Fairy tales don't exist

🗝️Chapitre 10🗝️

Je plaque ma main sur la bouche de ma victime qui s'évanouit directement. Uma rigole et me dit de l'emmener au bateau alors qu'elle essaye de trouver un moyen d'accédé au portail.

Je dépose Bea dans ma chambre et attend qu'elle se réveil. J'attend quelque minute, un trentaine je pense avant qu'elle n'ouvre ses paupières. Elle scrute d'abord le plafond et fais un bond de surprise. Elle me regarde.

- Je suis où Hook, je suis où ? elle saisit une bouteille d'alcool qui traine et me menace avec

- Relaxe princesse, relaxe, la calmai je en baissant la bouteille.

- Non ! Tu crois que je vais me calmer alors que je suis enfermer dans une chambre...sale.

- J'te permet pas, déjà elle est pas sale et en plus c'est la mienne

- Je suis censé me réjouir alors que tu m'a kidnappé ??

- Euh, ouais, dit je d'un air blasé.

Je lui tourne le dos et lisse mon crochet. Je l'entend forcé la porte, je me retourne m'adosse a un lavabo et lui souffle d'un air réjouis.

- Tu n'as pas la clééé

- Ah oui et elle est où ? répond-t-elle d'un air insolent

-Ic..., je commence à paniquer quand je ne trouve pas les clés pourtant glissé dans ma poche.

- Attend ne me dis pas ! HARRY HOOK ! le fais qu'elle prononce mon nom entier me donne des frissons

Elle s'approche de moi et me menace du doigt

- Retrouve moi ces clés où je te mangerai pour ma propre survie.

Je lui prend le poignet et approche mon visage du sien.

- Tu n'oserai pas, Beatris, je lui lâche le poignet, après c'est pas grave on est à deux ça aurait etre pire.

- Mais c'est pire ! Coincé avec un gars cinglé qui m'a embrassé alors qu'il ne me connaissais pas.

Aie, coup dure.

- Tu as apprécié, répliquai je

Ses joues deviennent rouges et elle s'assoie contre la porte.

- Faux je voulais...juste me...débarrasser de toi !

- Mmh, je regarde mes doigts et lutte pour éviter qu'un sourire paremente mes lèvres.

Elle se lève, s'approche de moi, me regarde et me flanque une gifle. Des larmes coulent à flos de ses yeux.

- Je te jure Harry que si je reste bloqué encore une minute de plus avec toi je te tus de mes deux mains. Je suis malade, il me reste qu'une année à vivre et je n'ai pas envie de passer cette année à pourrir sur l'ile de l'oublie, alors trouve cette fichu clé, finis-t-elle

Ces mots me font l'effet d'un coup de couteau dans l'estomac. Malade ? Comment ça ? Un an à vivre ? Pardon ? Qu'est maladie ?

- J'ai une insuffisance cardiaque, dit-elle comme si elle avait lu dans mes pensées.

Je m'assois sur le lit déboussolé. Je ne devrais pas mais, bordel elle ne le mérite pas ! Elle ne mérite pas tous. Elle n'y est pour rien ! Rien ! Uma se comporte comme une salope les VK aussi et moi...moi je sais pas. Je veux lui offrir la meilleure vie. Mais c'est ma pire ennemie.

- Ne te sens pas coupable...me calme-t-elle

- MAIS BORDEL ! je me lève en furie et dégage d'un coup sec toutes mes affaires posé sur une table.

Elle me regarde choqué.

- BORDEL MAIS QUEL CON, QUEL CON ! JE SUIS UN CONNARD DE MERDE !

Je me met à tourner partout en me tenant la tête, je balance mon crochet. Je reste là comme ça jusqu'à la tomber de la nuit. Bea c'est réfugié dans ma salle de bain. Elle sort quelque minutes après son corp nue enroulé dans une serviette.

- Ta douche n'est pas comme celle au château mais elle a fait l'affaire, elle me scrute, tu t'ai calmé ?

Je me racle la gorge. Bordel, qu'est ce qu'elle est belle. Je la regarde de bas en haut. Elle semble gêné.

Quelques heures plus tard la nuit est noir. On y voit pas très clair dans la pièce alors j'allume la lampe à huile.

- Je suis désolé d'etre aussi con...

Elle me regarde choqué. Elle vient à coté de moi et retrousse ses lèvres

- T'inquiète je le savais déjà.

Je rigole fasse à sa ramarque.

- Bon je vais me coucher, je...hum...dors par terre...

- NON ! Euh, je veux dire, non, c'est moi qui nous as mis dans la merde alors dors sur le lit.

- Non je t'assure, elle cris quand je la bras dans mes bras et la balance dans le lit.

- Tu dors ici je t'ai dis, dit je en croisant des bras.

Elle se couche nerveusement sur le lit, elle se retourne vers moi, qui dors par terre à côté du lit, je distingue un faible sourire sur ses lèvres.

- Tu vas te faire mal au dos, se plaît-elle

- Pas grave.

Elle tape doucement sur le matelas

- Vient, je n'aime pas voir les gens triste ainsi pour moi

- Je suis pas triste, dit je avec un rictus moqueur.

Je m'installe à côté, j'hume son parfum et m'endors sauf que quelque chose dérange ma position. Je chercher à tâtons ce que cela peut être et...une clé

Oups