Les traits noirs qui s'ébranlent au seewind au sommet de la collines, des sternes passent au delà de la chaumière froide : une petite maison au fines fenêtres, les murs blancs, les draps lavé étendu sur un fil au dehors.
Sa chemise blanche lavé de tout crime fut traîné au sol dans la violence par des bras brutes et épais, les échardes qui transpercent son torse . Le mouvement brusque et flou, les ordres, ô si la mort voyait cette oeuvre, elle prendrait peur.
Le médaillon tombe au sol et gît dans la pénombre, aux lueurs des jours qui suivent, le silence immobile et total. Les cris raisonnent encore dans les murs, les bûches de bois roulé au sol, une chaise renversé : la maison rembruni, témoin du calme après la tempête, du silence d'un enfant après avoir été battu.
SIEGFRIED
De sa main il essuie le sang vermillon de son nez en regardant le paysage côtier défiler sous ses yeux, une mains qui le tient ferme, les secousses ininterrompu.
SYLT
Le lendemain le silence était dans la mémoire de la maison ; Siggie dans sa folie. Siggie dans sa normalité.
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sylt
PoetryAinsi derrière les rideau, elle vieille, l'avait vu danser nu. Le lendemain le silence était dans la mémoire de la maison ; Siggie dans sa folie. Siggie dans sa normalité. ...