Point de vue GabrielCinq heure du matin, il était cinq heures du matin et pourtant j'étais déjà réveillé depuis un bon bout de temps déjà. La veille je n'eus de chance pour m'endormir. Jordan...Jordan... il n'y a que lui. La nuit il me hante sans parler de la journée, il occupe toute mes pensées. Mon réveil retentit ce qui me fus revenir dans le monde réel.
— Bon aller Gabriel, debout. dis-je en me motivant avant de me lever pour aller me préparer.
Je partis me laver, l'eau me coula sur le visage. Une sensation agréable. Je ferma mes paupières et repensa encore et toujours à...à Jordan... Jordan... Jordan, lui, encore lui, toujours lui, que lui. Pourquoi occupe t'il que mes pensées ? Mais déjà pourquoi mon cœur bat plus vite, plus fort comme si il allait me transpercer la poitrine ? Je repensa à hier, quand il me faisait mon lacet il était si... si doux puis les regards qu'on a eu quand il sait relever c'était juste..., mes joues devenaient rouge juste en pensant à lui, je rougis sans m'en rendre compte.
L'heure passa, je m'habilla avant de manger une tartine et prendre un café. Je regarda l'heure sur ma montre.— Merde je suis encore en retard, je partis vite avant de fermer ma porte à clé et monter dans ma voiture.
J'arriva à l'assemblée nationale juste à l'heure, le temps était maussade et triste. Je rejoins Prisca avant de nous rendre à l'hémicycle.
— Il va pleuvoir aujourd'hui je pari, dis-je à Prisca en marchant.
— Oui sa c'est sûr, me répondait elle. Ah d'ailleurs Gabriel le président veut te voir.
— Quoi tout de suite ? m'étonnai je.
Je n'ai vraiment pas envie de le voir, je soupira. Après tout je suis son premier ministre il doit vouloir me faire part de quelques choses. Mais bon même si il était ma source d'inspiration et d'admiration ces temps-ci je ne le supporte plus. Il est peut être stressé par les européenne qui sait, c'est peut être pour ça qu'il est désagréable.
— Oui enfin il veut te voir ce matin il a un truc important à te dire je crois, elle reprit, il est dans son bureau.
Nous nous saluons avant de partir chacun dans une direction opposé, Prisca vers l'hémicycle et moi... direction le bureau du président, soupir.
Enfin arrivé devant la salle, je toqua à la porte avant de l'ouvrir. Macron était là entrain de m'attendre.— Entre Gabriel, je dois te parler. il prononçait ses mots avec sérieux, ohh à quoi dois-je m'attendre ?
— D'accord monsieur, je rentra et ferma la porte juste derrière moi avant de m'installer sur une des chaises qui se trouvait devant son bureau.
— Bon nous voilà tous les deux maintenant, dit il avec un ton moins sérieux plus décontracté avant de reprendre, Alors Gabriel comment se passe ta mission ?
— Ma mission ? demandai je.
— Arrête de faire semblant de ne pas comprendre ce que je te dis, dit-il agacé.
— Mais je fais pas semblant quelle mission monsieur le président ? demandai je troublé, c'est vrai quoi quelle mission m'a t'il demandé déjà ?
— Oh Gabriel je t'ai déjà dit de me tutoyer me tutoyer en privé. soupir t'il, Puis ta mission tu t'en rappelle déjà plus, je sais que tu tête en l'air mais quand même. C'est celle de te rapprocher de Jordan Bardella l'a tu déjà oublier, son ton était devenu sec et agacé.
— Ahh ça, c'est vrai je l'avais oublier, euh et bien tout se passe bien... voilà. pourquoi je me sens triste et coupable de quelques chose maintenant, c'est vrai quoi ce n'est qu'une mission, qu'un objectif comme tous les autres, je crois que je l'ai oublié pendant un long moment je m'attache un peu trop à lui nos sorties ensemble.
— Bien, comme il n'y a rien d'autres que je dois te demander et que tout ce passe bien tu peux disposer et repartir à ton travail, il avait repris son ton chaleureux du début. Quant à moi il faut que je retourne à l'Élysée sur ce je te laisse.
— D'accord au revoir passez... euh passe une bonne journée. dis-je en le saluant avant qu'il parte et que je part à mon tour.
Ma journée n'a pas l'air d'être bonne aujourd'hui visiblement. Malheureusement, bon faut que j'aille bosser maintenant.....
J'avais terminé le travail. Il était dix-neuf heures passées et il pleuvait des cordes.— Merde j'ai pas pris mon parapluie et je me suis garé loin, soupirai je.
Je sortis de l'assemblée les yeux rivés sur mon téléphone pour répondre aux messages que j'avais reçu pendant la journée. Je rentra dans quelqu'un, la silhouette me fut familière. Je leva mes yeux et m'excusai je.
— Pardon je m'excu- je levais mes yeux et vit Jordan. Jordan ? m'exclamai je étonné de le croiser ici à la sortie de mon lieu de travail.
— Gabriel, toi aussi tu es là ? dit mon adversaire politique intrigué et amusé de m'avoir croisé.
![](https://img.wattpad.com/cover/374411188-288-k751705.jpg)
VOUS LISEZ
Un amour venimeux ( Attal X Bardella )
RomanceÀ ne pas prendre en sérieux l'histoire, les comportements des personnages etc c'est juste une fan fiction