Mayra

6- Le câlin d'un ange

⚠️Attention ce chapitre contient un langage à caractère sexuel, et de la violence non modéré sur mineurs pouvant choquer certains...âme sensible s'abstenir.

Je tiens à rappeler que tout ceci n'est qu'une fiction ma fiction je n'encourage en rien les actes que je m'apprête à transcrire ce n'est que le fruit de mon imagination, tout ressemble avec une personne vivante ou ayant existé n'est que fortuite.

Nous pouvons commencer...

"Je sens encore sa présence"

Je suis dans les vapes et je fixe longuement le plafond mes souvenirs danse dans ma tête comme une projection infini.
Une silhouette pénètre ma chambre et je n'ai pas besoin de regarder dans sa direction je sais qui c'est.

- Bonjour Mayra...
Cette simple salutations me confirme que quelques choses à changer elle vient de prononcer mon nom elle vient de franchir le pas qu'elle s'interdisait de franchir.
- bonjour Sandie !
- viens c'est l'heure de manger.
Elle disparaît et je fini par la suivre dans la cuisine le petit déjeuner se passe dans un silence des plus morbide je n'ai pas envie de parler je n'ai pas envie de rire je n'ai envie de rien.

Je n'ai même pas une photo de ma famille il ne sont présents que dans mes souvenirs...
Sandie me conduit dans une pièce que je n'avais encore jamais visiter la chambre de Mr.
Il n'y a qu'un lit en fer la pièce est grise et sombre si il n'y avait pas cet éclairage je dirais même lugubre à côté du lit il y a une petite armoire la lumière étant concentrer au centre de la pièce le reste de la chambre est dans l'ombre cette chambre est vraiment différente du reste de la maison la vie n'est pas ici.
Elle me fait asseoir sur le lit les fesses sur mes talons et les bras ouvert sur mes cuisses complètement nu l'air est frais et humide ici j'en ai la chair de poule Sandie tourne les talons mais d'un mouvement je lui accroche le bras elle se retourne pour me faire face...j'ai peur je suis terrifié je ne suis pas préparé à tous ça je plonge mon regard brillant d'humidité dans le sien.
- tu-tu...
Elle ne dis rien elle se rapproche et colle ma petite tête contre son ventre chaud, une larme s'écrase sur mon front et elle me prend dans ses bras elle se détache de moi et s'en va la porte claque légèrement comme un cachet de médecin mon sort est scellé je me remets dans la position souhaitez et j'attends le temps semble long huit années d'existence le temps pourrais se figé que je ne remarquerai rien.
La porte fini par s'ouvrir dans un grincement il pénètre dans la pièce et la referme à clé.
J'avale lourdement ma salive.
Il tourne autour de moi mais j'ai du mal à le voir la lumière devenu trop intense m'aveugle presque je ne discerne que sa silhouette qui se déplace, je l'entends tirer un espèce de cadre jusqu'à moi je ne l'avais pas vu jusqu'ici.
- Approche Mayra !
M'ordonne t'il.
Je me lève doucement mes jambes flagelle je suis resté trop longtemps dans cette position j'ai des fourmillements.
Il fait basculer le cadre et je me rends compte que c'est un miroir je t'admire quelques minutes dedans c'est donc à ça que je ressemble depuis un mois?
Je suis légèrement enrobé, les joues pleine, les cuisses garnis mes cheveux sont lâchés en cascade soudain un détail de moi attire mon attention deux minuscule montagne se sont mises à poussé sur mon torse je suis encore dans l'incompréhension quand je sens ses mains sur moi je lève la tête et je le vois enfin...il a un visage ciselé et parfait ses yeux brillent comme jamais il me regarde avec envie.
Il passe des fois sa langue sur ses lèvres avide sa main se déplace sur mes minis sein et les caresses lentement je me crispe ce n'est pas désagréable mais je n'y connais rien alors comme n'importe quel enfant j'ai peur.
- tu es très belle dit il dans un souffle avant de me soulevé brusquement sur le lit la lumière me force à fermer les yeux quelques minutes il en profite pour se mettre entre mes jambes il me touche à des endroits qui me font parfois du bien mais trop de fois je ressens le contraire il se trouve maintenant juste au dessus de moi son visage surplombe le mien j'en profite pour ouvrir les yeux il a l'air changer il n'est plus le même son regard est sombre.
Sa main s'agite dans mon entrejambe au fil du temps je commence à aimer cette caresse d'abord douloureuse...il retire sa main et la remplace par quelques choses de dure et chaud j'imagine que c'est son sex je ne vois rien la douleur est intense et de plus en plus vive moi qui était jusque-là docile et sage me met à me débattre de toute mes forces je lui donne des coups de pied et des coups de poing mais rien n'y fait au contraire ça l'amuse la petite membrane fini par cédé et il s'invite de lui même dans mes chairs mes yeux se révulse tout seul et je retombe sur le lit je n'ai pas la force je n'arrive pas à lutter il va et vient en moi tellement fort j'ai l'impression qu'il va me perforé le cœur il me tient fermement pour que je ne lui échappe pas. Je n'y pense pas j'ai trop mal alors je le supplie encore et encore il m'insulte et me couvre d'injures ça lui plaît bien sûr que ça lui plaît de soumettre la gamine que je suis.
Il me retourne sur le ventre et sans ménagement s'enfonce en moi mais pas par là où je m'y attends il est dans mon derrière il tire fort sur mes cheveux j'ai l'impression qu'il vont s'arracher sous la pression je tombe dans les pommes s'en ai trop, quand je reprends conscience il est toujours là rien n'est fini au contraire il continu ses assauts toujours plus violemment alors je me remets à crier à hurlé à gorge déployée à supplier désespérément pitié faites que ça s'arrête.

Trois heures de supplice...