Rattrape Moi Si Tu Peux

2.

Moi : Alors pardonnons et traçons notre route.

𖤐⭒๋࣭⭑ On s'en remettra. 𖤐⭒๋࣭⭑

Il était figé sur place face au mot que j'avais prononcé. Un silence pesant dans la voiture. Il se mit correctement face à son siège. Il était assez secoué par les événements, c'était assez normal qu'il ne réagisse pas.

Il ce tourna vers moi d'un seule coup comme ci il avait trouvé une idée.

Lui : J'ai un plan. On garre la voiture dans un autre emplacement et on attend que Rssko rentre dans la tour.
Dès qu'il y sera on le suivra sans faire de bruit. Je suspecte une fille qui vient chez nous.

Moi : Pourquoi sa ?

Lui : J'ai vue un truc que j'aurai pas du voir sur le canapé. Et toi, tu ne porte pas de truc comme ça au dernière nouvelle.

Moi : ..

Lui : Bon, c'est là que tu vas rentrée en scène. Tu rentreras dans l'appartement.
Si tu veux, tu sautes sur la meuf et tu l'as frappé où tu hurles sur Rssko.

En aucun cas je serais capable de faire sa. Juste en imaginant la scène mes mains tremblent j'examine mes mains que je n'arrive plus à contrôler.

" Une fille comme toi ne mérite même
pas de vivre. "

J'étouffe toute seule. Je ressens ses mains et les coups violents que j'ai subis. Je le revois en face de moi, qui souris en me voyant mourante sur le sol.

Qui rit, qui sourit alors que je poussais des hurlements de douleur. Toute ses fois où je me soignais toute seule où je passais mon temps enfermer dans la salle de bain.

Alors qu'il patientait derrière la porte, qu'il jouait avec ma faiblesse. Il n'avait plus de limite, à ses yeux je n'étais personne. Je n'étais qu'un jouet aux quelle il passait son temps à utilisée en l'absence de Mehdi.

À l'instant où une main se posait sur mon épaule je poussais un crie. Je ne voyais plus rien, ma vue était embrouiller à cause des larmes. Je détachais à toute vitesse ma ceinture et je tapais la vitre en sorte que quelqu'un m'aide.

Moi : Me touche pas ! Je veux que personne me touche ! Je veux plus.. Je veux plus qu'on me fasse du mal.. je sanglote.

Mehdi ne comprenait plus rien, il semblait très mal en entendant la douleur dans ma voix.

Il détacha sa ceinture et sortit de la voiture. Il en faisait le tour et ouvrit ma portière. Il enroula ses bras autour de ma nuque et me serra contre lui.

Lui : Plus personne ne te touchera petite sœur je te le promet. Il embrassa le haut de mon crâne. Je me sentais en sécurité là, dans ses bras chaud.

Lui : On vivra rien que tout les deux et je lui demanderais de dégager avec sa meuf. On déménagera dans la tour 4 là où il y a tout les collégiens de la où je travaille et tu pourras faire connaissance avec les filles du collège. Rssko ne sera rien de tout ça.

Je fermais les yeux face à son récit qui calma instantanément mes sanglots. Il embrassa mon front.

Lui : En plus, dans la tour 4, il y a tout mes amies ils pourront surveiller si ils ce passent quelque chose, personne te touchera. Plus personne ne te fera subir ce que tu as subis cette année, mon coeur.