🌷Coucou🌷
Bismillah
N A Ï M
Quelques heures plutard
Après avoir raccompagné Hayat, je bouillonais de l'intérieur. Sa m'agace toute cette histoire.
Avec le temps, cette fille a pris beaucoup de place que prévu dans mon cœur. Je n'ai pas ressenti le besoin de vouloir aider une personne de mon gré depuis elle !
Après elle, je pensais que plus rien ni personne pouvait me rendre cette petite lueur d'espoir et de joie. Elle a l'air toute petite et mignonne, lui faire du mal est la dernière chose qu'on voudrait lui faire sur cette terre.
Eh mais déjà, je vous vois venir ! Je l'aime comme ma sœur cette fille et puis je suis en couple avec sa cousine.
Elle n'est pas que ma petite sœur mais, elle est devenue ma meilleure pote.
Son histoire avec Younès, je pense qu'avant sa m'insuportait mais lui par rapport à Ibn c'est vraiment un autre level. Toutefois, il m'insuporte toujours, car il est trop con et trop bête pour voir l'amour que lui porte cette fille.
Qu'est-ce que j'aimerais qu'on me vénère de la sorte.
Pathétique.
Elle est tellement désespérée qu'elle veut se faire croire, qu'elle pourra tomber amoureuse d'Ibn et l'aimer en retour. Je pense déjà que c'est peine perdue.
Et cette situation, sa me fait peur car elle se referme sur elle-même et celà peut devenir dangereux.
Je ne veux pas qu'au final, elle se perde elle-même. Je l'ai déjà perdue, je ne voudrais pas la perdre elle maintenant.
À cet instant, je savais exactement où se diriger Younès.
Je marchais à vive allure pour pouvoir le retrouver et lui parler. Quand tout d'un coup je l'entendis rire à gorge déployée avec les copines de son ex.
Je m'avança avec une telle colère et froideur d'eux qu'un silence s'installa d'un coup et puis tout redevient comme avant.
Personne me calculait, je pense.
Büshra (rire) : Putain, Younès arrête là c'est bon !! En plus on est prêt d'une mosquée.
Younès *regard pervers* : Je sais, je ne suis pas une idiote comme toi.
Malak : Dit-il !
Younès (rire) : Utsaha nijo nihu reme hein ? (Tu veux que je vienne te frapper)
Meriem : Mremé moimtsa uwo !!! (Faut bien la frapper)
Büshra : Ah lala Meriem !
Malak *rire* : Déjà, quand c'est moi vous voulez tous me frapper, surtout le sauvage de Younès.
Younès (en courant vers elle) : Tu vas voir si je suis réellement sauvage.
Büshra : Weshh, ne lui fait pas mal non plus hein !
Et là Younès, chatouillait Malak. Büshra rigolait tellement qu'elle n'en pouvait plus de la situation, ainsi que ma cousine Meriem.
Je mentirais si je disais que leur rires m'intéressaient ou me faisaient du bien. Au contraire, je m'en fichais royalement du fait qu'ils s'amusent tous ensemble mais c'était Younès qui commençait à me taper sur le système.
