TW:(violence, meurtre)
2004
Meurs, meurs, meurs, meurs, meurs, meurs...
Je ne m'arrête pas. Je ne m'arrêterai jamais.
Encore ! Encore plus !
Mon poing s'enfonce dans son visage, qui cogne contre le bitume. Coup après coup, cri après cri, larme après larme, j'achève cette femme qui m'a tout pris. Son corps est inerte, mais mon poing, lui, continue d'accélérer.
CRAC.
Son crâne se brise. C'est tout ce qu'elle mérite.
— Ayden, arrête !
Je n'entends plus. Mes oreilles sont sourdes, mon esprit fixé sur le cadavre de cette pute.
— Merde ! On se barre, débrouille-toi seul !
Mon corps faiblit, mon bras devient lourd, mais avant que je puisse frapper à nouveau, je suis projeté en arrière.
Les flics. Ces enfoirés m'ont rattrapé. Je comprends maintenant pourquoi les autres se sont tirés.
Bizarrement, je ne lutte pas. J'accepte mon sort. L'officier, ou plutôt l'homme le plus dangereux de ce monde, s'approche.
— Alors, t'es content maintenant, fi...
— FERME TA GUEULE ! crie mon corps, refusant d'entendre la fin de sa phrase.
— Toujours ces problèmes de famille, hein ? me lance-t-il avec ce regard rempli de haine que je connais tant. Je pensais pas que tu irais jusqu'au bout, mais sache que tu vas pourrir longtemps en taule, p'tit con.
Une douleur vive traverse mon échine, secouant mon corps. Un taser. Même si je ne me débattais pas, ils prennent plaisir à me faire mal. C'est la règle de ce monde : faire souffrir gratuitement. Je m'écroule sous la fatigue et la douleur.
La prison... elle m'appelle. Combien de temps vais-je y rester ? Je n'en sais rien. Mais ils m'y emmènent. Et ma haine ne fait que grandir.
—————————————————————————————C'est la première fois que j'écris une vrais histoire,
J'espère que ça plaira à tout le monde(enfin plutôt au plus de monde possible.) j'essaierais d'écrire le plus souvent possible pour vous et aussi pour moi car je ne sais même pas comment ça va finir alors on verra bienAller, bonne lecture!!!
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Kérosène
AksiSoif de vengeance fasse à un monde entier, un monde que personne ne veut. Son but à lui, à Ayden, le faire disparaître pour que personne ne vive mal.