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Ashton lui montrait toujours les feuilles de chêne au dessus d'eux, elle regardait le ciel au dessus du doigt d'Ashton, perplexe. Elle essayait de comprendre ce qu'il lui voulait, ce qu'il tentait de lui montré, jamais, elle n'avait fait autant fonctionnée ses méninges. Ashton représentait un vrai casse-tête pour elle, à l'instant. Il avait l'air si simple pourtant, de loin, mais là, à côté d'elle, il avait l'air beaucoup plus compliqué que des mathématiques des universités. Si elle ne comprenait pas, Ashton lui essayait de lui donnée des indices par le regard, mais rien ne réagissait dans sa tête. Ils n'avaient pas la même façon de pensée, cela mettait une certaine distance entre eux. Il avait une vue sur le feuillage, elle ne voyait où il voulait en venir. Les mots avaient de l'importance dans cette situation, puisqu'elle n'arrivait pas à comprendre ce qu'Ashton voulait lui faire comprendre.


Ashton : Tu ne vois vraiment pas ce que je veux te faire comprendre ?

Elle : Non, vraiment pas, un indice ?

Ashton : Le ciel est toujours là, derrière ce feuillage. Ce feuillage est les apparences, il cache ce qu'on est vraiment, ce qu'il y a derrière. C'est ça que je veux te faire comprendre, le feuillage n'est qu'une partie de nous, qui ne nous correspond que très peu, alors que ce qui compte, c'est le ciel qui se cache derrière et est réellement ce que nous sommes. Nous sommes, tout de bleus, d'orages, de pluies, nous sommes tous un désastre et une beauté. Autant nous nous harmonisons avec la lune, qu'avec le soleil, comme si on avait une double facette, tu vois maintenant ce que je veux te faire comprendre ?

Elle : Je vois enfin, tu ne veux pas que je te juge sur ton physique, sur ce que dises les magasines, simplement parce que tout le monde le fait avec toi, autant qu'avec moi, c'est ça ?

Ashton : Oui, on te juge aussi ? Comment ça, les magasines ?

Elle : Je ne suis pas bête, tu es Ashton Irwin, et non, je ne vais pas te jugée, je sais ce que c'est et je ne t'ais toujours pas jugé. Tes paroles étaient belles, jamais je n'aurais cru que tu pourrais dire ce genre de choses.

Ashton : Tu me juges. Alors tu m'as reconnu ?

Elle : Oui, et non, je ne te juges pas. Mais ce n'est pas vraiment le style de paroles que j'entends tout les jours. C'est le style de paroles, qu'on les personnes blessées, ou brisées.

Ashton : Je le suis, en quelque sorte, tout dépend de ce que tu entends par là.

Elle : Tu l'es, cela se voit, même si tu essayes de la caché.

Ashton : Je n'essaye même pas, cela se produit tout seul. Je n'ai plus aucun contrôle sur le fait de me caché ou non.

Elle : C'est pour cela, que tu restes tout le temps chez toi ?

Ashton : Oui, tu ne lirais pas un peu trop les magasines ?

Elle : Je crois, oui.

Elle émit un petit rire, qui fit chaud au cœur d'Ashton. Il n'était plus habitué à entendre quelqu'un rire. Son patron ne riait jamais, ou si il rigolait, c'était un faux, totalement faux, juste parce qu'Ashton avait dit quelque chose qu'il n'acceptait pas. Ashton se ressaisissait toujours à ce moment-là, comprenant qu'il avait fait une gaffe, il devait alors se rattrapée sur la critique à faire. Il n'était pas vraiment critique musical, juste, obéissant à un supérieur, il s'en rendait seulement compte. Ce n'était jamais ces critiques à lui, toujours celle de quelqu'un d'autre. Il ne faisait qu'obéir, se faisant passée pour quelqu'un qui n'aime rien, qui déteste le monde entier, pour la simple raison, que personne ne savait que quelqu'un le manipulait, le contrôlait. Il voulait le lui dire, pour ne pas qu'elle croit qu'il est celui des magasines, celui des critiques, qu'il n'est pas comme ça. Il avait besoin de se justifier, mais dans le rire de la jeune fille, il comprit qu'il n'avait pas vraiment pas besoin de le faire. Pas de toute urgence en tout cas, que plus tard serait parfait, que maintenant, serais trop précité. Il avait comme même besoin de la faire, mais plus tard, il lui dirait, mieux se sera. Il devait comme même se protéger, ne pas le dire à une inconnue, et attendre de la connaître plus. Parce qu'il ne savait vraiment rien d'elle. Elle était comme un passant dans la rue, sauf qu'à elle, il lui a parlée. Il avait besoin de se justifier, de se trouver une excuse face à elle, et à se qui dise les magasines, mais comme il ne sait pas qui elle est vraiment, peut-être qu'elle ira tout dire à des journalistes. Ce serait la fin pour lui, puisque plus personne ne le croirait quand il dira quelque chose, et aussi son patron lui a interdit de révéler quoi que se soit sur lui, sinon, il allait détruire Ashton. Ashton était mené par le bout des doigts parce cet homme, ce cinquantenaire qui n'avait rien d'autre à faire que de détruire et réduire la réputation d'Ashton, qui a 25 ans, à zéro. Il n'avait rien d'autres à faire, étant mit à une retraire anticipé, tétraplégique, mais Ashton ne savait strictement rien de lui. Il ne l'avait jamais rencontré, jamais parler d'une manière que par téléphone. Cet homme, était comme une malédiction, un bourreau pour Ashton. C'était lui, cet homme âgé de 50 ans, qui allait mettre fin, quand il le décidera à Ashton, et Ashton, lui, n'avait plus qu'à attendre qu'il passe à l'acte. Mais, si seulement Ashton savait qu'il n'avait pas besoin de justifier auprès d'elle. Elle avait devinée depuis longtemps qu'il n'était pas celui qu'on prétendait qu'il est. Il était loin d'être comme on le disait. Juste le fait qu'il soit timide, lui avait changée d'avis sur tout ce que disait le monde à propos de lui. Il était simplement, un jeune homme de 25 ans célèbre, qui souffrent de tout ce qu'on dit sur lui.

Ashton : Au faite, comment tu t'appelles ?

Elle : Tu n'a pas assez à faire avec tes problèmes, tout ce que le monde dit sur toi qui te détruit, pour te demandé comment je me prénomme ?

Ashton : Non, j'ai besoin de le savoir.

Elle : Je sais très bien, que toutes les critiques que tu fais, ne vient pas réellement de toi.

Ashton : Une chose de moins que j'aurais à te dire. J'ai l'impression que tu me connais plus que je ne me connais moi-même.

Elle : Ce n'est pas le cas. C'est juste que je suis un peu dans le même cas, sans souffrir de la célébrité qui rajoute beaucoup. L'anonymat c'est très bien.

Ashton : J'ai déjà pensé à y retourné, mais je suis critique musical, alors je me dois de critiqué même si ce n'est pas vraiment ce que je pense de cette chanson. Mais, maintenant, dit-moi ton prénom, au moins ton prénom, ton nom de famille pas obligé, mais au moins ton prénom, s'il te plaît ?

Elle : Robyn.

Ashton savait maintenant comment elle se prénomme, elle le savait déjà bien à l'avance, rien qu'en voyant son visage, elle l'a sue. Elle avait toujours une longueur d'avance sur lui, et ce depuis le début.

Regard musical//a.iOù les histoires vivent. Découvrez maintenant