Mayra

8- L'accord

"Mon tortionnaire et mon bourreau"

- Tu veux goûté?
- oui !
- fais aah
- Aah...hum c'est délicieux!
- t'a vu? Je savais que tu allais aimé.
- Mayra il est l'heure.
Le rituel était à présent installer je me devais chaque soir de m'offrir à lui.
J'ai regardé Sandie et elle a baissé la tête, elle ne pouvait rien même si elle le voulait elle était tout aussi impuissante que moi.
- on mangera plus tard toute les deux. M'a-t-elle glissé dans un souffle.
Je suis descendu de mon tabouret et je l'ai suivis.
Quand la porte s'est fermé j'ai vu un deuxième homme en dehors de lui la panique m'a envahit je me suis précipitée derrière lui... l'homme était grand et costaud avec des tatouages sur tout le corps il avait les cheveux mi-longs et les yeux marrons.
- N'ai pas peur il n'est pas méchant je me suis dis que ce serait bien de l'inviter!
- mais-mais
- ça ne te fais pas plaisir deux hommes pour toi seul? Ne sois pas ingrate Mayra!
Cette phrase encore et toujours qu'il me répétait pour gardé le plein contrôle sur moi.
- je suis d'accord.
Si j'avais su que cette phrase allait me condamné et m'enfoncer encore plus que je ne l'étais...
Ils se sont jetté sur moi sans douceur et m'ont malmené que pouvais-je faire à part pleuré et supplier ? Une gamine qui couine et supplie qu'on lui laisse un peu de répit c'est le paradis pour des pédophiles sans scrupules n'est ce pas ?

Un soir deux soir trois soir... les hommes se multipliaient et je ne pouvais rien n'y faire après tout j'avais donné mon accord.
"Ne sois pas ingrate Mayra" encore et toujours plus d'efforts plus d'hommes plus de souffrance de position et de sevices sur ma petite personne toujours plus de quelques choses ça n'en finissait jamais je n'avais même pas droit au repos.

A chaque fois que je sortais de cette pièce j'étais un peu plus briser et meurtrie dans mes chairs j'en suis même tomber malade et cela a failli m'être fatale.

- Ne t'inquiètes pas je vais m'occuper de toi...
- ...
Les marques de fouet était encore bien visible sur ma chair Sandie s'appliquaient à mes soins et quand j'ai été guéri le manège à continuer jusqu'au jour où le pire est arrivé, au moment où je me disais que ma vie ne pouvais pas être pire la vie m'a montré le contraire.
L'heure et le chemin était encré dans ma mémoire alors comme un robot à qui injoncte un système de fonctionnement je me dirigeait vers cette pièce maudite.
Mes jambes sont tremblante je m'appuie sur les murs pour ne pas chancellerie je rentre dans la pièce et la porte se ferme c'est arrivé tellement souvent que ça ne me surprend même plus dans la pénombre je discerne deux silhouette c'est de la clémence ça fait un long moment que je n'ai pas eu à m'occuper de deux personnes seulement.
- mets toi à genoux sur le lit face à la porte les yeux fermés.
J'ai obéis seul lui avait le droit de donné des ordres dans cette pièce les autres se contentait de grogner de plaisir seul sa voix me guidait.
J'ai senti l'homme s'approcher et me caresser les cheveux j'ai ouvert la bouche et il s'y est logé ma tête s'est mise à bouger d'avant en arrière et il a décharge sans sortir de ma gorge.
- ouvre les yeux! M'a t'il ordonné.
C'est les yeux orbité que j'ai découvert mon père et géniteur complètement nu je n'y croyais pas je ne voulais pas y croire.
Je venais d'avaler la semence de mon propre père je me suis tout de suite retirer essayant de vomir le liquide blanchâtre que j'avais volontairement fait passé dans ma glotte je me suis enfoncer deux doigts dans la gorge mais rien elle ne sortait pas j'étais horrifié...
*tousse-tousse
- ça ne sert à rien tu l'a avaler.

Il m'a saisis et c'est enfoncer en moi par voie vaginale j'ai supplier crié il n'a même pas daigné m'adresser la parole j'étais dévastée Maman le savait-elle? pourquoi me faisait-il subir ça ? Il s'est joint à lui et tout les deux se sont mis à me torturer je touchais le fond ma souffrance avait atteint le sommum.

Comment mettre des mots sur mes maux...