chapitre 1

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Déjà deux ans. Deux ans qu'il n'est plus la par ma faute. Deux ans que je n'arrive plus a dire son nom ou même l'entendre sans me mettre a pleurer. Deux ans, que ses beau yeux bleu ne me sont jamais revenue. Deux ans qu'il me manque énormément. Deux ans que cette voix est planter dans ma tête et ne veux pas partir. J'ai toujours la phrase que j'ai entendu au cimetière dans la tête.

Quelque fois, elle me reviens, mais au passer et changeant la phrase; «tu ne devait pas y aller... c'était si dur à comprendre?» et quelque fois, cette voix change complètement la phrase, «je t'aime» mais celle-ci elle est beaucoup plus rare. Je l'ai entendu trois fois en deux ans. J'aimerais bien que ce sois lui...

je ne sais toujours pas d'où elle venais. Je n'ai jamais eu cette réponse. J'ai fait des centaine et des centaines de recherche sur internet pour savoir. Mais jamais je n'ai su. C'est peut être juste mon imagination.

Je vais voir un psychologue depuis deux ans aussi. Je lui ai parler de toute l'histoire. Quand je lui ai parler de la voix, il m'a dit que j'étais peut être schizophrène. Mais la voix ne viens que trop rarement alors nous avons vite nier cette hypothèse. Surtout qu'un schizophrène entend plusieurs vois en même temps lui donner des ordres. Mais moi, ce n'est qu'une seul vois et toujours la même.

Nous sommes donc toujours au point de départ. Toujours sans savoir d'où viens cette voix. Je ne la connais pas. Je n'ai jamais entendu cette voix de ma vie. Mon psychologue m'a dit que c'était peut être mon subconscient qui se sentais coupable d'y être aller quand il m'avais dit ne pas y aller. Mais je fait toujours a ma tête.

Depuis ces deux ans, j'ai emménager seul. Loin de Zayn, Niall, Liam, ma famille. Loin de tout. Je me suis renfermer sur moi même, que dit mon psychologue. Mais je ne pense pas. Je voulais seulement être au calme loin de la ville et au beau milieux de la campagne avec un petit chien tout mignon. Sa fait clicher de film d'amour tout sa.

je ne suis plus le garçons que j'ai été, le genre de garçons qu'il a toujours détester. Je ne couche plus avec aucune fille, comme je suis au fin fond de la campagne ces un peu normal mais bon. Et puis même si je serait encore en ville près de tout le monde, plus aucune fille ne voudrait coucher avec moi. Je ne suis plus comme je j'étais. Avant j'étais beau, grand, cheveux mis-long et bouclée, et maintenant, je suis un tas d'os, le cheveux long et tout dépeigner, je suis encore grand mais je ressemble a un petit vieux toujours replier sur moi.

bref, la seul personne avec qui je parle maintenant et qui m'est le plus proche est mon psy. Sa peut sembler bizarre, mais ces la seul personne qui m'écoute vraiment et avec qui je peut avoir une vrai conversation.

Bref, pour en revenir au sujet de départ, sa fait deux ans, deux ans que ma vie a changer du tout au tout et que d'après tout le monde, je suis devenue un putain de dépressif, mais je ne crois pas a tout sa.

«Harry, je vous parle...

-ah! Hum... oui désoler...

-sinon, cette semaine... tu a entendue des voix?

-hum... non, non je ne pense pas... mais j'ai fait un rêve.

-un rêve?

-oui... il était la...

-il... tu veux parler de lui?

-oui... il était en face de moi. Il ne disait rien. Moi non plus. On se regardait...»

je continuas donc de lui parler de mon rêve. Il m'écoutait et me posais des question sur ce que je lui disait. L'heure du rendez-vous était terminer. Je lui dit bye et quittait son bureau pour laisser place a la prochaine personne qui attendait sa la petite salle. Je continuas d'avancer doucement. Comme je venait de parler de mon rêve et de lui, je l'avait en tête et une larmes dévala doucement ma joue. Je ne l'essuya pas et l'écouta quand elle tomba au sol. La salle était tellement silencieuse que j'ai réussi a l'entendre tomber.

Je monta dans ma voiture quelque minute après. Je partit chez moi. Loin de la ville et loin de tout. Le silence et le calme. Juste, ma respiration dans la salle ou je serrait. Parce que oui, j'ai déjà choisi ou je serrait une fois chez moi. Et cette place, j'y vais souvent. Pas pour faire ce que le monde font a l'habitude. J'ai d'autre raison. Mes raison a moi. Qui sont secrète. Même mon psychologue n'en a aucune idée et je n'ai aucune envie de lui en parler.

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je viens tout juste d'arriver chez moi. Je dépose mes clés et mon porte feuille sur la petite table a l'entrer. Mon chiens viens me voir en courant et jappant. Je souris un tout petit peu et je lui donne a manger. 

Quand il est enfin occuper a manger je vais dans la salle de bain. Je ne ferme pas la porte a clés, qui pourrait bien être ici? Personne... je suis seul. Mais je mis suis habituer à la solitude et je ne peut pas dire que je n'aime pas sa, sa me plaît. Être seul me permet de réfléchir et de relaxer.

J'ouvris doucement mon armoire et pris ce que je cherchait. Une petite boite jaune. Un bruit de métal qui cogne ensemble résonne dans la pièce et je ne peut m'empêcher d'avoir un petit sourire au coin des lèvres. J'ouvre doucement la boite et six petite lame d'exactos ce trouve devant moi.

Il y en a une seule qui est du sens inverse des cinq autre. C'est elle que j'utilise a chaque fois. Elle a un peu de sang séché dessus. Je l'essuie toujours du mieux que je peut mais il en reste toujours un peu. Je la place a l'horizontal sur mon poignet, faisant un point de force sur le coin pour qu'il rentre dans ma peau. Et je tire vers moi doucement. Le liquide rouge commence a sortir de mes veine et couler sur mon avant bras. Je m'arrête et je regarde la goutte de sang tomber au sol.

Puis je recommence, une fois, deux fois, trois, quatre. Je m'arrête et regarde mon poignet en sang. Je souffre comme il a souffert avant de se donner la mort pour une de mes conneries. Je commence a pleurer a cause de cette penser. Une de mes larmes tombe sur mon poignet en sang. Je sens que sa me chauffe mais je suis rendu tellement habituer que sa ne me fait presque plus rien.

Après quelque minute passer a pleurer et regarder mes poignet je décide enfin a aller dans le bain que j'avais remplis quelque minute. L'eau chaud nettoie mes plaie et les aides a se refermer doucement.

Oui, moi, LE Harry Styles, je suis devenue un petit déchet dans l'univers. J'ai tuer mon petit ami. La personne que j'aimais le plus au monde je l'ai tuer. Et je suis toujours en vie. Je ne mérite tellement pas d'être encore ici et pourtant je le suis.

«la vie est vraiment injuste...»

«tout le monde le sais Harry. C'est pas nouveau...»

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je veux juste vous dire un gros merci parce que jamais je n'aurais penser faire une suite a illusion... je vous préviens aussi que les chapitre seront plus cour et prendront plus de temps  a sortir.  alors j'espère que vous avez aimer ce chapitre!

illusion -  tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant