Je ris, je pleure...

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Je ris, je pleure ; je suis honnête et me mens 

J'ai la joie extrême en endurant la souffrance 

La vie m'est intéressante et tellement dépourvue de sens

Je ne hurle pas mais je bous intérieurement 


Tout en même temps je suis seule bien qu'entourée

Et mes martyrs, eux, brillent dans mes yeux

Ma joie est inexistante et à jamais ne sera mieux 

Tout à coup j'explose et je me force à intérioriser 


Ainsi toi, le harceleur, de tes mots et actions tu me marques au fer rouge

Et quand je pense à en finir pour marquer la fin de mes jours

Je me retrouve seule, sans que rien à jamais ne bouge


Puis quand je pense à tes insultes toutes liées 

La lame du couteau se retrouve constamment sur mon poignet

Et je veux te hurler : Cette overdose, c'est toi qui provoquée ! 



Ceci est un poème que j'ai fait au collège. Il y avait un atelier aujourd'hui car c'est notre journée anti-harcèlement. Vous en pensez quoi ?

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