Chapitre 3

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Les feuille bruisse au vent, les oiseau chante, les aigle chasse, les lapins fuit et moi, je me dirige vers une mort certaine ! J’exagère bien sur mais c’est se que cette foutue lettre ma fait penser des que j’ai vue le symbole dessus car je sais que c’est mauvais signe. Les révolutionnaire ne me contacte plus depuis le dernier briefing d’il y a un mois,qui consister a me dire comment je devras faire mon entrer en scène un jour précis, problème pour eux je déteste que l’on me dise quoi faire dans les domaine que je pratique et adore.

Je grimpe la montagne a travers de petit chemin éclairer par la faible lumière du soleil disparaissent derrière l’horizon, je regarde se paysage qui s’offre a moi.

Le village éparpiller dans la plaine qui se retrouve plonger dans une lumière tamiser oranger et rouge transcris par le ciel qui s’éteint pour laisser place a la fraîcheur de la nuit. Certain petit commercent reste ouvert fessent leur conte dans leur magasin au couleur chaude, les habitant des maison alentour dîne, parle de leur journée,de leur envie et pour certain de leur rêve inatteignable du a notre situation. Pourtant les habitant de se petit village, aux couleur chaude passent par du rouge bordeaux ou bien du orange foncé, garde le sourire et l’espoir que leur fait miroiter la Nations, que notre monde deviendra plus égalitaire d’ici quelque année.

Je me secoue et continue ma route jusqu’à une petite plateforme face a un mur de pierre de la montagne. Je m’approche et glisse ma main le long de la roche jusqu’à la sentir s’enfoncer sous la pression de ma main, j’appuie, rien ne se passe et je continue a longer ma main le long de la parois jusqu’à trouver une autre pierre du même style où cette fois ci, j’appuie trois fois, un petit temps s’écoule et une partie de la parois s’enfonce dans la roche puis s’écarte sans bruit donnent vue sur un petit couloirs dans le quel je m’enfonce alors que la porte cacher se referme derrière moi, a ma droite se trouve une petite porte menant a une réserve d’arme a ma gauche un peux plus loin une autre porte mène a une salle d’entraînement et enfin au bous du couloir dans le quel je m’avance une porte que je vient pousser.

Une salle éclairer par des lumière au plafond viens m’accueillir, en son centre se trouve une longue table au bout arrondi a la quelle et attabler trois personne que l’on ne reconnais pas sous leur masque d’animaux pour l’un et un simple masque pour les deux autre, en bout de table se trouve un autre homme affubler d’un masque de fennec, derrière lui un grand écrans scinder en plusieurs affiche en rediffusion ou en directe certaine image filmer par des drone pirater.

L’homme au masque de Fennec me lance un regard furieux, on pourrais croire qu’il se jetterais sur moi pour m’égorger.

-Aigle Royal. Tu est enfin là. Me lâche t-il froidement

Rectification, il va se jeter sur moi pour m’égorger.

-Oui étant donné que tu m’a convoquer hier en utilisent Light. D’ailleurs, malgré tout le respect que je doit mais que tu ne mérite pas Fennec. N’utilise plus jamais Light a cette fin. C’est pas un putain de pigeons voyageurs !

Je tire une chaise de la table et m’y assoie, comme tout ceux présent ici je porte ma tenue cachent mon identiter, je suis venue en temps qu’Aigle Royal et non Éris, tout comme ceux pèsent ici.

-Qui t’a autoriser a t’assoie gamine !

L’homme au masque de lapin m’interpela d’une voix forte et visiblement agacer, je tire un petit sourire et le regarde.

-T’a quoi Bunny Furry ? Déjà que ton nom me casse la tête viens pas me casser les oreille avec ta vois surtout pour me dicter quoi faire.

Bunny Furry, un des rare survivent du massacre d’une révolution d’il y a 30ans, connue pour son argilites et son aisance au combat a distance, surtout avec les arme a feux et les nouvelle arme technologique.

L'aigle de LibertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant