Le Héros

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Rédaction :
Situation: Votre cousin(e) vous met au défit de ramener le chat de votre voisin qui c'est égaré sur le toit d'un immeuble. De nombreuses difficultés surgissent...
Texte : Raconter à la première personne, au présent ou au passé, et donnez de nombreux détails pour que les lecteurs apprécient
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C'était lundi matin, et fraîchement sotie de la spirale des cours au collège, je marchais sur la plage sous un soleil éclatant avec ma cousine préférée, Carmen. Les vague s'écrasaient sur la berge avec la violence du vent, et l'eau nous arrivait parfois jusqu'au pieds. Les immeuble à côté nous donnais de l'ombre et Carmen leva soudain sont doigt vers le toit d'un petit immeuble :

- J'suis sûre que t'est même pas capable d'aller chercher le chaton du voisin en haut !

              Je suivis la direction de son doigt et vit un petit chaton coincé entre les barreau d'un garde-fou d'un appartement au troisième étage. Je lui lançais un regard plein de défi, et entreprit la monter de l'immeuble. Grâce à ma condition physique avantageuse, je grimpais assez facilement le première étage, et attrapas l'extrémité du sol du balcon du deuxième étage. Mauvaise idée. L'immeuble étant très ancien, un petit bout de béton s'effrita sous mes doigt. Je manquais de déraper et me rattrapant à la dernière minute à un barreau de métal, je réprimais un soupire. Dire que j'ai faillis y rester pour un stupi... pour un chaton. Je m'accrochais plus fermement au barreau et continuas l'escalade de l'immeuble. Arrivée à la hauteur du chaton, je lui caressai la tête et il me mordit la main en feulant. Je sorti des sardine séché de la poche arrière de mon jean (comme tout vrais fan de chat, il faut parer toute les éventualités) et les mis sous le museau du chaton, qui changea aussitôt d'expression et se mit à lécher les sardines avidement. Je souris et essaya de détacher le petit animal : il faut dire qu'il était bien coincé ! Je mis plusieurs minute et quatre paquet de sardines avant de réussir à décoincer sa tête. Je pris entre mes mains la petite bête fragile, entrepris la descente. Tout se passait bien, mais arrivé au deuxième étage, j'oubliais le béton fragile et mon pieds dérapa du balcon. J'eus juste le temps de lancer le chaton dans les bras de Carmen et m'évanouit

              Voilà. Bon, je ne me suis pas vraiment évanouit, mais c'était plus stylé comme ça. En vrais, j'ai crié comme un chat qu'on égorge, et Carmen a appelée les pompiers qui m'ont transportée en urgence à l'hôpital. Plus de peur que de mal, je n'ai qu'une fracture du tibias gauche, et je suis immobilisée pendant deux semaines, ce qui vas clairement gâcher mes vacances.

Mais ça en valais le coup, non ?

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⏰ Last updated: Sep 23 ⏰

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RédactionWhere stories live. Discover now