De tout temps.

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Tous, ou presque, nous y somme confrontés un jour.

Or, c'est le pire de nos atours.

Roués de coups,

Tête dans le flou,

Un flot ininterrompu nous coule dessus.

Retour en arrière difficile,

Et cicatrice a moitiée cousue.

Intérieurement tu hais cet imbécile,

Notons au passage ton aveuglement.

Vraiment crois-tu que ce soit aisé?

Rouer de coup passionnément,

Ainsi est-il devenu, fracassé.

Il ne peut pas changer ce qu'il est,

Sortir de cette spirale infernale,

Expier ses péchés,

Maîtriser la martingale,

Biaiser son cerveau conformé.

Le bourreau ici est tel que celui qui l'a formé,

Abruti par cette suite d'hommes armés,

Brisant de tout temps les chétifs et les desarmés.

L'affaire est ainsi, les forts oppriment,

Les faibles dépriment. 

Recueil de poèmes divers et variésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant