Chapitre 2

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AURORE

Hanna Arendt a dis « toutes les douleurs, on peut les surmonter si on arrive à les metre dans une histoire », c'est dans cette idée que j'écris. Souvent, mètre des mots sur mes pensée me permet de les ranger. Dans ma tête je veux dire. Je pense trop, genre vraiment trop .ça à toujours été comme ça. A 6 ans je voulais tout savoir, tout comprendre, comment ça se fais qu'on a la lumière alors qu'on est entouré de murs opaque, pourquoi le liquide rouge qui sort de mon genoux quand je tombe de mon vélo est moins douloureux que chaque fois on la maitresse nous explique comment faire notre cadeaux de fête des pères. A 13 ans, mes insomnie causer par mes réflexion incessante ont pousser ma mère à m'emmener voir un psy. Il ma diagnostiqué des troubles obsessionnels compulsifs.
Ah.
Du coup j'ecris.
Des poèmes surtout, par ce qu'on peut dire des choses sans vraiment les dires. Les poèmes on du succès parce que les sujet son vaste, on peut les comprendre, ce les approprié.
Ce soir j'écris, je suis inspiré par l'exposition de cette après midi, ces couleurs, ces lumières, ces musiques, cette sérénités. Enfin avant qu'elle sois troublé.
il étais beau. Je veux dire il de toute façon physiquement attirant, ces un fait. Mais aujourd'hui, quand il a débarqué avec sa chemise noir, ouverte sur le bas de son cou, je l'ai trouvé vraiment beau. Pourtant Faure n'est pas mon genre.j'ai une préférence pour les garçons réservé , ou les filles extravertie. Haydan, bien qu'il ne sois pas le mec les plus sociable du monde, est loin d'être qualifiable comme quelqu'un de réservé. Mais dieu qu'il est beau, presqu'autant qu'il est insuportable. Ses yeux noirs on toujours l'aire de vous examiné jusqu'au plus profond de votre âme . Comme si on ne pouvais rien lui caché, comme si il étais bien trop intelligent pour ne pas lire sur notre front toutes nos secrets, toutes nos erreurs. j'aime pas ça. Pourtant lorsqu'une que cette notification s'affiche sur mon écran d'acceuiil, ma respiration se coupe une demi-seconde.
« C'est Faure, tu pense que si, comme Vanghoge , je me coupais une oreille, tu me regarderais toujours comme tu l'a fais cette après midi ? »
Ce qu'il peut être présomptueux.
Je ne répond pas.
Je vais pas répondre a sa petite provocation.
Je vais pas le faire
«Tu t'es trompé de numéros Faure, mais coupe toi l'oreille, juste au cas ou »
Il m'a eu, fais chier





Ayden
Je souris comme un con derrière mon écran.
Je tapais déja ma réponse quand un bruit violent et rapide résonne dans la maison.
Puis plus rien.
Alors je sais qu'il est rentré.
Mon père, Adrian Faure.
Un homme respecté par la haute société parisienne. Il a monter sa boite à l'age de 20 ans et aujourd'hui il se remplit les poches de millions d'euros, chaque années. Mais c'est jamais assez. c'est juste un homme qui n'avais absolument rien et qui a pris gout a avoir toujours plus. Mais heureusement, il a un super moyen de géré sa frustration.
Un autre coup retentit.
La violence.
La violence verbale je connais bien. C'est elle qui a bercé mon enfance, c'est presqu'un membre de la famille maintenant. Elle est vicieuse parce que contrairement au plaies, elle ne se referme jamais. Elle agit dans l'ombre et avec le temps. Comme un méchant dans les livres qui se fais passé pour un personnage secondaire alors qu'en réalité il tire les ficelles. Si c'etais une couleur, se serait la couleur bleu. Mais pas le bleu qui à ensevelit la pièce durant l'exposition tout a l'heure. Ni comme le bleu qui marque le corps en guise de rappelle. Le bleu du plafond de ma chambre depuis que j'ai 11 ans. C'est a peu près à cette âge la que j'ai commencé à le fixer chaque soir pendant plusieurs minutes, ou plusieurs heures,ca dépend . Il me chuchote en boucle les mots de mon père.
« Aydan si tu n'arrive pas a te faire respecter par des putain de collégien comment veux tu devenir un jours autre chose qu'une ridicule fourmis qu'on écrase sans remord »
L'harcèlement au collège
« Cette fille ne vaut pas mieux que les autres, tu pense peut être que ta priorité dans la vie c'est de baiser cette gamine ? »
J'ai plus touché une femme depuis mes 16 ans.
«  Une fac de lettre ? Tu te fou de moi pas vrai ? J'ai payer les frais de ton école pendant des mois pour que tu abande tout du jours au lendemain ?? Moi qui pensais que tu ne pouvais plus me décevoir plus que ce n'est déjà le cas. J'aurais préférer qu'elle avorte »
Elle, ma mère dont il n'a pas prononcé le nom depuis des années.
Le silence a regagné l'entièreté de la maison.
J'éteins la lampe d'un geste mécanique. Je pose mon téléphone, balayant distraitement la notification d'aurore.
Il me faut encore pas mal de temps avant de réussir a trouver le sommeil.



