Chapitre 3

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Le vent soufflait violemment sur les pavés humides de la ville, créant une atmosphère lourde et inquiétante. C'est dans cette ambiance que l'inspecteur Greenwich reçu un coup de fil qui lui permettra d'avoir une nouvelle vision de son enquête.

—Inspecteur Greenwich à l'appareil je vous écoute...

Au bout du fil, le médecin légiste qui venait de finir l'autopsie du corps de Monsieur Campbell.

—Alors Person... Qu'est ce que tu as
Trouvé!?

—Eh bien, après autopsie il semblerait que Monsieur Campbell ne soit pas vraiment mort à cause des trois balles qu'il a reçu. Mais plutôt par un empoisonnement à l'éthylène Glycol et que les trois coups de feu était juste une mise en scène pour maquiller l'empoisonnement.

—Intéressant... Quoi d'autre !?

—Aussi, avant la découverte du corps, ce dernier était déjà mort depuis plus d'un jour. J'ai relevé des empreintes digitales n'appartenant pas à la victime sur ses joues, et sur la veste de ce dernier.

Après les déclarations du médecin légiste, Greenwich sentit son excitation montée d'un coup. Car les deux suspects que sont Michael Scott et Madame Campbell aurait très bien eu le temps de commettre le meurtre et se forger un solide alibi par la suite. Impatient, il sauta dans son véhicule et mit les voiles pour l'hôpital où madame Campbell est en convalescence.

Une demi-heure plus tard, le voilà dans l'enceinte de l'hôpital. Passa de bref salutations au service d'accueil, pris l'ascenseur et couru vers la chambre 317. Il ouvrit la porte et qu'elle ne fut pas sa surprise de voir que madame Campbell n'y était plus. Surpris, il pris la direction du service d'accueil ou il croisa la jeune infirmière a qui il avait donné cinquante dollars. Il s'adressa à elle en disant;

—Bonjour demoiselle... J'ose espérer que tu va bien.

—Oui merci inspecteur et vous!?

—À vrai dire pas totalement... J'aimerais savoir où est allé là femme qui occupait la chambre 317. J'étais là hier j'ai discuté avec elle et aujourd'hui elle n'y est plus.

—Eh bien, après votre départ, madame Campbell si je ne me trompe a déclaré qu'elle se sentait mieux et voulais deja rentré chez elle. Le docteur lui donna son accord. Raison pour laquelle elle n'y aïe plus .

Greenwich se mit un instant à réfléchir et finit par dire;

—Savez-vous où je pourrais la retrouver!?

—Euh... Oui, elle a dit partir dans un hôtel. Mais je ne saurais vous dire lequel.

—D'accord, je vous remercie de toute ses informations, sur ce je dois prendre congé de vous.

Quelques minutes plus tard, l'inspecteur Greenwich retrouva les informaticiens du poste de police afin de retrouver madame Campbell grâce aux traçage de son téléphone. C'est dernier localise finalement  son téléphone dans un hôtel de la place. Les informaticiens lui donnèrent les coordonnées de l'hôtel et il s'empressa de s'y rendre.

Arrivé surplace, il pénétra dans l'enceinte de l'hôtel et s'arrêta à l'accueil. Là, les réceptionnistes s'adressèrent à lui en disant:

—Que voulez-vous monsieur?

—Inspecteur Greenwich de la police criminel, je suis à la recherche d'une certaine Mariah Campbell. Elle a pris une chambre dans votre hôtel hier.

—Un instant s'il vous plait, que je vérifie l'historique d'acquisition de chambre de la veille.

La réceptionniste regarda méticuleusement la paperasse sur son bureau et revint vers Greenwich.

—Désolé monsieur, mais nous  n'avons enregistré aucune Mariah Campbell dans l'historique.

Greenwich confus, ne comprenait pas comment cela était possible. Il réfléchit un moment et balança:

—Combien de personne vous ont pris des chambres la veille?

—Attendez que je vérifie... 

Cette dernière regarda dans ses documents et dit:

—Nous avons eu trois enregistrement hier, deux hommes et une femmes.

—La femme, quelle est son nom?

—Jeannette Baker!!!

L'inspecteur Greenwich sentit le sol se dérober sous ses pieds. Puis il eu une idée. Il contacta les informaticiens et leurs dit:

— Recherchez moi le nom de jeune fille de Mariah Campbell...

Quelques minutes plus tard, il obtint un retour des informaticiens.

—Le nom de jeune fille de Mariah Campbell est Jeannette Baker!

Un sourire angélique parcouru le visage de Greenwich, il remercia les informaticiens et revint vers la réceptionniste.

—Dans quelle chambre se trouve mademoiselle Baker?

La réceptionniste jeta un coup d'œil son ses documents et dit:

—Jeannette Baker occupe la chambre quarante huit monsieur.

—Je vous remercie de votre aide.

Greenwich se précipita dans l'ascenseur, choisi l'étage correspondant et courut vers la chambre de mademoiselle Baker. Il pénétra dans la chambre et vit madame Campbell sur le point de se suicider. Il sortit son arme, la pointa vers madame Campbell et dit:

—Lâcher ce couteau immédiatement. 

Elle s'exécuta et s'écroula sur le lit. Puis l'inspecteur Greenwich sortit des menottes et dit:

— Madame Campbell; je vous arrête pour le meurtre de votre mari Monsieur Campbell. Tout ce que vous direz ou ferez pourrait etre retenue contre vous.

Greenwich sorti madame Campbell de la chambre, celle ci était en larme et totalement retourné par la tournure des évènements. Il passèrent pas la réception et la, il s'arrêta, vint vers la réceptionniste et lui remit cinquante dollars. Confuse, elle le regarda d'un air incrédule et lui dit:

— Pourquoi donc cela?!

—Ce n'est rien, juste je vous remercie car grâce à vous, j'ai fini par attraper cette criminel (désignant madame Campbell).

Elle fini par accepta le présent de Greenwich. Ce dernier pris congé de la réceptionniste et mit Madame Campbell dans son véhicule. Il se dirigèrent donc au poste de police, où devait commencer l'interrogatoire de Madame Campbell.

<<Je vous remercie d'avoir lu ce chapitre... La suite très prochainement>>

The Serial KillerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant