Amore Appassionato

Chapitre - 3. 🌷

Victoria.

Quand je me réveille une migraine affreuse me tambourine le crane.

Alors que j'émerge difficilement des flashs de la soirée d'hier refont surface.

Je me souviens de la soirée au club de boxe de Dario organisé par Amélia pour mon anniversaire, et un rire d'exaspération me vient quand je re voie tout ce monde. Je crois qu'elle s'est un peu emballé en invitant la moitié de l'université. Mais c'est Amélia la demi mesure ne fait pas partie de sont trait de caractère.

Je me souviens aussi de ma conversation avec Thomy. Il est d'une gentillesse qui me ferai presque ré avoir confiance en la gente masculine mais presque seulement.

Puis je me souviens de Gianni, il fallait qu'il soit là lui aussi. Je suis en colère mais contre moi plus que contre lui. Il m'exaspère, mais pour dire la vérité je suis troublé. Que ce soit la proximité lors de notre joute verbale ou quand il est venu me sortir de tout ce monde et de cette crise d'angoisse. Je n'ai pas été mal l'aise en sa présence et son contact. Il a réveillé quelque chose en moi d'endormi depuis bien longtemps. Depuis lui.

Je passe mes mains sur mon visage et me lève de mon lit pour aller prendre une douche pour me rafraîchir les idées car je crois que mon cerveau débloque complètement.

Quand j'entre dans les salon pour me rendre a la salle de bain Amélia prends son café devant la télé.

- Hola Vic chérie, comment tu vas bien dormis ?

- J'ai connu mieux. Dit-je d'un ton froid.

Je lui en veux pour hier soir. Elle sait mieux que personne par quoi je suis passé et ce qui me hante depuis maintenant 9 mois, depuis cette fameuse soirée du 2 juin. Fête national en Italie.

C'est elle qui ma retrouvé littéralement laissé pour morte dans notre ancien studio a Florence. C'est elle qui m'a aidé a me relevé tant bien que mal et qui m'aide un peu chaque jours a guérir et a mettre un pied devant l'autre. C'est elle aussi qui a suggéré que toute la famille parte rejoindre son oncle aux Etats-Unis pour redémarré une nouvelle vie car même si elle ne pouvais pas savoir qui il était vraiment, elle s'en veut de m'avoir poussé a le fréquenter.

- Puis-je finir mon café ou vais-je mourir avant ? Me demande t-elle hésitante et essayant de détendre l'atmosphère.

- Ecoute Amélia bien sur que je t'en veux pour hier soir. Mais je n'ai pas la force ne l'envie d'en discuter. Et que ce soit bien clair c'est dernière fois que tu me fait un coup comme ça.

- Je suis désolé je voulais juste te faire plaisir et que tu profite. Dit-elle vraiment peiné.

Je dépose mes vêtements sur la table a côté de moi et la contourne pour la rejoindre et la prend dans mes bras.

- Je sais bien, mais c'était trop pour moi. Une trop grand saut dans le vide.

- L'atterrissage forcé n'était quand même pas si désagréable. Dit-elle en ce reculant et en jouant des sourcils avec un sourire moqueur.

- Bon sang mais tu est irrécupérable. Je devine donc que c'est toi qui lui a dit de venir. Je demande agacé.

- Yep, mais c'est pour ton bien. Depuis que je te dit que vous allez finir ensemble tout les deux.

- Dans tes rêve ma belle mais vraiment bien profond. Lui dis-je en levant les yeux au ciel.

- Tu verra que j'ai raison n'oublie pas que je suis voyante ! Ah et il a envoyé un message.