le Choc

4 0 0
                                    

Oncle Léo, qui est un médecin médico légal, c'est un médecin qui opère les mort, transporta le corps du défunt jusqu'à la rive. Il fit reculer tout le monde. Mère et Tante Sheika tombèrent dans les pommes en voyant le corpso. Père, avec l'aide d' Arthur les ramenèrent dans leurs chambres.
Oncle Léo courra dans la maison et en ramena à grand sac blanc dans lequel on met les cadavres. Il mit Mr Curmis dans ce sac et le porta jusqu'à sa chambre, malgré le poids de ce dernier.
Émilie s'était assise et semblait sur le point de vomir. Père, qui était revenu, n'avait aucune expression sur son visage, peut être à part le dégoût. Stan s'était retiré dans sa chambre. Quand à moi, je me senti neutre, comme si je lisais un livre d' Agathe Christie, ou Ysa Line. Comme si s'était... pas la réalité.
Oncle Léo, Mère, Stan, Arthur, Tante Sheika, mais elle je ne la crois pas, c'est une menteuse voleuse celle là, s'étaient retirés.
Je pris Emilie par la main et je l'entraîne dans la maison.
- Emilie, Emilie tu te rends compte de la chance qu'on a, on a une enquête comme dans tous les livres qu'on a lu. Sauf qu'ici c'est nous les détectives.
- Je crois que tu ne réalise pas, oui Mr Curmis est... était un monstre mais c'est un humain, et on ne doit pas se réjouir de sa mort. Compris ? Mais en attendant, on pert du temps.
- Que veut tu dire ?
- Allons espionner Oncle Léo.
Avant même que je lui dises ma réponse, on était déjà partie.
En montant, nous entendons Père parler tout seul.
- Enfin, sans cette affreuse crapule. L'aire semble beaucoup plus respirable.
Nous montons dans notre chambre.
- Tu crois vraiment que ton père aurait pu tuer Mr Curmis ?
- Comment oses tu mettre mon Père dans la liste des suspects.
- Oui excuses moi je n'aurai pas dû.
Nous sortons de la chambre, pour nous cacher dans une grande mall devant la chambre du défunt.
Au bout d'un certain temps, d'au moins une heure, Oncle Léo sortit de la chambre, et Père le rencontra.
- Alors ? Que se passe t'il dans cette... chambre ?
- Eh bien il semblerait bien qu'il ne soit pas mort noyé. Mais quelq'un lui aurait tranché la gorge.
- Mais c'est... Un meurtre
- En effet, de quelqu'un sans cœur apparemment, tranché la gorge d'un homme encore vivant... C'est ce qui s'appelle être sans sentiment.
- Et bien, je vous laisse retourner à vos... occupations.
Et Oncle Léo retourna dans la chambre. Une fois tout le monde parti, nous sortons de la mall, en sachant plus de choses qu'à l'arrivée, notamment qu'il avait eu la gorge tranché encore vivant. C'est étrangement glauque.
En rentrant dans notre chambre, nous entendons des pleurs, nous écoutons attentivement, nous collons nos oreilles contre à peu près toutes les portes et les sanglots viennent de la chambre de Mère.
- Pourquoi elle sanglote ?
- Bah son ami est assassiné, je comprends comme même un peu. Tu ne crois pas ?
- Oui mais ce nain de jardin lui brouillait ses sentiments, il l'a forcé à l'aimer.
- Oui sans doute.
Dit elle sans grand intérêt.

Comment Je Suis Devenu Détective Où les histoires vivent. Découvrez maintenant