Chapitre 1

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Information: a partir de maintenant l'histoire sera diviser en deux. vous aurez le choix entre le point de vue de Billy (P.O.V) et celui de Preston. Bien évidemment les point de vue seront similaires parfois mais il seront opposé cependant vous avez tout à fait le choix de lire les deux. le choix vous reviens entièrement. sur ceux place a la lecture.

POV Billy :

Un plein après-midi du vendredi 7 juin 2024. La sonnerie de l'établissement scolaire de la ville d'Elmerdorf situé au Texas. Les cris des jeunes lycéens resonnait tandis que leurs feuilles de cours volaient à la suite de la tradition annuel (lancé tout les cours dans les escaliers et couloirs). Et pourtant j'ai le moral à morphe. Je devrais être content du début des vacances mais nan. Pourquoi ? Car je vais passer mon été seul. Déjà que j'ai passé l'année seul dans une classe insupportable. Mentalement ça a été dur. Je n'avais jamais passé du temps sans lui. Et cette année tout à changer. Déjà j'ai redoublé après avoir rater mes exams, puis il est parti pour son université à New York. Qui ? Mon meilleur ami et unique amour. Preston. On a grandi ensemble. Nos parents étaient des amis proche et voisin alors forcément une amitié s'est crée entre nous. Il a toujours été un frère pour moi. Enfin presque toujours. Arrivé vers le début du lycée tout à changer. Notre proximité physique et une tension particulière s'est introduite entre nous. J'ai toute suite compris l'origine de celle-ci. J'avais et j'ai encore maintenant une irrésistible envie de lui. Pas au sens sexuel (quoique à voir à l'avenir), nan une envie totalement différentes. Comme une attraction me forçant à rester collé à lui. Avoir passé un an sans lui a été la plus grande torture jamais vécue. D'un côté car c'est mon seul et unique ami, et d'un autre car, il est certain que je suis raide dingue de lui. Je suis complètement accro à lui. A sa voix rauque et sensuelle qui me fais fondre à chaque appel passé avec lui. A ses yeux bleu profond, dans lesquelles je me perdais comme un marin piéger en mer. A ses cheveux bruns presque noir. A son odeur don je m'enivre en lui volant des pulls de temps en temps en prétextant a son père diverse excuse pour rentrer chez lui (non je ne suis pas un psychopathe je suis juste amoureux merci !). Et par-dessus tout, a son touché contre moi. Ses gestes affectueux me remplissent d'amour et de joie. Ses câlins, ses caresses dans mes boucles brunes, sentir sa mains entrelacés nos doigts afin de réchauffer les miens.

Mais bon, c'est un amour vain puisqu'il est désormais loin, et surtout car cela gâchera notre amitié. Et ça je le refuse. Je refuse de gâcher la magie entre nous. Je préfère encore le voir heureux avec un ou une autre que de briser notre amitié. Il compte trop à mes yeux pour le perdre d'une façon si égoïste que de lui dévoiler mes sentiments.

C'est donc avec cet état d'esprit que je rentre chez moi le pas trainant au rythme dema musique quelques peu douteuse pour mon âge. Faut dire les années 80 ce n'estpas pour tout le monde. Je suis du genre jeune physiquement mais avoir deux fois mon âge mentalement. Preston a toujours redouté mes gouts. Je l'entends encore me dire « mais bon sang Billy ta dix-huit ans pas quarante arrête tonlook de vieux ! habille toi comme un jeune de nos jour enfant ! »puis après ça s'en suivais un long débat sur mes gouts qui l'amusais et l'exaspérait au plus haut point. 

Généralement on finissait par une bataille de chatouille et le plus fort remportait la discussion. Je chéri mentalement ces souvenir si précieux. Il me remonte souvent le moral.

C'est sur cette note de nostalgie que je rentre chez moi.

« -salut maman je suis rentré.

-je suis dans la cuisine mon chéri. Dépêche-toi j'ai une surprise pour toi.

-t'as fait des gaufres ??

-non mieux que ça. Aller vient. Garde tes chaussures si tu veux mon avis. » 

J'ai froncé les sourcils perdus, puis est posé mon sac en me dirigeant dans la cuisine pour tomber sur le père de Preston en compagnie de ma mère sirotant un café.

Les voir ensemble ne m'a pas surpris. Il était le collèguede mon père avant qu'il meure en service dans un braquage qui a mal tournée. Les braqueurs était furieux de voir la police et ont paniqué. Ils ont donc tiré sur eux en espérant fuir plus facilement. Mon père s'est donc pris une balle en essayant de les arrêter avec le père de Preston. Celui-ci à finis avec une balle dans l'épaule. Pourtant il a refusé d'aller à l'hôpital afin de prévenir ma mère de la mort de mon père en service. Je l'ai toujours admiré et remercié pour ça. J'admets ne pas beaucoup me rappeler de mon père car cet arrivé quand j'avais environ neuf ans.

A partir de ce jour-là il est un peu devenu un père de substitution pour moi. Ça m'as encore plus rapprocher de Preston qui n'avait pas de mère.

« -bonjour bonhomme comment vas-tu ? toujours à déprimé car Preston te manque ? » j'ai rougi de honte car il visait juste. Comme souvent d'ailleurs.

« -je suis percé à jour face à vous inspecteur comme toujours.

-tu me facilite les choses en étant un livre ouvert. Cependant j'ai une nouvelle qui devrais te remonter le moral. ».

J'ai soupiré en prenant un cookie puis est croqué un morceau.

Il a regardé ma mère amusée tandis que celle-ci pouffais de rire.

« -j'en doute fort mais essayer pour voir »

« -si jeune et déjà défaitiste quelle tristesse pas vraie mary ?

-ma fois je crois que mon fils est tous sauf jeune mentalement John. Il est même plus vieux que moi parfois si tu veux mon avis.

-oui bon les deux personnes âgées ont fini de me vanner ? je sais que j'ai des gouts particuliers mais quand même. Quel est cette nouvelle qui mérite mon attention ?

-le retour de Preston pour les vacances d'été. »

Et là le choc ! il allait rentrer ! j'allais enfin le voir autrement qu'à travers un écran. Une joie et un sourire immense ont pris place en moi. 

« -j'avais dit que ça te remontera le moral.

-quand ?? il sera la quand ??

- il est déjà arrivé il est dans sa chambre. »

Il ne m'en a pas fallu plus, j'ai couru jusque chez lui. J'ai tambouriné à sa porte jusqu'à se qu'il ouvre. Et là je les vues. Enfin après un an.

« -salut Billy » il m'as pris dans ses bras et j'ai hurlé de joie intérieurement. 

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