la conscience

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      Assis sur les escaliers de la maison , je repense encore à note enfance . A tout l'amour que on n'a pu partager. Nous n'étions pas une famille parfaite , mais nous nous aimons et respections beaucoup .

Je suis née dans de l'or , je n'avais guère de temps pour m'appaisantir sur les autres. Un seul mot et j'avais tout ce que je voulais . Je ne faisais l'amitié qu'avais les gens de ma race . Je traitais les autres avaient un tel dégoût que je ne voulais pas m'associer aux enfants des pauvres.

Mon père m'accordais une grande importance, il ne cherchais pas à savoir ce que je fesais ou avec qui je marchais puisque j'étais son premier fils et il  avait une grande confiance en moi . On ne Bourdais pas mes dire , j'obtenais ceux donc je voulais avec le nom que mon père avait mis  sur le mien pour faire de lui son  enfant.

Ma mère quand t'as elle n'a pas contribuer à mon éducation, personne ne l'a fait . Elle m'a juste mise au monde et mon père le géniteur .

Ils ont toujours été occupé sur leur affaire. Personne pour comprendre nos séquelles et nos peur  lorsqu'on faisait les cauchemar  . Pour nous accompagner à l'école, venir lors des remises des bulletins ou des soirée à l'école .

J'étais renfermé sur moi même ,je n'avais pas d'amis a moins Maitenant que je me repose parfois sur mon petit.

Mon père a toujours voulu que je sois comme lui , a vouloir commander, ne jamais perdre , être autoritaire et impulsif envers les autres.

Au début je ne voulais pas être un monstre , je voulais être moi même, mais mon père m'avait fais devenir plus pire que lui même.

Je n'ai pas sûre a quelle  heure les larmes sont descendus sur ma joue.mais je n'en pouvais plus . c'était déjà de trop . J'avais déjà trop encaissé.

Je n'étais pas celui que tout le monde pensaient . J'avais des faiblesses, des peurs , des remords sur ma personne .

                                                       Présent

Le souffle était finir dans mes poumons

La mort de mon père m'a haneantie, je ne savais pas quelle heure était, le lieu où je me trouvais, mon nom , mon identité .

J'avais tout oublié comme si on venait de me faire un lavage de cerveau .

Mes mains tremblait, tout mon corps aussi .

Comment allait je annoncer la nouvelle aux autres.
A ma mère, a Karen, a Samira . J'allais commencé où pour finir où .

J'ai sentis une main derrière moi , je savais qui c'était .mon petit frère karen . Ses yeux avait déjà gonflés.j'imagine sa douleur . Les pleures qu'il avait déjà versés. Je ne pouvais pas faire autrement.

Je me suis juste lever d'où j'étais et le prendre dans mes bras.
- Karen , je suis désolée

- pa- pa , c'est pas vrai nespa ??

- j'aurais bien voulu lui dire le contraire mais ...

- il sait  versés sur moi comme de l'eau bouillante, il pleurait tel un bébé qui avait besoin du lait maternel de sa mère pour survivre .

Je devais lui consoler et prendre des force pour Sami qui n'était pas au pays

- où est mama ?? Karen!!

- dans sa chambre , elle sait enfermés a l'intérieur , depuis qu'elle a sûre  nouvelle

- d'accord, d'accord , toi calme toi , tu es un homme .et un homme il est fort, il supporte, ressaisir toi .

- tu iras t'asseoir quelques minutes au salon . Pour reprendre des forces .
Moi je vais me chargé de Sami pour le moment

Je devais être là pour eux , c'est ma famille, la seule que j'ai et j'ai eus . Il est temps pour moi de mettre les conseils de papa en pratique.

Tu dois être fort Alex !!!

Vengeance et AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant