Mon séjour au camping chez ma tante tirait à sa fin. Mon ennui fut largement compensé par la fascination que j'ai pu éprouvé, matin et soir, pour l'énurésie de Nathalie. Chaque matin j'ai pu inspecter les contenus du sac en plastique qui contenait les protections imbibées de pisse de ma cousine. Pas une nuit sans pipis pour elle...
Le plus souvent je me rendais au bloc sanitaire dans une pour écouter des chuchotements et bruits évocateurs.
"Mets ça entre les jambes et remonte la culotte". J'entendis alors soit un bruissement de plastique de la culotte que l'on remontait ou bien les "clac-clac" un porte-couche à pressions. Je quittais le plus souvent le bloc sanitaire en avance pour observer ma tante et Nathalie revenir à la caravane. La démarche de ma cousine était à cette instant était mal assurée et dandinante, due à l'épaisseur des rectangles dont elle étaient garnies ses équipements en plastique. Le tout était systématiquement dissimulé par un peignoir.
Le retour des sanitaires était souvent ponctué par soit une émission télé, les jeux de 20 heures ! Ou bien un jeu de société. Sous l'avent de la caravane elle pouvait par inattention écarter un pan de son peignoir laissant dévoiler son entre jambe copieusement gonflé par ses protections.
Je me débrouillais toujours pour monter sur ma couchette et l'observer retirer son peignoir et voir ses fesses dont le pyjama ne pouvait dissimuler les trois rectangles en ouates qui formaient un rectangle grotesque car fortement proéminent.
Le matin en se levant je pouvais, du haut de ma couchette voir son gros cul et sa culotte plastique qui dépassait de son pyjama. Elle enfilait son peignoir pour dissimuler son équipement qui suscitait ma curiosité mélée à une excitation sexuelle intense.
Le dernier jour mon père doit aller me chercher. Ma tante et Nathalie
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Au camping
Short StoryUn garcon espionne de façon un peu perverse sa cousine énurétique.