J'ai 12 ans, mon prénom est Nicolas Je suis en cinquième. Tout semble normal... Les copains et moi même sommes un peu obsédés par le sexe... on regarde les filles plus pour les embêter par ce que cela ce fait soit disant et que vu que les troisièmes le font, eh bien ont le fait... les toilettes, les vestiaires... tout y passe, tout est bon pour les harceler, les embêter... les profs, les pions nous donnent des heures de colle... mais c'est comme ça... les mômes sont par définition chiants à 12 ans...
On n'avait pas de désir à proprement parler mais on savait qu'il fallait harceler les chipies qui étaient dans le collège...
Une fois, peu ou mal inspirés, nous faisions la courte-échelle pour observer les quatrièmes dans les vestiaires par l'intermédiaire d'une vitre située au dessus... L'ennui c'est qu'un pion passait par là... c'était trop bête Véronique ( que je connaissait en tant que voisine de chez moi ) venait de retirer son jean laissant voir un culotte à rayure taille basse.
Nous fûmes surpris et éconduits dans le bureau du principal adjoint. Comme cette bêtise venait comme l'aboutissement de nombreuses autres, la sanction fût pour moi un renvoi d'une journée.
La situation chez moi ne fût pas commode, c'était juste avant les vacances de pâques et j'avais aux yeux de mes parents trop déconné. Il était hors de question de me laisser seul la journée pendant ces vacances d'autant plus que j'avais laissé derrière moi un début d'incendie sur une maison abandonné pendant les vacances d'hiver. Bref mes géniteurs, travaillant tous les deux, ne voulaient en aucun cas me laisser livré à moi même à l'age de 12 ans.
Une solution fût trouvée. La sœur de ma mère, tata Lucienne était employée dans une école et disposait de ce fait de l'avantage des vacances scolaires. Elle avait une caravane assez fixée à demeure sur un terrain de camping où un plan d'eau était à proximité. Cette idée d'exil loin des copains ne m'enchanta guère mais l'autorité parentale eut le dessus. Mes conneries des vacances scolaires passées ayant échaudé mes géniteurs, je fût contraint de me plier à m'exiler pendant quinze jours chez tata Lucienne que je ne voyait qu'aux fêtes de Noël.
C'était une femme douce mais sachant se faire respecter, divorcée, elle avait à charge sa fille Nathalie de âgée à l'époque de 11 ans. Mes parents savaient que j'étais entre de bonnes mains avec ma tante.
Le terrain de camping était située à 150 KM de Paris dans l'Yonne. Mon père m'y accompagna en voiture et nous fûmes arrivés vers 6 heures du soir. Il repartit presque aussitôt après un léger apéritif. Il s'agissait d'un emplacement de camping avec une caravane et un avant en dur ce qui faisait de l'ensemble une véritable petite maison de campagne. Le tout étant entouré d'un jardinet propret. Ma tante décida de me faire une visite sommaire des lieux : toilettes communes situées à 100 m , salle à manger dans l'auvant, couchages dans la caravane, une petite télé.
Ma tante me montra le lit situé dans la caravane ; je dormirais dans le lit superposé, au dessus de celui occupé par ma cousine. Le laps de temps entre l'arrivée de mon père et de dîner fut assez court. Je pris un peu plus connaissance avec Nathalie, ma cousine. C'était une maigrichonne blonde avec des lunettes un peu capricieuse et peu avenante. Néanmoins les prémices le sa puberté étaient un peu visibles : sous sons t-shirt pointait deux mamelons d'un grosseur d'une mandarine. Elle était en sixième et, déjà, je présentait que se séjour allait me faire mourir d'ennui... Sans doute pour me faire réfléchir à mes conneries de ces derniers temps...
Le dîné passé, on regarda tous les trois une série à la télé. A 9h 45 ( les films finissaient tôt à cette époque...) l'heure fût venue d'aller au lit. J'emportais donc pyjama et brosse à dents au bloc sanitaire en accompagnant tata et ma cousine. Ma tante portait un grand sac de supermarché bien garni Je fis un brin de toilette et me lavais les dents dans un cabinet de clos, tandis qu'elles partaient au bloc des WC
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Au camping
Short StoryUn garcon espionne de façon un peu perverse sa cousine énurétique.