Chapitre 56

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Song of the chapter :
Coldplay--> paradise
I loose myself tonight---> one republic -> multimédia

Pour celles qui n'arrivent pas à le lire correctement.

Enjoy xx

*****
Nous avons roulé pendant plus de deux heures maintenant. Maywood est loin derrière nousvà présent et nous continuons à rouler le long de là route sans fin. Le soleil commence à peine à faire son apparition dans les couleurs sombres du ciel et les nuages blancs se déplacent hors de l'atmosphère rapidement. Il n'a pas plu, heureusement, et je doute qu'il pleuvra parce que les nuages sont presque hors de vue.

Comme je regarde par la fenêtre, je vois des milliers et des milliers d'arbres à venir. Je repère un deux montagnes dans le paysage et les lacs, mais surtout des plaques de couverture verte.

Je ne suis étonnamment pas fatiguée ce matin, même si je suis allée au lit à minuit et Que je me suis réveillée à six heures du matin. J'ai eu le temps de prendre le petit déjeuner avant Que Quatre ne soit venu me chercher.

Il ne m'a pas encore dit où nous allons. Tout ce qu'il m'a dit était de porter quelque chose avec quoi je pourraI grimper, donc je me suis retrouvée vêtu d'un sweat-shirt, un pantalon de yoga à bas prix, et mes anciennes Nikes. C'est sûrement une activité en plein air, et même si je ne jouis pas généralement des activités en plein air, je pense que je vais aimer celui-ci simplement parce que Quatre sera là.

Je tourne la tête légèrement pour regarder Quatre. Il porte ce qu'il Porte habituellement, un T-shirt noir, bandana bleu marine, mais au lieu d'un jean noir, il porte une sorte de pantalon de survêtement noir qui me fait un peu penser à ceux que portent les footballers. Il semble tellement concentré sur la route. Ses sourcils sont froncés comme d'habitude et sa mâchoire est tendus. Il n'a pas l'air en colère ou fou ou quoi que ce soit, tout simplement déterminé. Il semble tellement concentré sur la route.

Ses lèvres se courbent lentement alors qu' un sourire grandit sur son visage. "Ce n'est pas polie de fixer les gens" dit-il un peu trop arrogant.

"Qui a dit que je te fixais?"

"Je peux te voir du coin de mon oeil," son sourire grandit. Je sais qu'il m'a vu le fixer. Je ne voulais pas être discrète à ce sujet. Lui aussi me fixed, pardons, presque tout le temps je dirai, donc ça ne me dérange pas quand il me surprend à le regarder.

Alors que je regarde ailleurs, il place sa main sur ma cuisse.

"Je ne t'ai dit pas d'arrêter," sa voix est si profonde et rauque mon estomac volette un peu quand il parle. Et, quand il met ses largest mains sur ma cuisse, des frissons me traversent le corps.

Je ne lui ai pas dit que je suis tombée amoureuse de lui, et honnêtement, je ne vais probablement jamais le lui dire. Une de mes plus grande peur est d'être rejetée. Je sais que Quatre ne ressent pas la même chose que moi, et je ne voudrais pas le lui dire car il pourrait soit me rire au nez où me jeter au milieu de la route car il n'aime pas la façon dont vont les choses.

"Combien de temps avant que nous arrivions là-bas?" Je me plains. Nous avons roulé pendant des heures et mes jambes commencent à avoir des crampes à force de rester assise aussi longtemps. Je dois m'étirer.

"Patience. Nous y sommes presque." Il dit avant de prendre un autre virage.

"Laisse-moi deviner, tu m'amènes dans les
les bois au milieu d'une ville abandonnée dépourvue de civilisation pour me tuer? "Je demande alors que je regarde par la fenêtre. Nous roulons le long d'une étroite route de gravier qui est entouré par les arbres. Il n'y a pas d'autres voitures dans la vue et aucun signe de vie dans les parages.

POISON H.S [ major editing ] FrenchOù les histoires vivent. Découvrez maintenant