4.

178 56 28
                                    

Quand ma mère t'a acheté pour moi, au départ, je ne voulais pas t'utiliser

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Quand ma mère t'a acheté pour moi, au départ, je ne voulais pas t'utiliser. Mais j'ai compris que toutes ces petites choses que je ne peux pas dire à voix haute, il fallait que je les écrive (même si, de toute façon, je serai en droit de balancer des méchancetés à qui je veux, merci la liberté d'expression).

Ça fait du bien parfois de critiquer. Mais bon, même si je me moque beaucoup, ça ne peut pas être pire que le carnet de Regina dans Lolita malgré moi. Crois-moi, ce n'est pas contre toi. Je suis (pas) désolée de te remplir de bêtises.

En parlant de critique, c'est l'heure de parler de Rosalie McSirton. Rien qu'on nom de famille... Bref, c'est un vrai pot de peinture cette meuf. Derrière tout son maquillage, elle pourrait être n'importe qui tellement il y en a. Je te jure, j'exagère rien. Moi, je pense que c'est un mec qui veut se rapprocher des filles de la classe. Pervers !

Ma citation du jour portera sur elle/lui :

"Les pots de peinture, c'est sur les tableaux, pas sur les visages."

Alors, t'aime bien. Il faut juste espérer que Rosalie ne tombe pas sur cette page. Mais bon, en plus d'être... bah elle quoi, elle est bête, alors, avec un peu de chance, elle ne comprendrait même pas que je parle d'elle.

À bientôt !

À bientôt !

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Journal d'une timbrée T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant