Le chagrin des pierres

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Les yeux percés de nuit versaient dans les fougèrestout à nos embolies nos âmes passagères

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Les yeux percés de nuit versaient dans les fougères
tout à nos embolies nos âmes passagères

tu y étais marchant, affligeante et candide
ton cœur battait le vent, ta main battait le vide

tu y étais marchant et j'étais loin derrière
l'amour est un torrent qui ne sait rien des pierres

mon cœur brassait le sang, ma main brassait le vide
l'amour est une pierre dans le torrent qu'elle ride

toi tu étais devant et dans les remous clairs
j'avais le bruit du vent et le chagrin des pierres

Au revoir tendresse [POESIE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant