Scream : De la fiction au réel

Déclaration d'amour

Entre midi et deux, Gabriel et Romane déjeunent au réfectoire avant d'être rejoints par Clément.

Clément : - Gab, tu crois pas qu'on devrait renforcer la sécurité auprès d'Alizia ?

Gabriel : - J'aimerais tellement... Mais comment peut-on faire ? On n'est pas flics.

Romane : - Et c'est pas sûr que les flics vous laissent les commander.

Clément : - C'est même sûr du contraire.

Gabriel : - Au moins, on est là pour elle. C'est tout ce qui compte.

Alizia les rejoint à son tour.

Clément : - Salut sœurette, ça gaze ?

Alizia : - Oui, plus ou moins.

Gabriel : - Selma ne vient pas ?

Alizia : - Non, elle mange plus tard que nous.

Gabriel : - Ok, ok.

Il commence à devenir pensif, ce que remarque Clément.

Clément : - Gabriel ? On peut savoir où t'es, là ?

Gabriel : - Eh bien, j'ai décidé de ne pas m'en faire et de ne plus y penser. Mais vu que je ne sais pas les paroles, on va plutôt faire Slimane.

Alizia : - Hein ?

Gabriel : - Si tu savais comme je l'aime !

Alizia : - Non, arrête !

Il monte sur la table et continue à chanter.

Gabriel : - Ton petit cœur à la traîne ! Si tu as de la peine, tu trouveras dans mes bras des milliers de je t'aime ! Si tu savais comme je l'aime ! Ton petit cœur à la traîne ! Si tu as de la peine, tu trouveras dans mes bras des milliers de je t'aime !

Alizia rit nerveusement pendant que Clément bat le rythme en tapant des mains.

Gabriel : - Plus besoin de chercher, plus besoin je t'ai trouvé !

Alizia lui sourit.

Gabriel : - Ce n'est rien, tout le mal qu'on m'a fait, je t'ai trouvé ! Je pensais tout savoir de l'amour, mais ce n'est pas vrai ! Si je les aimais fort, toi c'est beaucoup plus fort !

Romane échange un regard avec Alizia avant de sourire.

Gabriel : - Si tu savais comme je l'aime ! Ton petit cœur à la traîne ! Si tu as de la peine, tu trouveras dans mes bras des milliers de je t'aime !

Puis il descend de la table et l'attrape par la main.

Gabriel : - Mon inspiratrice ! N'est-elle pas ravissante ?

Clément : - Allez, tout le monde ! Un peu de chaleur humaine !

Tout le monde commence à créer une ovation et Alizia se rasseoit.

Gabriel : - C'est pas fini.

Il la reprend par la main avant de sortir de sa poche un collier à effigie de panda.

Gabriel : - T'en fais pas, Alizia. Je sais que les choses ne tournent pas très rond en ce moment.

Il lui met le collier autour du cou avant de l'embrasser sous un tonnerre d'applaudissements.

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Pendant ce temps, Louise vient d'apprendre la mort de Nathanaël.

Louise, en larmes : - C'est une blague, j'espère ?...

Quentin : - J'ai bien peur que non, Louise...

Adrien : - Sincères condoléances...

Louise : - Je traquerai cet enfoiré moi-même !

Quentin : - On va t'aider.

Adrien : - Y a pas de raison que ce fils de pute nous échappe. On est une équipe.

Louise : - Vous avez une idée pour le choper ?...

Adrien : - Eh bien non, pas encore. Mais je te promets qu'on va trouver.

Louise : - Mmh...

Quentin : - Désolé, il faut que je vous laisse. J'ai trois visites à faire aujourd'hui. Bye.

Adrien : - Bye.

Louise : - Bye. (Si ce n'est pas pour mettre le costume.)