Liora
6h
Le réveil sonne, trop tôt
6h30
Je me résous a sortir du lit, je prend une douche rapide, brosse mes dents en jetant un oeil a ma liste de choses à faire.
7h
Je fini de me préparée en appliquant mon glosse préféré.
Puis tout compte fais j'enlève mon haut fuchsia pour le vert sapin.
7h 30
Je suis en pleine préparation du petit déjeuné, je m'assure que la tartine de mon petit frère sois à peine grillé, comme il l'aime, que le bol de lait de ma petite soeur ne sois pas trop chaud et surtout, qu'ils aillent tout les deux exactement la meme quantité de jus dans leurs gobelets attitré .
8h
Eva et jacob ont fini de débarrassé leur déjeuné, et sont entrain de s'habiller dans leurs chambres respective. Habits que j'ai oublié de préparer.
Merde
8h30
Jacob se brosse les dents tandis que je bataille avec les boucles brunes de ma petite soeurs.
9h
Je viens de déposer les deux petits monstres à l'école, juste a temps.
Je prend le métro en sens inverse en envoyant un message a Rory pour qu'elle me garde une place en amphi, je risque d'être un peu en retard.
~~
Je la cherche du regard dans la pièce immense, puis me résout a abandonné et à m'assoir a la place libre la plus proche.
Je sort mon pc tout en me rappelant que je n'ai pas encore donné l'argent à la maitresse des jumeaux pour leurs sorties scolaires.
« Dure réveil ? »
Surprise , je tourne la tête vers lui.
Parce que c'est forcément lui, je connais sa voix par coeur.
«  Oh euh non ça va »
Elio m'adresse un petit sourire complice qui m'aurais sans doute fais rougir si j'étais pas aussi fatiguer.
« Alors comme ça les italiens peuvent être en retrad aussi ? Je pensais que c'etats un truc réservé au Français »
Je lui rend son sourire taquin
« Aux Parisiens plus précisément, faut croire que je me suis enfin adapté »
Je tente de me concentré sur ce que déblattaire le prof. Mais c'est peine perdu, et je blâmerais bien le manque de sommeil, mais c'est surtout la cuisse d'Élie qui frôle la mienne a chaque fois qu'il change de position.
Ou c'est peut être ses doitgts qui dansent sur le clavier de son ordinateur.
Bordel ce qu'il a des belles mains.
Je sais qu'il surprend mon regard alors je tente une distraction.
« Ayden n'est pas avec toi ? »
Parlé d'un autre mec devant celui qui t'intéresse, tu as fais de meilleures distractions Liora.
«  Il a dis qu'il se sentais mal se matin, alors je fais de mon mieux pour prendre des notes bien rédigé »
Quand il désigne ses mains sur le clavier d'un geste amuser j'ai envie de mourir.
Je lui adresse un sourire, qui laisse surement entrevoir ma gène, et je me remet a copier le cours, bien cette fois.

Elior
Quand le cours se terminent, Liora rejoint rapidement Rory.
C'est en voyant la grande brune que je me demande ce qu'Aydan a bien pu lui écrire hier soir. Je lui demanderais si il daigne pointer le bouts de son nez aujourd'hui.
J'ai menti quand j'ai dis a liora qu'il se sentais mal, en vérité j'ai aucune idée de ce qui justifie son absence.
Il a pas répondu a mon message de se matin, ni celui d'hier soir d'ailleurs.
c'est pas la première fois qu'il fais ça, ayden est mon meilleurs amie depuis le lycée, on s'est retrouvé dans la meme classe en seconde, il étais très different d'aujourd'hui , bien moins abordable et confiant. Moi je l'ai tout de suite apprécié, j'ai, je l'avoue, pas mal forcé pour être son amis, je me mettais à coté de lui a chaque cours, je le choisissais en premier dans mon équipe en sport, je prenais le meme métro que lui, meme si j'habitais dans l'autre sens, juste parce que j'avais remarqué qu'il étais plus apte à discuter en dehors du lycée, alors je pouvais pas laisser passer ma chance.
Un jours, dans le métro étrangement vide pour l'heure de pointe, il ma demandé si j'avais des vues sur lui. J'ai d'abord rigoler, pensant qu'il me faisait une blague puis je me suis souvenu que c'était pas vraiment son genre.
Je me suis retrouvé a lui expliquer que je voulais juste être son pote, et que bien qu'il sois très canon, je préfère les femmes.
Apres ça il a commencé a me dire bonjours le matin, a m'adresser de plus à plus la parole en cours.
Parfois même , avant de prendre le métro pour rentrer, on allais jouer au basket toute les deux, entre amoureux.
Mais parfois il se renferme sur lui meme, ça peut duré juste le temps d'une soirée, ou bien plusieurs jours.
Il m'es déjà arrivé de tenter de le comprendre, mais c'est jamais très fructueux. Je sais juste qu'il a des relations tendu avec son père, d'autant plus depuis qu'il a quitter son école de com.
Souvent , j'ai envie de l'attrapé par le col et de lui criée qu'il peut me parler, me raconter, je suis son meilleurs ami merde.
Mais je le fais pas, parce que c'est ayden, parce que je suis moi.
J'espere qu'un jours quelqu'un aura l'audace de le secouer suffisamment fort pour que se con s'ouvre un peu.

AletheiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant