chapitre 17

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J'ouvre mes yeux en me tenant la tête qui me fait mal au passage je regarde autour de moi j'étais dans une pièce noir diffèrent de celle que j'ètais quand elle me punissait celle-là est un peu étroite il y a une fénêtre delà tous mes souvenirs me reviennent la lettre de père, ma mère qui était à ma poursuite puis plus rien mais ce que je ne comprends pas c'est qu'est ce que je fais ici? Je me tourmenter l'esprit à savoir pourquoi je suis ici quand la porte s'ouvre sur ma mère

Elle : enfin réveillé je croyais que tu étais morte dans ton sommeil

Moi : depuis quand suis je ici

Elle : depuis hier

Moi : qu'est ce que je fais là

Elle : c'est moi qui devrait te retourner la question tu faisais quoi dans ma chambre

Moi : je nettoyais ta chambre

Elle : ou plutôt tu fouinais dans mes affaires

Moi :

Elle : tu m'as désobéi malgré que je t'ai interdit de ne pas entrer dans ma chambre tu as fourrée ton nez la où il ne fallait pas tu connais mon vrai visage maintenant je ne serait pas la asma gentille que tu as connu

Moi : oui je connais ton vrai visage celle qui a fait semblant de devenir une bonne mère pour ensuite me prendre mes biens si tu parles de ce visage là oui je le connais

Elle : j'ai fait bien pire avant quoi qu'il en soit tu sortiras plus jamais de cette maison

Après ces mots elle tourne les talons et s'en va en prenant bien soin de fermer la porte à clef derrière elle moi je m'adosse contre le mur et raméne mes genoux sur ma poitrine qu'est ce qu'elle voulait dire par " j'ai fait bien pire avant" si elle a dit ça c'est pas pour rien peut être qu'elle la fait

Plus les heures passaient plus j'avais faim et soif à chaque instant je regardais vers la porte avec l'espoir que quelqu'un m'ouvrira cette porte mais rien la pièce devenait sombre laissant place à l'obscurité après des heures à rester assis je m'étale sur la sol et me couche dans le pénombre

[.....]

Moi : AAAHHHH

je me lève et me tient le ventre qui vient de recevoir un violent coup je pleure comme jamais la douleur est horrible je regarde devant moi et vis ma mère

Elle : j'adore ton petit cri au matin

Elle rigole et me jette un bout de pain

Elle : t'inquiète ce n'est que le début

Et elle s'en va je continue de pleurer je me mord douloureusement la lèvre pour ne pas crier je dirige mon regard vers le pain au sol que je ramasse avant de le manger laissant couler mes larmes en moins d'un an beaucoup de chose se sont passés dans ma vie le décès  de mon père, une mère qui m'aime toujours pas et qui me déteste pour raison que j'ignore, celle que je croyais comme meilleure amie qui m'abandonne, j'ai perdu mes biens, un beau père qui veut coûte que coûte me violer et me m'être en mal avec ma mère et maintenant me voilà enfermé derrière cette porte incapable de faire quoi ce soit .... ma voix se casse et je laisse couer mes larmes qui sont devenus mes copines pour toujours pleurer est maintenant une habitude pour moi

Je me couche par terre en regardant la petite fénêtre de la pièce qui donne donne une vue sur le ciel je continuais à regarder jusqu'au coucher du soleil je me tournai sans cesse sur le sol pur avoir une position adéquate pour dormir quand la porte s'ouvre sur ma mère et séni je me redresse avant de me m'être debout devant eux

Moi : qu'est ce que vous me voulez

Séni : tiens tiens elle fait sa petite rebelle

Moi : à moi tu me parles pas

Ma mère me gifle

Elle : tu lui parle sur un autre ton

Moi: vas y frappe moi encore et encore mais je vais continuer à lui parler comme ça combien de fois tu vas continuer à me ftapper pour lui cette homme est escrot il s'en fout de toi tous ce qui l'importe ce sont les biens de père

