Intro :
Première partie d'un projet ici où je mettrai les textes écrits suites à des exercices d'écritures que j'ai pu trouver sympa. Les exercices d'écritures, j'ai pu les trouver sur différents sites internet, tiktok etc, et je trouvais ça super intéressant ! Avec on peut peaufiner son style d'écriture comme en explorer bien d'autres. Si vous aussi vous souhaitez faire les exercices, n'hésitez pas ! Les exercices sont évidemment les phrases en gras sur chacune des parties et le "pt" veut dire partie.
Quelle serait la dernière phrase dans un roman où le héros se rend compte qu'il ne pourra jamais avoir la personne qu'il aime ?
Je l'aimais, je l'aime et je l'aimerais encore longtemps sûrement. Peut-être que de son côté ça a été le cas à un moment où je ne m'en rendais pas compte, où je n'en avais pas besoin mais ce temps là n'est plus. Il n'est plus au moment où moi, ça me rendrait heureux. Mais au fond, son bonheur est une part importante du mien. Si je ne suis pas dans l'équation de ce dernier, je vais devoir vivre comme ça. Un jour je vais devoir tourner la page de l'être que j'aime le plus, de l'être qui m'a fait vibrer, qui m'a fait découvrir qu'on pouvait aimer. Maintenant, je vais devoir me construire ou me reconstruire sans lui, sans son amour. Je vais devoir apprendre à faire, d'une certaine façon, le deuil d'un amour impossible qui aurait pu y être et je vais devoir apprendre à aimer à nouveau. La suite sera longue et difficile parce que je sais que c'est lui que j'aime au plus profond de mon cœur, de mon âme, de ma chair. Avec lui, j'ai rêvé de tout ! Avoir des enfants, se marier, avoir une maison et un chat, partir tous les ans découvrir le monde, ce n'était qu'avec lui.
Ecris un texte commençant par "Je pensais t'avoir dit adieu"
Je pensais d'avoir dit adieu mais sans cesse tu reviens. Tu reviens dans ma tête, tu reviens devant moi. Et à chacun de tes départs, j'espère que c'est le dernier. Ne souhaites-tu pas me quitter ? M'aimes-tu bien plus que tu ne le souhaitais pour ne pas tenir tes adieux ? Où n'es tu tout simplement pas prêt à savoir dire adieu ? Pour l'instant, tu as de la chance, j'accepte que tu reviennes mais ne prends pas cette chance pour acquis. Bientôt, ma gentillesse aura atteint ses limites et tes adieux deviendront mes adieux. Toi qui évite d'être blessé dans ton cœur et dans ton âme en essayant de prendre les devant à blesser les autres, se retournera contre toi un jour et par quelqu'un que tu ne soupçonnais pas. Cette personne sera sûrement moi. Si je décide de te dire adieu, alors prends cela comme quelque chose de définitif et ne compte pas revenir. Finalement, tu auras eu ce que tu souhaitais : une séparation de nos deux entités. Tu veux te sentir bien en décidant de notre séparation mais tu n'arrives pas à t'y résoudre et tu te culpabilises de ça. Cela t'arrangerais presque, dans le fond, que la séparation vienne de moi. Pour cela, je vais t'aider, je vais nous soulager et tu vas sûrement encore plus culpabiliser car tu n'auras pas su le faire par toi même, et je vais officialiser mes adieux.
Votre nouvelle devra débuter par "Je crois que j'ai entendu du bruit sous le lit" et, pour corser l'exercice, devra finir par "Et c'est pour ça que je pars à New York".
