Katsuki
Izuku : Merci de m'avoir soigné le joue
- C'est normal en même temps c'est moi qui t'as blessé
Izuku : Oui mais c'était pour me donne une leçon .
- Oui. Je mit l'une de mes main sur une de ses jambes et la caressa légèrement
Izuku : Katsuki ?
- Tu m'autorisé à voir tes brûlures ?
Izuku enleva l'un de ces bantage pour me laisse voir. Je les toucha légèrement en lui faisant des petits caresses
- Je te fais mal quand je te les touches ?
Izuku : Non sa me détend
- Alors quand je te les touches sa te soulage ?
Izuku : Oui énormément
- Ok. Je me tue un moment. Izuku ?
Izuku : Oui
- Pourquoi est tu autant fatiguée ?
Izuku : C'est juste que pendant tout l'année de 4ème et la moitié de 3ème je ne dormait plus à cause de mes brûlures et du coup j'ai débloqué des insomnies.
- Ok et tu dort combin de temps par jours.
Izuku : 2 3heure par nuit
- Et avec moi ?
Izuku : 5heure mais en même temps c'était le temps qui nous restait pour dormir.
- Oui.Izuku mit sa tête sur mon épaule
Izuku : Katsuki ?
- Ouais
Izuku : Est ce que tu pourrais me mettre de la crème solaire ?
- Bien sûr espèce d'inconscient, met toi sur le dos
Izuku ce mit sur le dos pendant que je l'étala de la crème sur le dos, puis je redescendu mes mains de plus sens plus vert ces fesses.
Izuku : Katsuki ?
- Ouais
Izuku : Tu peux remontez tes mains s'il te plaît
- Tch.
Les heures passa et fut leur de rentre, on entra pour aller cuisiner des pommes de terres avec un steak.
Izuku s'occupa de faire les steak pendant que je coupa de la sipoulet. Je tourna la tête et le vit me regarde
- Qu'est-ce que tu veux le nerd ?
Izuku : Rien je regarde
- Ok tu as fini avant de venir me voir ?
Izuku : Presque je dois retourner.
Izuku parti et je l'entendit faire un petit crie de douleur, je me retourna avec une brutalité qui me fit saigner l'un de mes doigts et m'avança vert lui et lui prit la main
Izuku : Katsuki
- Ferme la. Je parti lui chercher des glaçons et des bantage et le soigna. Fait attention la prochaine fois
Izuku : Oui. Il mit sa main sur mon doigt. Tu saignes ?
- À sa laisse tombe c'est rien.