser, fit pipi dans sa couche sans y prêter grande attention. Ses anciens blocages avaient disparu, et il se lâchait dès qu'il ressentait une envie.

Vers 10h40, Carla se réveilla et vint directement vers Thomas pour lui faire un câlin et un bisou. « Coucou mon bébé grand frère, tu es magnifique dans ta tenue, » dit-elle en le regardant avec un sourire.

Rouge de honte, Thomas lui répondit timidement, « Bonjour Carla. »

Carla dit également bonjour à sa mère et lui annonça qu'elle allait rejoindre sa meilleure amie Stéphanie au centre commercial. Après avoir pris son petit déjeuner, Carla quitta la maison. À 11h, le téléphone sonna. Jenny décrocha et entendit Léna, qui demandait si Jérémy pouvait venir voir Thomas.

« Oui, bonjour Léna, comment vas-tu ? Oui, bien sûr, Jérémy peut venir, mais tu l'as mis au courant pour Thomas ? » demanda Jenny.

Léna répondit : « Oui, bien sûr. »

Jenny demanda alors : « Comment a-t-il réagi ? »

Léna répondit : « Eh bien, il a été surpris, mais il m'a dit que tout le monde a une part de secret et que cette punition est peut-être trop sévère. Peu importe, même si Thomas porte des couches, c'est son meilleur ami. »