Je crois que j'ai entendu du bruit sous le lit alors que je lisais dans le salon. Vivant seul dans une petite maison, chaque bruit se sent, se ressent surtout lors de moments où le calme et le silence sont censés régner. Même en pleine lecture, je reste à l'affût de chaque bruit qui peut être émis et suspect. Ce bruit, venant de la chambre, me demanda un arrêt de ma tâche. Je me levais pour savoir ce qui se passait mais alors que je me dirigeais vers la pièce, plus aucun bruit ne se fit entendre. Une fois dans la pièce, hors mes premiers pas et ma respiration empli de stresse, rien ne se faisait entendre. J'essayais de me concentrer, de ne plus bouger, de respirer moins fort afin d'être plus à l'affût de tout ce qui pouvait se passer. Mes sens étaient en alertes surtout mon ouïe et ma vue. Puis, après quelques minutes qui me parurent une éternité, un bruit semblable à celui que j'avais entendu précédemment se fait de nouveau retentir mais en plus important. Je sentais qu'il venait de là, du lit. Ce bruit était le craquement du parquet. Je ne savais pas quoi faire. Je restais immobile, comme tétanisé à l'idée que quelqu'un soit sûrement juste là. Je ne savais pas comment réagir. Ce bruit, c'est la première fois que je l'entend alors que cela fait maintenant plus d'un an que je suis dans le logement. Peut-être qu'il est hanté mais que je ne m'y étais pas rendu compte.
Je me baisse pour regarder sous le lit, voir si quelque chose ou quelqu'un émet ce fameux craquement de parquet. Mais je n'y vois rien. Au fond, je ne sais pas si j'aurais préféré y voir quelqu'un ou quelque chose qui m'aurait permis de régler le problème. Mais, ne rien y voir me met dans une impasse. Et dans ma tête cela va vite. Je pense déjà à déménager. Ces idées de déménagements, surtout à l'étranger, est migre dans ma tête depuis longtemps déjà, c'est vrai. Mais où ? Je ne sais pas, peut-être à Zagreb, peut-être à Madrid, peut-être à Sydney, ou alors à New York. Ici, j'ai trop de stress, mon cerveau va exploser. Zagreb et Madrid restent en Europe et sont donc trop proches de la France, Sydney et l'Australie sont bien trop chères et trop de français partent y vivre et c'est pour ça que je pars à New York.
Écrivez une courte nouvelle commençant par : « Rien ne serait arrivé si je n'avais pas changé de coiffeur. »
Rien ne serait arrivé si je n'avais pas changé de coiffeur. Après des années à ne pas prendre de rendez-vous chez le même coiffeur et à y ressortir avec une coupe parfaite, ce dernier a dû fermer pour des raisons inconnues. Il me devais donc d'aller voir ailleurs en pleine période d'examens. Je redoutais ce moment, ce changement. Puis, poussé par mon entourage et par des mèches de cheveux bien trop longues, je me décidais d'aller voir un autre coiffeur. En sortant de ce dernier, je ne me sentais pas très bien mais je n'avais plus le choix maintenant. Plusieurs fois, je remarquais des regards peu agréables sur moi à cause de ce changement et notamment de personnes m'ayant aperçu sortir de ce coiffeur.
Après quelques jours à espérer que mes cheveux repoussent afin de changer à nouveau de coiffeur, trois coups ont retenti à ma porte. Naturellement, je suis allé ouvrir même si je n'attendais personne. Derrière ma porte, sur le palier, 3 policiers. J'étais étonné de les voir car je n'avais eu aucuns problèmes avec la justice. Ils me demandèrent de rentrer afin de discuter, chose que j'ai acceptée. Ils m'ont expliqué la raison de leur venue et s'ils pouvaient effectuer une fouille dans mon logement afin de vérifier si je ne cachais pas de la drogue. Encore une fois, j'accède à leur requête. Après un long moment à les observer fouiller chaque recoin de mon logement, ils s'arrêtèrent car ne trouvant rien. Je leur ai donc demandé les raisons de tels soupçons à mon égard. C'est là que j'ai compris que c'était à cause de ce coiffeur, à ce changement. Le dernier coiffeur, où dès ma sortie les passants me regardaient du coin de l'œil, venait de se faire contrôler pour une suspicion de trafic de drogues qui s'est avérée vraie. Suite à ça, tous les clients connus et s'étend rendus chez ce dernier ont été contrôlés.