Raprochement

19 0 1
                                    

Quand je m'installa dans sa voiture, je n'ai pas pu m'empêcher de le regarder. Il était tellement beau, comment voulez-vous ne pas admirer sa beauté ? Pour moi, cela serait de la torture.

- Comment c'est passé ton voyage Inaya ?

- Très bien, j'ai du dormir environ 5 ou 10 minutes je sais plus trop. Mais malgré ça je me sens toujours aussi fatiguée !

- Oui, tu m'étonne mais si il faut, rendu à la maison tu pourras faire un sieste si tu veux.

- Non, ne t'inquiète pas pour ça je dormirai plus tard.

- Si tu le dit.

- Au fait je suis tellement contente de pouvoir enfin te voir !

- En même tant, qui ne voudrait pas me voir, sérieusement ?!

- Plus égocentrique que Jérémiah Cooper, ça n'existe pas !

Nous rigolâme.

- Au fait, ce soir il y a une fête sur la plage et je me suis dit que tu voudrais bien y aller, ça te tente ?

- Oui,pourquoi pas mais promet moi de rester avec moi je ne connais encore personne ici, à part toi.

- Je te collerai tellement que tu me supplieras de te laisser tranquille ! Ce que évidemment je ne ferai jamais !

Je me mis à rigoler.

Sa présence me donne le sourire et je me sens tellement bien avec lui

Le reste du trajet se déroula dans le silence, mais pas un silence gênant plutôt un silence relaxant. J'écoutais sa respiration. Elle étais lente et reposée.

Quand la voiture s'arrêta, elle s'arrêta dans une allée en cailloux. Au bou de cette allée, il y avait une grande maison à étage. La façade était blanche et les volets était peints en bleu ce qui me rappella l'océan. 

Quand j'ouvri la portière de la voiture, elle se referma directement. C'était Jérémiah, il s'était penché pour refermer ma portière. Quand il l'a referma, nos mains se touchèrent et ce seul contact réussi à enflammer mon cœur. Nous étions tellement près que je pouvais sentir son odeur, un mélange de vanille et de sel sûrement dû au fait qu'il habite proche de la mer.

Il retira sa main, sortit de la voiture, la contourna pour ouvrir ma portière. J'étais tellemrnt stupéfaite que je sentais la chaleure émanée de mes joues, signe que je rougissais.

Quand je sortie de la voiture je lui dit :

- Mais quel gentlemen !

- Oui je sais, on le le dit souvent.

Il me fît un clin d'œil.

Nous avançame jusqu'à sa maison et quand il ouvrit la porte d'entrée, il disa :

- Home sweet home.

Un Été Pour Tout Changer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant