Chapitre 18

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Bailey

Le jour d'après, j'ai pu rentrer en contact avec ma mère, ainsi s'en suis un rendez-vous dans un petit café éloignée du centre.

Je lui ai évidemment posée la multitude de question que j'avais énuméré dans mon carnet.
Elle m'a ensuite annoncer que juste avant que je vienne au monde, elle a était diagnostiquée schizophrène progressive, mais que maintenant, elle serait passer à la phase aiguë. Elle m'a également avouer qu'elle ne prenait plus ses médicament, vu ses sautes d'humeurs, elle s'est ensuite excuser du mal qu'elle a commit.

Je lui ai pardonner en lui donnant une seule condition.
Qu'elle se fasse internet pour son bien être mental.
Elle a toute suite accepter et m'a même dit que son dossier était déjà en cours.

De ce qui est de mon père, il a fuit à cause de son comportement, quelques années après ma naissance.
Tout au long de mon enfance, elle m'a donc mentis et prétendu qu'il était mort.

Après quelques semaines, j'en ai beaucoup discuter avec Regina, elle m'a aider à voir claire dans ma tête, tout le monde à le droit à une deuxième chance, j'ai donc laisser mon père entrée dans ma vie.

Il passe tout les deux jours me voir et si ce n'est pas le cas, il m'appelle.
Nous avons pu faire connaissance, j'ai pu assister à un de ses cours. Il est merveilleux, j'aurais aimer le connaître bien avant.

Un mois après cela, j'ai quittez mon poste à la caserne pour penser un peux à moi, Regina essaye de me convaincre de rejoindre son organisation en tant que psychologue pour les victimes.

C'est un peux trop tôt, pour l'instant je veux profiter de Regina, d'henry, de mon papa et de mes amies.

Je veux profiter un maximum de ma famille.

Nous sommes le 20 décembre, Noël approche, Henry et moi avons déjà positionner les décorations, un sapin orne le salon, 3 chaussettes sont accrocher à la cheminée, la couronne est sur la porte d'entrée et d'autres petites décorations sont posée par-ci, par-là.

_ Ley ?
_ Oui, Henry ?
_ On peux faire des roulée à la cannelle avant que maman ne rentre ?
_ Bien sûr, à nous les fourneaux !

Nous courons dans la cuisine, c'est sans étonnement que je voie les ingrédient déjà posée sur le plan de travail.

_ Très judicieux, comment savais tu que j'allais accepter ?
_ Parce que je te connaît, Ley.

Je ricane puis nous commençons la recette, Henry s'applique énormément tendis que moi, étant pas très douée en cuisine, je fais du mieux que je peux.

_ Vous allez vous mariez ? Demande t-il soudainement
_ Houlà, nous ne sommes pas encore la, Henry.
_ Mais, il y avais une boîte avec une bague cacher dans son sac, hier.
_ Tu... Tu a fouiller dans son sac ?
_ Bah oui, tu l'a jamais fais toi ?
_ Mais enfin... Non !
_ Oups ... j'ai rien dit.

Une bague ? ... une boîte ?
Qu'est-ce que c'est que de délire ?

_ Henry tu.. tu était sur que c'était ... une... une bague ?
_ Évidemment, je suis pas bête. Dit-il en me regardant droit dans les yeux

Les même yeux que sa mère... je m'égare.

_ Oh.. J'ai jamais dit ça.
_ Même que en dessous du diamant c'était gravée.. B.R.

Il va causer ma mort celui la.
Choquée sur les bord, j'arrête ce que j'étais en train de faire.

_ Mais, tu dit pas à maman que je te l'ai dit.
_ Évidemment. Soufflais-je

J'essaye de ne plus y penser même si cela reste dans le cerveau.
Nous les mettons au four et j'active le chronomètre.
Me mariée avec Regina, avec plaisir, encore faudrais t-il qu'elle fasse sa demande.

La porte de l'entrée claque, je fait comme je peux pour paraître normal.
Regina arrive en cuisine, me souriant de toute ses dents avec un bouquet de fleur à la main.

_ C'est que ça sens bon, ici.
_ Roulée à la cannelle... avec Henry.
_ J'ai hâte de les goûté, tiens, pour toi mon coeur.

Elle me tend le gros bouquet, que je lui prend avec délicatesse, la brune m'embrasse puis se remet devant moi.

_ En quelle honneur ? Demandais-je
_ J'ai une grosse annonce à te faire.
_ Je suis toute ouï. Dis-je mettant le bouquet dans un vase
_ Voilà, je... comment dire ça.
_ Dit le, tout simplement.
_ D'accord... j'ai invitée ton père pour Noël.

Mon sourire s'éteint aussi vite qu'il est arrivée, c'était donc ça sa "grosse annonce".

_ C'est cool, j'ai seulement crue que t'allais...

Elle fronce les sourcils, se rapprochant un peux plus de moi.

_ Que j'allais faire quoi ?
_ Excuse moi, j'ai bêtement crue que tu allais me faire une demande en mariage, Henry a trouver une bague gravée de nos initiales dans ton sac.

Je suis à bout de souffle, j'ai déballée cette phrase plus vite que prévue.

_ J'allais la faire, Bailey. Dit-elle posant ses mains sur mes hanches
_ Quoi ?
_ Je voulais attendre la fin du repas mais tu m'oblige un peux à la faire avant.

Elle repars dans l'entrée et reviens avec une boîte à la main.
J'étais rester figée sur place, nerveusement je remet mes cheveux derrière mes oreilles.

Juste devant moi, elle pose un genoux à terre et me regarde.

_ Bailey, veux-tu m'épouser ? Dit-elle en ouvrant la petite boîte

Me mariée était mon rêve, mais épousez cette femme, c'est un compte de fée.
J'ai toujours eu peur, peur du divorce qui pourrais s'en suivre, peur de prendre une mauvaise décision. Une décision qui pourrais changer littéralement ma vie.
Mais non, avec Regina je n'hésite pas et je n'hésiterais jamais.

_ Oui, Regina !

Elle se relève, je lui saute dans les bras, une étreinte qu'elle me rend immédiatement.

Les larmes coulent. Non pas de tristesse mais de joie.
Des larmes qu'elle essuie délicatement avec son pousse.
Des larmes, qui cette fois ci, ne me brise pas en deux.

À suivre ...

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