Elle : " à séni" occupe toi d'elle

Moi : es tu vraiment ma mère

Elle : tu en doutes peut être

Moi : il savoir que tu me laisse pas                                         
d'autre choix que t'en douter

Elle : " à séni" continu

Moi : pourquoi tu me fais ça

Elle s'en va me laissant avec séni parfois je me demande si c'est vraiment ma mère .... j'en doute vraiment je la regarder partir quand je sens une pression sur ma main je retire brusquement ma main de la sienne

Moi : me touche pas

Lui : pourquoi tu veux toujours me démasqué t'en a pas marre de chaque fois te prendre des coups même si tu insisté elle te croira pas parce qu'elle m'aime plus que tout ... et même plus que ton père

Moi : ne parle pas de mon père

Lui : quoi ça te fait mal que je parle de lui mais il est mort non le pauvre il t'a laissé seul et ta mère s'en fout de toi sinon pourquoitu serai tu ici attend j'ai le mots parfait pour qualifier ta situation

Il s'approche de moi et me chuchote

Lui : une orpheline voilà ce que tu es

Il s'éloigne de moi en souriant et pourtant il avait raison

Moi( larme au yeux) : orpheline " rire nerveux " au moins je suis pas un briseur de famille et une personne qui ment à longueur de journée comme toi

Piqué parmes mots il me pousse par terre et me tape comme un homme des coups de pied dans le ventre j'en ai tellement reçu que je ne sens plus mes côtes

Soudain mes hurlements et les coups cessèrent laissant entendre mes pleurs

Il cogna une dernière fois ma tête sur le sol avant de s'en aller je ferme les yeux me sentant partir

[.....]

Quelques jours plus tard

Je me réveille toujours dans cette pièce quel jour est-il? Quelle heure? J'en sais rien j'ai plus la notion du temps je passe mes journées perdu dans mes pensées ou à compter les secondes pour pas perdre la tête. Ils m'apportent plus à manger ils viennent juste le soir se défouler sur moi et s'en aller je contente d'attendre que quelqu'un ait la gentillesse de se rappeler de mon existence et m'améne de la nourriture des bleu? J'en ai tellement que je me demande si je pourrai faire face à un miroir. Je me demande dés fois ce que j'ai bien pu faire dans ma vie je n'ai rien demandé qu'une seule chose avoir une famille complète mais la vie en a décidé autrement. Parfois notre souffrance est si grande qu'on a l'impression de mourir à l'intérieur

Comme chaque jour qui passe j'étais assis au sol perdu dans mes pensées quand la porte s'ouvre sur ma " mère"

Elle: lève toi et vient nettoyer la maison

Je ne dit rien et essaie de me lever mais j'y arrive pas et ça se comprend s'asseoir des jours sans se lever je fais du moeux que je peux mais de part son visage ça commençait à l'agacer elle s'approche de moi et m'attrape les cheveux et traine avec elle jusqu'au salon elle me pousse en avant et me tête rencontre le meuble faisant couler mon sang

Elle : ta 2 heures pour finir tout ça

Elle monte en haut je me lève et regarde autour de moi il y avait de la poussière partout je pars dans la cuisine pour prendre tous ce dont j'aurais besoin mais la je découvre avec la cuisine toute sale, plein d'assiette sale dans le levier je prend le nécessaire et nettoyer le salon, les chambes puis la cuisine je fais en même temps le dîner que je met sur le table avant de monterdans ma chambre

Je me dirige vers le miroir et me regarde le coin de ma bouche était gonflé, un coquard sur mon oeil qui a viré au noir, des traces sur mon cou

J'explose en pleure, pleurer c'est mon quotidien et souffrir c'est ma vie

Je prend un bain et rattrape mes prière avant de me coucher espèra que demain soit un jour meilleur





















                 


Fatima :《 Après La Mort De Mon Père Ma Vie a Pris Une Autre Tournure  》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant