Ces maux de tête incessants,
Ces regards devenus oppressants.
Deux choses sans aucun rapport,
Et pourtant, elles me blessent si fort.Fatiguée par le jour qui s'étire,
Fatiguée par ces pensées qui s'empirent.
« Et si tout s'arrêtait ? »
« Qui donc s'y intéresserait ? »Quand j'y pense, j'ai pitié,
Pitié de moi,
Me voyant sombrer à chaque fois.
J'avance d'un pas, je crois,
Mais dix en arrière, c'est là que je vais.Cette routine qui tourne en boucle,
Cette vie qui semble un cercle sans souplesse.
Je n'ai qu'une seule envie,
Celle de vraiment vivre ma vie,
Sans que personne ne vienne m'en empêcher,
Sans entrave à mes progrès espérés.
VOUS LISEZ
Melancholia
PuisiUn recueil où chaque jour fut un jour essentiel pour celle que je suis dorénavant devenue.