Chapitre 6

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mon psychologue s'assit sur la chaise a cote de mon lit. Je sais très bien qu'il est la pour que je lui parle de ce qui est arriver. Mais je ne sais pas quoi lui dire. Oui j'ai eu envie de sauter mais il est arriver, il m'a fait descendre et je lui ai donner un câlin. Jamais je ne suis tombé.

Je ne comprend plus rien. En plus il commence a parler. Je ne l'écoute pas. J'essaye juste de comprendre. Je suis fou. Je suis juste un putain de fou!

«HARRY! Écoute moi maintenant...

-mais... je n'ai pas sauter..

-alors, comment t'es tu retrouver au sol?

-je ne sais pas...»

je commenças à lui expliquer qu'il était venue. Qu'il m'avait dit de descendre. Que je lui avais fait un câlin. Enfin, tout ce qui est vraiment arriver...

Mais comme je m'y attendais, il ne me crue pas. Il m'a dit qu'il n'y avait personne sur le pont ou près de moi. Que, encore une fois, j'ai halluciner. Et que toute cette histoire n'est rien d'autre que le fruit de mon imagination. Comme il restait au moins une bonne demi heure avant la fin de la séance, il a appeler un médecins spécialiser... il m'a pris un rendez vous sans rien me demander, comme si je n'était pas présent dans la pièce.

« tu a rendez vous dans une semaine Harry. Tu n'a pas le choix.

-mais je ne suis pas fou!

-il en jugeras de lui même. Et puis, il lui faut plusieurs jours pour en arriver a une conclusion, alors tu auras plusieurs rendez vous, deux chaque semaine, pendant un mois.

-je n'irais pas!

-arrête de faire ton enfant. Tu iras Harry, c'est pour ta santé. Tu en a besoin.

-pour ma santé? Je ne suis même plus en bonne santé de toute façons! Je reste au fond de ma maison couper de tous 24 heures sur 24, je ne mange presque pas et ne dors presque plus alors je que j'y aille ou non ça ne changeras rien!»

je me suis énerver tout seul, alors je me lève d'un bond du lit et quitte la chambre. Je pousse les porte de la pièce mais comme un hôpital doit être calme et silencieux, la porte ne claque pas comme je l'aurais voulu. Je l'entend soupirer d'ici.

je suis conscient que je suis fou. Je le sais déjà mais je ne veux pas aller dans un hôpital psychiatrique. Tout bonnement parce que je ne veut pas avoir la confirmation que tout vient de ma tête. Qu'il n'est réellement pas la. Qu'il ne me parle pas mais que ma tête me le fait croire. Je ne veux pas me l'avouer au fond de moi.

Ma mère est assis sur une chaise un peu plus loin. Elle ne m'a pas entendu arriver mais je me suis déjà assis a ses côté. Elle a l'aire perdu.

«maman...»

elle tourne la tête vers moi et ses yeux sont rouge. Je sais que c'est a cause de moi et de «ma tentative de suicide»

je la fait souffrir depuis si longtemps. Même quand il était la je ne la traitais pas comme une mère mériterait d'être traiter. Je suis qu'un monstre. Comme je l'ai dit si souvent, j'aurais du quitter ce monde à sa place. Mais la vie en a décider autrement et elle en a même décider que j'allais être le monstre.

«harry... pourquoi tu a fait ça?

-je n'ai rien fait.»

elle arrêta de parler. Tout comme moi. Ils sont tous convaincu que j'ai sauter. Le silence deviens de plus en plus lourd. Quelque fois il y a des infirmier et infirmière qui passe, faisant claquer leur semelle de soulier au sol, mais sinon c'est le silence total entre moi et ma mère.

«harry, je sais que je ne devrais peut être pas te dire ça mais..

-alors ne le dit pas.

-mais ça fait deux ans. Tu devrait essayer de passer a autre chose, retourner au moins avec la civilisation et parler avec d'autre personne que ton psy. Il n'est plus la mais toi si. Alors fait un effort, il voudrait te voir heureux, pas te morfondre sans arrêt.»

les larmes on repris le dessus. A quoi bon cacher mes larmes? Tout le monde sais que je suis détruit et je n'ai plus plus de fierté ou quoi que ce soit a garder. Mon vie c'est envoler en même que la sienne.

« je n'ai pas envie de me sentir vivant si c'est lui qui devrait être en vie. Je devrait être a sa place maman. Et il ne serait pas heureux. Je l'ai fait souffrir, il veut me voir souffrir aussi. J'en suis sur. »

j'ai été plus froid que je le voulais. Et mes phrase plus sec.

« ne dit pas ça Harry. Tu a fait une erreurs, tu n'a pas eu le temps de t'expliquer, maintenant qu'il a sûrement eu le temps d'y réfléchir il s'en veut peut être lui aussi de la souffrance qu'il te fait. Ne pense pas que tu est le seul fautif dans tout cela. »

pourtant je le suis, le seul. Si je ne l'aurait pas tromper et fait autant souffrir que son ex petit ami, il ne serait pas mort. Il serait encore a mes coter. Alors oui. Je suis le seul et unique fautif dans toute cette histoire.

«harry? Tu n'était pas avec ton psy? Et tiens maman, ton café.

-merci gemma.

-non... je me suis énerver pour une raison bidon...

-ah. D'accord.»

elle s'assit a côté de moi. Sans rien rajouter et le silence total qu'il y avait un peu plus tôt avec ma mère revint. Elles boivent leur café sans rien dire. Je ne l'ai aimais pas avant et toute les deux le savaient alors il aurait quoi a me dire maintenant? Que je suis un connard?

Mon psychologue finit enfin par sortir de ma chambre. Son regard se pose sur moi mais je ne réagis pas. De toute façons, l'heure est passer. Il doit retourner a son bureau pour rencontrer c'est autre patient.

« au revoir Harry. J'espère te voir la semaine prochaine. Et surtout au rendez-vous que j'ai pris pour toi!

-bye...»

il salut ma mère et ma sœur en passant et continua sont chemin vers la sortit. J'irai. Au rendez-vous, je vais y aller et tout faire pour qu'ils disent que je suis normal et que je n'ai aucun problème dans la tête.

«tu sais, ta mère a raison. J'ai fait une erreur. Je veux te voir en vie. Tes fossettes et je veux retrouver le Harry que je connaissait.»

illusion -  tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant