Nous quatre ou rien T 2

Chapitre 2

2.

EMIR

les autres personnes invités commencent à venir petit à petit à la soirée organisée par Alex, ce sont des étudiants qu'il connaît bien, il à toujours grandis à Paris c'est à ce demander si il ne connaît pas tout le monde des environs.

Rafael viens me rejoindre dans le balcon où je suis entrain de fumer une clope, depuis que j'ai repris le sport j'essaye de me limiter à en fumer seulement au soirées mais ce n'est pas choses facile.

- Ton pote est sympa mais il a l'air vachement timide. Me glisse t'il.

- Quand il est dans un endroit qui ne lui est pas familier c'est compliqué pour lui de se laisser aller, mais tu verras il s'ouvrira déjà plus la prochaine fois que tu le verras.

- Cool alors, hâte de voir les autres de ton groupe.

Rafael est un mec avec qui l'amitié s'est faite naturellement, on s'est retrouvée à partager notre chambre à notre campus, alors dans tout les cas sois ça allait passer sois cassé. Je ne dis pas que je peux lui faire aveuglément confiance, mais je sais que c'est un mec sympa qui m'a déjà rendu pas mal de service.
Il à grandis dans la banlieue parisienne dans une ville plutôt calme et aisé, sa sélection s'est faite rapidement car il à toujours été très bien suivie dans son club de foot. Par moment ça me stresse de penser au fait que je dois me surpasser a fond pour pouvoir être mis en lumière face à tout ces mecs qui sont la parce que justement leur niveau est élevé.
Mais bon je reste confiant sur mes capacités et je fais en sorte de m'entraîner sérieusement.

Une fois ma clope fini on retourne a l'intérieur, il y'a beaucoup plus de monde que tout à l'heure, j'avoue commencer sérieusement à enchaîner les soirées, mais nos cours sont tellement facilité parce que pour eux ce qui compte c'est notre niveau sportif, alors je sais bien que notre diplôme nous sera donné sans problème, ça me pousse à ne pas avoir de limite sur mes activités extra scolaire...

Akmar est toujours autant étonné du nombre de filles avec qui j'ai passé la nuit s'est derniers temps mais ça deviens addictif de finir dans les draps de chacune de ces petites parisiennes et puis j'arrête pas de lui répéter que la plupart du temps c'est elles qui viennent à moi, je n'ai même pas besoin de faire d'effort pour qu'elles retirent leur vêtements.

on se sert une canette de bière avant que mes yeux ne se posent sur le visage d'une fille qui est assise sur le canapé en face de moi.

elle tiens fermement son verre au creux de ses petites mains, le regard dans le vide. Je souris légèrement, je ne peux m'empêcher de la voir comme une nouvelle cible et je ne rate aucune de mes cibles.
Je m'approche instinctivement d'elle et viens m'assoir à côté d'elle, je la sens se raidir du à cette proximité physique.

- T'es venue toute seule ? Je demande sans transition.

- Non je suis avec des amis.

- Tu n'as pas l'air dans ton élément. Ai-je dis en souriant légèrement.

- Ce soir c'est vrai que non, mais c'est mal me connaître . A t'elle dis en riant.

Elle se tourne vers moi et lorsque ses yeux plongent dans les miens j'en suis légèrement perturbé, d'un marron si clair qu'il vire presque au jaune.
Ses cheveux raide et long d'un châtain clair, ont l'air si doux que glisser mes mains dedans me tente fortement.
J'essaye de reprendre mes esprits.