Chapitre 2

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 POV Preston :

Le train. Un endroit horrible. Pour moi du moi. Je supporte pas d'être avec trop de gens. Et la....je suis en souffrance total. Le surplus de gens dans mon wagon est insupportable. Les enfants qui cris, les gens au téléphones et qui parlent fort, puis enfin le pire les gens qui mange la bouche pleine. Bon j'admets je suis difficile. Mais pour ma défense, c'est dur de rester calme quand ça fais trois heures que tu es assis à supporter tout ça. Heureusement pour moi je suis censé arrivé dans dix minutes. Après ça je serai tranquille. J'aurai juste à prendre un taxis jusque chez moi.  

Plus que quelques heures avant d'être dans mon chez moi. De retrouver mon père et Billy. Mon Billy. Il ma tellement manqué. Environ neuf mois que je ne l'ai pas vu. Ses petite boucles qui caresse son visage et qui chatouillais mon cou quand on se blottissait l'un contre l'autre pendant nos séances cinéma. Son look absolument atypique et décaler des années 80. Sa façon de taper du pied en rythme à chaque musique qu'il entend. Ses yeux brun qui brille à chaque fois que sa curiosité est piquée.

Pourquoi je tente pas le coup ? Car entre nous c'est compliqué. On a toujours été comme des frères. Même si j'ai vu la tension entre nous ,je préfères garder une certaines distances entre nous. Je vais le regretter ? C'est sur et certain mais c'est comme ça. Puis de toute façon il finira par trouver quelqu'un qu'il aime alors autant rester un minimum distant si ça m'évite de souffrir plus tard. Bref le plus important c'est que je vais enfin sortir de ce foutu train et rentrer.

 Je récupère ma valise et sort. Autre chose insupportable avec le fait de voyager : les gare bondé. Il y a tellement de monde que circuler est impossible. Le bruit aussi. Je suis du genre a ne pas aimé les sons trop fort pourtant actuellement j'ai mes écouteurs à fond. Vivement que je sois chez moi.

Une fois sorti de la gare un élément inattendu viens me remplir de joie. Mon père est la. Avec sa voiture de police et son uniforme. Je me précipite vers lui :

« - papa ! Qu'est-ce que tu fais la ? Je croyais que tu travaillais ??

-surprise mon grand. Je me suis libéré pour venir te chercher. J'espère que ta faim ? J'ai pris des sushis sur la route

-pour des sushis j'ai toujours faim ! »

 Il a prit ma valise pour la mettre dans le coffre et on s'est installer sur les sièges avant. Et la mon grand amour ! Un méga plateau sushi remplis maki saumon, des sashimi et des soupes miso !! tout ce que j'aime !

« -tu sais que je t'aime papa ?

-espèce de gourmand ! » mon père à rit.   

 Une fois chez nous mon père m'as aidé a ranger mes affaires tout en papotant de mes études. Il à l'air vraiment fière de moi. Après c'est pour lui que je fais tout ça. Pour moi aussi bien sur mais je veux surtout le rendre fier. A l'origine je voulais être policier comme lui mais après la mort du père de Billy il a toujours été contre. Donc pour pallier à son interdiction j'ai décider de devenir avocat ou procureur. Comme ça je pourrais me battre pour la justice à ma manière.  

Une fois toute mes affaires ranger mon père perdit son sourire :

-Pres j'aimerai que tu t'assois s'il te plaît je doit te parler de quelques chose.

-il y a un problème papa ? Tu fais une drôle de tête.

-déjà tu dois me promettre que ce dont je vais te parler restera entre toi et moi. Tu ne doit absolument rien dire à Billy. Je connais sa curiosité mordante il se mettrai en danger. Et te connaissant tu le suivrai aveuglement.

-très bien je dirais rien. Maintenant dit moi ce qu'il se passe s'il te plait , papa tu commence à m'inquiéter.

-tu te souviens de ce qu'il s'est passé à l'âge de tes douze ans ? Du tueurs en séries qui sévissait ?

 Et la le choc. Un ensemble de flash-back ressurgi dans ma tête. Comme une spirale infernale qui me hante.

Les bruits de pas lent et fort. Le bruit métallique qui traîne. Il approche. Il va m'attraper comme tout les autres. Papa vas être malheureux. Il a déjà perdu maman et son meilleurs ami. Maintenant c'est mon tour. Je vais mourir aussi. J'ai peur. Très peur. Les lumières automatique du couloir s'allume. A travers les trous du casier je peux a peine voir ce qu'il se passe. Je ne vois pas mais j'entends tout. J'entends son souffle et ses soupire pervers fasse à notre jeu de cache cache. Je ravale mes sanglot de terreur en couvrant ma bouche de ma main.   La lumière du couloir passant a travers les trous du casier disparaît. Il est la, devant ma cachette secrète. Alors que je pense être découvert, un grand bruit de métal frappe dans le casier voisin me figeant dans ma terreur. Je l'entend jurer puis s'éloigner d'un pas presser sûrement agacé de ne pas me trouver, tandis que moi..... moi je reste a ma place. Souffrant de mon silence et de ma terreur face a ce monstre qui me cherche.

 Soudain un douleur au niveau de ma joue me sort de ce souvenir horrible.

-pres tu vas bien mon grand ?! Mon père me prend dans ses bras afin de me calmer et de m'aider a reprendre mon souffle. Une fois calmer je remercie mon père avant de lui demander :

- combien ? Combien de personne il a tué ?

-seulement deux et heureusement. Donc a partir de maintenant couvre feu a vingt-et-une heures. Et interdit de t'en mêler. Je te répondrai si tu as des question mais c'est tout. Compris ?

-oui papa.....bon sang je le croyais mort ce chien....

-je sais on le pensait tous. Je te promet de tout faire pour l'arrêter.

-merci papa......tu ferai mieux d'y aller t'es en service ce soir nan ?

 -oui tu as raison. Je vais passé voir Mary d'abords. Tu devrais t'attendre toi à voir ton petit ami débarquer en trombe.

-papa ! C'est pas mon petit copain !

-oui oui et les poule ont des dents.

Il se lève donc en ricanant avant d'embrasser mon front et de partir me laissant seul les joue empourpré. Je soupire en souriant bêtement. Encore une fois mon père visait juste. Il me connaît par cœur et me soutiens toujours. J'ai vraiment de la chance de l'avoir.  

 Quelques minutes plus tard un grand tambourinement sur la porte d'entrer me fais comprendre que Billy est arrivé. Je descend donc les escalier intérieurs et va lui ouvrir. A peine ai-je ouvert et une touffe de cheveux ainsi qu'un corps chaud se blotti contre moi avec force. Un immense sourire prend place sur mes lèvres.

-salut Billy.

PIG KILLER!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant