L'improbable

Chapitre 20 sa fait mal

Alyssone

Il est vingt heures. Et j'ai passé toute la journée dans ma chambre après la réunion, Léandre ma rejoint et ont regardé un film en mangeant des pop-corn. Je ne lui avais pas posé de question par rapport au fait qu'il était gay. Ce qui est le plus étonnant, c'est qu'il n'en a pas l'air. Il m'a déjà dit qu'il parler à plein de femme mais c'était peut-être un mensonge ?

Je sors de ma chambre et descend pour aller voir Léandre. Il m'avait dit de le rejoindre pour qu'on puisse cuisiner tous les deux. Mais la cuisine est déserte.

- Tempi j'ai cas commencer seule. Dis-je en plongeant ma tête dans le frigo.

- Oui tu ferais bien. Il est parti faire deux trois courses.

Je sors la tête du frigo et oh putain

Tayson devant moi en short de bain. Il est trempé. Il doit surement sortir de l'eau.

Je le regardé mais fu déstabilisé par les gouttes qui coulait de ses cheveux

- IL...Il est parti ?

- Oui tu es sourde ?

- Non non mais il aurait pu me prendre avec lui.

- Je te rappelle que tu dois pas sortir la rouquine. Les informations ont vraiment du mal à monter dans ta tête décidément

- Je t'emmerde répond-je

Merde j'aurai dû me taire. Tayson m'attrapa par les fesses et me posa sur son épaule comme un sac à patate.

- Tayson lâche moi.

J'avais enfilé mon pyjama au préalable mais pas de chance pour moi car il est déjà trempé à cause de Tayson.

- Excuse-moi. Lâche-moi maintenant.

Mais il n'en fit rien et c'est vers la piscine qu'il m'amène.

- Non Non NON pas ça...

Mais c'est trop tard, je suis dans l'eau. Il vient de me jeter comme une merde dans l'eau. Je pousse sur mes pieds pour remonter rapidement à la surface.

- Espèce de connard crie-je pour qu'il entende bien.

Il se tourne vers moi

- Tu es sûr de ce que tu viens de dire là ?

- Oh oui, très sûr même. Tu es qu'un connard !

Il se tourne et me fonce dessus. Ce que je veux dire par fonce dessus, c'est qu'il plonge et atterrit à côté de moi. Je cours dans la piscine mais c'était en oubliant que je n'avais pas pieds vers le fond. Alors je nage pour arriver au bord. Je me hisse sur mes mains pour sortir mais mes pieds son pris au piège. Tayson me tire en arrière et je tombe.

Je dois battre des pieds et des mains pour éviter la noyade tandis que lui me regarde galérer.

Il m'attrape par les hanches et me colle à lui.

- Répète dit-il

- Non répond-je

- Bah quoi, tu as perdu tes couilles en route la rouquine ?

- Non mais toi oui apparemment. Ne comprenant pas pourquoi j'ai dit ça, il n'allait pas tarder à le savoir. Je lève mon genou et lui donne un bon coup dans les bourses. Puis je remonte ce petit mur pour sortir de la piscine.

- Connasse ta intérêt à courir vite car je vais te niquer si je t'attrape.

Alors c'est ce que je fais, je cours mais il est déjà derrière moi. Je monte les escalier deux par deux pour arriver plus vite en haut mais je trébuche à la place. Mes pieds son trempés. C'était la source de ma chute. Mais par chance ou malchance, Tayson me rattrapa avant que je n'atterrisse sur le sol.

- A nous deux la rouquine ! annonça-t-il

Il me remit sur son épaule et enjamba les quelques marches qui nous restés. Pendant ce temps, je lui donner des coups dans le dos pour qu'il lâche mais il n'en fit rien.

- Sa sert à rien de te débattre, je t'avais prévenu.

- Je n'ai pas fait exprès, mon genou est remonté tout seule.

il rigole, rigole très fort même. Ça annonce rien qui n'aille.

- Quoi c'est vrai, réfléchie. Pourquoi j'aurais voulu te donner un coup hein ?

- Je ne sais pas pour te prouver que je n'avais pas de couille.

Il ouvre la porte de sa chambre et me jette dans son lit. Puis se met par-dessus moi. Contre toute attente, il ne fit rien.

- Tu attends quoi aux justes touffes de poil ?

- Humm laisse-moi deviner que tu t'excuse !

- D'accord, je suis désolé. Je n'aurai pas du. Je recommencerai plus c'est promis.

- Alyssone arrête de croire que je suis n'importe qui d'accord ? Si je veux demain je te tuer ou pire je te découpe alors arrête de croire que tu peux faire ce qui te chante ok car là, tu es dans mon monde. Et crois-moi que ta vie tu la risque tous les jours en étant avec moi alors arrête tes conneries et obéis quand je te parle !

Je fixé ses yeux choqués par sa déclaration. C'est vrai que je me sens tellement libre que j'oublie souvent dans qu'elle monde on vit.

- Compris ?

- Oui chef. Dis-je essoufflé

Il hocha la tête.

- Tu peux me libérer maintenant ?

- Non-dit-il la tête baissé, je préfère regarder ton tee-shirt.

Je baissé ma tête et vu qu'effectivement mon tee-shirt blanc était devenu transparent. Instinctivement je posé mes deux paumes de mains pour cacher mes tétons

- Les caches pas. J'aime bien voir tes seins

- Pervers

- Non-dit-il. J'aime juste voir que c'est moi qui te les rends si dur.

- Ce n'est pas à cause de toi c'est l'eau. Et on peut en dire autant des tiens.

Je pause une main sur ses abdos et trace le chemin jusqu'à son téton. Puis le toucha.

- Tu vois dis-je, tout dur.

- Oui tous dur, comme ma bite

Je pose mes deux mains sur son torse et le pousse. Il se décale et je me remis sur pied.

- Tu me dégoute. J'ai aucunement envie de savoir que ta bi.. bite et tout dur.

Je tourne les talons et sors de sa chambre.

- Alyssone

rho

- Mais quoi encore ?

Il s'approche de moi

- Je vais partir dans une semaine. Tu seras avec Léandre pendant un mois et demi.

- D'accords bah c'est une bonne nouvelle ça, je peux te dire d'avance que tu ne vas pas me manquer !

Il lève les yeux en l'air l'aire de dire qu'il s'en bat pas mal les couilles.

- Sa je m'en branle. qu'est-ce que j'avais dit ? Tu vas pas me manquer aussi. Mais avant mon départ, j'aimerai en savoir plus sur ton père.

Mon visage venait de pâlir. Je le savais.

- Mon... Mon père ?

- Oui, j'ai de bonne chance de croire que c'est lui derrière la bombe qui t'a été livré l'autre soir

Je regardé mes mains mais elle tremblé, tout mon corps tremblé. Mon cœur lui par contre se battais pour battre.

Mais le trou noir m'emporta avec lui...