Chapitre 26 Plan B

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Léandre

Mon téléphone avait sonné. Je l'avais sentie vibré dans ma poche de costume mais j'étais en pleine discussion avec Rio. Il était trop occupé à me raconter ce qui c'était passé en Russie.

J'ai réussi à me libérer. Je sors mon portable et vois que le message vient d'all. Je lis attentivement et me rue dehors. Je sais que si elle fait une crise d'angoisse elle risque aussi de faire un malaise. Je me dirige vers le banc de derrière mais personne. Je regarde à qu'elle heure elle m'a envoyé le message mais il date de dix minutes. Je me rassure en me disant qu'elle est s'en doute rentrée à l'intérieur. Je montre mon bracelet pour qu'on me laisse passé puis analyse la pièce. Elle n'est pas là ! Je me dirige vers Tayson car je sais qu'il garde toujours un œil sur elle.

Il est en pleine discussion mais je le coupe.

- Bonsoir. Navré de vous déranger mais je vous l'empreinte.

- Putain Léandre qu'est-ce que tu fou ?

- All elle est où

Confus par ma question il hausse un sourcil.

- Comment ça elle est où ? Je l'ai vu sortir y' a dix minutes.

- Oui ça je sais mais tu l'as vu re rentré ?

- Non. Maintenant tu vas me dire ce qui se passe.

Je titube mais doigt stressé par la situation. C'est peut-être rien de grave.

- Bon tu t'inquiètes pas. J'en suis pas certain mais elle m'a envoyé un message me disant de la rejoindre dehors sauf qu'elle n'est plus dehors ni dans la salle.

- Putain j'espère que tu me raconte pas de la merde là ! Ta chercher dans les toilettes, cuisine chambre ?

- Non mais tu as gardé un œil sur elle toute la soirée. Tu l'aurais vu rentrer non ?

- Oui.

Il passe une main dans ses cheveux. Putain il est nerveux.

- Ok appelle là. Elle te répondra.

Je sors mon téléphone et l'appel mais tombe de suite sur son répondeur. J'essaie une autre fois mais pareil.

- Son téléphone a été coupé !

- Ok on passe au plan B

Je hoche la tête et lance l'alarme incendie depuis mon téléphone.

On a tous une arme sur nous. En entendant ça, tout nos hommes sortes leurs armes et tire sur les individus.

Je suis le premier à donner le coup d'envois. Car si c'est pas Tayson, c'est moi. Tayson et partit fermer la porte. Pour que personne ne sorte de la propriété.

Je tire dans tous les sens faisant attention de ne pas tirer sur nos gars. Il avait été donné comme consigne aucune arme. Mais les Italien sont venus avec des couteaux. Je m'en prends un qui m'érafle le tibia. Mais je continue. Certain de nos hommes meurt la jugulaire tranchée. J'avance à mes côte Tayson. Il place toujours son arme de la même manière. Devant lui et un œil plissé plus que l'autre pour une meilleure précision. Je l'admire car contrairement à lui, je n'ai jamais réussi à toucher ma cible avec une arme. C'est pour cela qu'il est toujours à côté ou devant ou derrière moi. Quand je tire mes balles rentre plus en contact avec des pieds alors que je vise la tête. Mais Tayson le fais pour moi. Il les achève pour moi. Quand nous arrivons vers Marcos, je vise son estomac mais ma balle atterrit dans son épaule. Par chance, sa lui fait lâcher son couteau.

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