Pirate King-Woosan

Chapitre 3

Cela faisait un mois que l'Intrépide avait quitter le port, et que Wooyoung avait dit au revoir a son père et Grace. Cette période avait été loin d'être de tout repos; entre les tempêtes et le morale de ses troupes, Wooyoung avait du se montrer ferme et parfois tyrannique pour assouvir son autorité. Cela c'était démontré ne serais ce que quelque jours plus tôt; un certain groupe de marin qui avait dormis trop longtemps, rejoignant les autres sur le pont avec une petite heure de retard, avait étoffé d'une belle punition que certains avait jugé beaucoup trop cruelle; condamné à enlever, à l'aide uniquement de leurs ongles et leurs doigt, la crasse qui c'était accumulé dans la cave à vin du navire. La tache leurs avait pris une semaine, et les pauvres avaient finis les doigts en sang, à moitié rongé par la pourriture. Au sein de l'équipage, la décision avait été fortement critiqué et contesté; Wooyoung lui, vivait loin de tous cela, enfermé à longueur de journée dans ses quartiers, occupé a cartographier et a décider de la prochaine halte. 

Ce n'est pas particulièrement que Wooyoung appréciait être cruel, non. Mais cela faisait un mois maintenant qu'il était sur l'océan, et l'équipage qui l'accompagnait était bientôt devenu plus un outil  qu'un groupe d'individu réel. Il aurait surement détester ses actions actuelles si il avait le temps pour cela; mais voila, il n'avait pas le temps pour cela. 

Sa mission lui occupais déjà assez l'esprit. La couronne lui avait bien fait comprendre qu'il était impensable qu'il revienne sur le sol anglais sans l'objet qu'il était partit chercher; ainsi Wooyoung passait son temps dans son bureau, a cartographier la mer. Mais pour trouver la toison (dont pour être honnête, il ne connaissait que le nom, et un emplacement a peut près approximatif) n'était pas le seul problème; comme Grace l'avait mis en gare, nombre de navire, pirate, espagnol et marchand était également a la recherche de l'objet mythique. Ainsi, entre les abordages et les combats, était il difficile de garder le cap. Wooyoung posa son compas et regarda la carte; des points rouges la parsemait; la prochaine iles ou il se rendrait serait Lucayes, une petite ile qui, le commodore l'espérait, lui confirmerais qu'il était bien sur la bonne voie. Wooyoung lâcha ses outils de calculs, et sortit sur le pont.

Le temps était gris et humide, une tempête devait les avoir précédé. L'ambiance était lourde et animé.

-Que ce passe t-il quartier maitre? Demanda Wooyoung en fronçant les sourcils.

-Une lourde tempête a réduit les navires qui passaient par la en épaves, l'informa t-il en montrant les cadavres de bois pourris qui gisait sur l'eau. L'équipage pense qu'il s'agit d'une malédiction et ne veut pas passer par la.

Wooyoung fronça les sourcil.

-Hors de question que l'on fasse un détour pour de vulgaires histoires de marins! 

-Des histoires?! Ce ne sont pas des histoire! Un membre d'équipage c'était mis a hurler comme un fou au milieu d'eux, agitant les bras en l'air comme s'il cherchait a s'envoler, pensa Wooyoung. Tous ceux qui emprunte cette mer finisses par mourir! Regardez! Dit il en montrant les débris sur l'eau, ce n'est pas l'oeuvre d'une tempete! Son affirmation jeta un froid entre les matelots, et Wooyoung fronca les sourcils.

-Commodore.... 

-Enfermez le dans la cale. Ordonna Wooyoung au quartier maitre. L'équipage protesta, mais Wooyoung était déja repartit au niveau du gouvernail , ou il observait la mer sombre, devenue de nouveau calme.

-Nos hommes s'agitent mon Commodore... tenta de lui dire le quartier maitre, mais Wooyoung n'écoutait déjà plus; il lui fallait trouver la direction dans la brume épaisse qui les entourait. Commordore...

-Toute voile dehors quartier maitre le vent se lève!

-Mais... Leurs conversation fut interrompus par de grands cri et des agitements.

-Un homme! Un homme a la mer! L'équipage s'était réuni sur le pont; "lancez lui une corde", hurlait on, "chaloupe a la mer!" demandait on.

-Commodore, que devons nous faire? Wooyoung scruta un moment la mer; en effet, un homme reposait la, a moitié évanouie sur un radeau en bois de fortune. Son corps mou était trainé par le courant, mais il semblait encore en vie. Wooyoung hésita un instant. Commodore, votre équipage est... instable. Abandonner un innocent a son sort ternirait surement les relations entre vous et votre équipage... Alors...

-Chaloupe à la mer, ramenez cet homme sur le pont!  Le conseil de son quartier maitre n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd.

L'agitation se fit plus organisé: 6 de ses hommes descendirent une chaloupe à la mer, tandis que les autres sur le pont préparait 5 autres matelots pour le sauvetage. Wooyoung lui, était quelque peut désintéresser de cette mission repêchage, qui n'avait à ses yeux, pas grand intérêt. Car si Wooyoung ne croyait pas au mythe et à tout ses monstres bizarre que semblait redouter avec tant d'ardeur son équipage, il ne pouvait que constater que cette mer ne laissait derrière elle que des débris de navire. Bien sur il avait ses idées sur l'origine de ses mutilations; les pirates, évidemment. Grace l'avait mis en garde, les Pirates était encore plus redoutables que les Espagnols, surtout par les temps qui couraient. 

-Commodore! L'homme a été remonté sur le navire mais-

-Que se passe t-il encore, Demanda Wooyoung avec un léger agacement.

-C'est un pirate; lui chuchota le quartier maitre avec une certaine... crainte dans le regard. Wooyoung alla rejoindre ses hommes sur le pont, qui entourait le naufragé. 

-Il reprend connaissance! s'exclama l'un d'eux avec peur.

-Ecartez vous! ordonna Wooyoung avec agacement; il ne voyait pas pourquoi il fallait avoir peur d'un pirate, a demi mort, perdus et seul au beaux milieux de l'océan. L'homme était grand, a la peau légèrement halé. des cheveux noirs coupé courts tombait devant ses yeux. Il était plutôt beau jeune homme pour un pirate pensa Wooyoung; son visage était bien entretenu et seul une légère balafre au niveau du sourcil entachait son portrait. Sa chemise noir avait été a moitié arraché par ses membres d'équipage et on pouvait distingué, marqué au fer rouge sur sa poitrine, la lettre P.

-La vue vous plait?