Un peu de toi

Chapitre 4

William 

Je me suis levé tôt ce matin pour ne pas devoir prendre le petit-déjeuner avec Olympe et Noah qui sont toutes exciter et tendue à l'approche de l'arrivée de Zia qui doit se faire cette après-midi.  Je suis donc parti courir dans village pour commencer à prendre mes marques, je passe devant une épicerie ou le vendeur un homme d'une soixantaine d'année me salue. J'ai vite compris que les filles sont très apprécier dans le village. 

Je rentre une heure plus tard hors d'haleine et transpirant, j'essaye de ne pas me faire remarqué mais il est cependant trop tard dès que j'ai passé la porte d'entrée. 

- Will, enfin te voila cours de douche je te pris, me crie Noah en arrivant dans le hall d'entrée suivie de près de Olympe qui ne veut toujours pas me regardé dans les yeux. 

- Attends quoi ? Mais pourquoi ? je demande sans comprendre.

- Pose pas de question, on y va dans deux minutes tu ne peux pas être en retard, crie-t-telle.

 Je regarde Olympe qui a un sourire jusqu'aux oreilles, je ne comprends pas ce qu'il se passe mais je me dépêche de monté si je ne veux pas mourir étranglé. 10 minutes plus tard nous sommes sur le quai de la gare et je regarde ma montre.

- Heu les filles, vous savez qu'on doit être dans une demi heure a l'aéroport pour aller chercher Zia, dis-je doucement 

- Chut, répond-t-elles d'une même voix sans même me regarder, ah il est la !! 

Je vois un train arriver au loin sans comprendre pourquoi elles sont aussi excitées, je tourne la tête au moment ou le train s'arrête et je les trouves toutes les deux me regardant de leurs grand yeux pétillant d'impatience. 

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a dans ce train bon sang ? demande-je excédé 

- Moi, répond une vois grave derrière moi 

Gaston ...

- Et moi, dis une autre voix féminine cette fois mais que je reconnais également, Olympe et Noah s'empresse de courir dans les bars de leur amie. Je me tourne vers Gaston ébahie. 

- Gaston mais qu'est-ce-que tu fait la ? Je pensais que tu vivais a Londres et pourquoi tu est avec Zia? Vous deux ensemble ça n'as jamais fait on ménage, rigole-je en me souvent de l'époque où nous vivions tous ensemble a paris dans notre colocation hors de prix. Zia et Gaston ne faisait que ce disputé même si au fond tout le monde savait qu'il s'adoraient.  

- Et bien figure toi qu'une fois arriver à Londres, est né une entende plus qu'amicale entre elle et moi, explique mon ami avec un sourire malicieux. 

- Attends quand tu dis " plus qu'amicale" tu veux dire frère et sœur, demande Noah qui semble soudain sur le défensive. 

- Heu non, disent en cœur Zia et Gaston, plus qu'amicale dans le genre amoureux, explique Gaston avec un regard pétillant pour sa copine qui devient soudainement rouge tomate le regard braqué sur le sol. Soudain comme une tension apparu entre les filles, qui plongeas le groupe dans un silence des plus totale. Je lèves les yeux pour apercevoir Olympe qui parait tout autant gênée que moi, et nous restons a nous regardé pendant un moment qui me parait interminable  avant qu'elle ne rompe le contact. 

- Bon, dit cette dernière, rentrons à la maison le dîner nous attends, on va se régaler! 

Le trajet du retour se passe dans le bonne humeur, je parle avec Gaston qui m'explique toute son histoire avec Zia, sa vie a Londres et pourquoi il a décider de la quitter.  Juste derrière nous j'entend Zia er Olympe parler avec enthousiasme des ragots et des choses qu'on va faire pendant les prochains jours , même je remarque que cette dernière évite d'aborder son travail  ou le tennis avec son amie. Pendant ce temps, Noah marche derrière perdu dans ses pensé come si elle c'était renfermée sur elle. 

Arrivé a la maison, Olympe monte avec Zia et Gaston pour les aider a s'installer et je reste en bas avec Noah pour l'aider a préparer le dîner qui s'annonce être délicieux au vu du nombre de plats que nous avons cuisiné hier soir. 

-Eh, c'est chouette que Gaston et Zia soient arrivés tu ne trouve pas ? demande-je pour créer la conversation tant bien que mal.

-Si très chouette, répond-t-elle sur un ton plus que blasé, génial. Elle continue de de coupé des carottes avec une énergie surprenante. Elle garde la tête baisée mais peut tout de mêmes voir des larmes brouillés ses yeux bleu profonds. Je la prends dans mes bras pour la réconforté au moment ou les autres entrent dans la pièce. 

-Je reviens, dit-elle en quittant précipitantes sous le regard inquiet de nos amis qui se tournent tout de suite sur moi dès sa silhouette sortie de la cuisines. 

- Elle va bien vous inquiétez pas elle va juste se changer, dis-je pour ne pas éveiller les soupçons, venez m'aidez à mettre la table !