Chapitre 17 : UNE NOUVELLE VIE SOUS LE SIGNE DE LA RENAISSANCE

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PDV d'Eléonore :

J'avance en pleurant avec ma valise dans les rues de la finca. Il est ignoble. Je n'aurais jamais pensé qu'il était capable de me dire ses horribles choses. Je repense à chaque parole et chaque mot vulgaire qui m'a dit en plus sous les yeux de Katia qui a dû être satisfaite. Je marcher mais je ne voyais plus rien avec mes yeux noyer de larmes. Je commence à avoir la tête qui tourne puis plus rien. Je me réveil petit par petit dans un lit. J'ouvre bien mes yeux et là je me rends compte que je ne connaissais pas cette maison. J'entendais deux voix différente raisonner dans la maison qui se chamailler. Je vois que ma valise était au pied du lit. Je me lève d'un seul coup du lit. J'avance petit par petit et je descends tout doucement l'escalier au cas où si j'ai été kidnappé et que mes ravisseur sont au salon. Je pose ma main sur mon ventre pour me donner encore plus de courage. Là je vois Mesut et Sergio assis sur un canapé en train de se disputer

Sergio : il faut qu'on prévienne Marcelo pour Eléonore
Mesut : moi je dis que ça ne sert à rien
Sergio : on la quand même rattraper attend avant qu'elle ne se pète le visage au sol
Mesut : c'est vrai qu'heureusement on est rentré de l'entrainement plutot sinon je ne sais pas ce qu'il serait arrivé
Sergio : tu sais quoi je vais dire appeler Cristiano pour lui dire que sa copine, je voulais dire sa belle sœur
Eléonore : non
Mesut et Sergio : se retourne
Sergio se lève : va t'allonger
Eléonore : non sa ira je ne suis pas en sucre
Mesut : tu veux qu'on appelle un médecin ?
Eléonore : non c'est bon je vais bien
Sergio : tu as quand même fait un malaise
Eléonore : c'était rien du tour. N'appelez pas Marcelo et encore moins Cristiano
Mesut : mais...
Eléonore : j'ai dit non. Es ce que vous pouvez m'amenez à l'aéroport ?
Sergio : tu es enceinte de combien de moi ?
Eléonore : pourquoi tu veux le savoir
Sergio : répond à ma question
Eléonore : je suis entré dans mon 8 eme mois
Sergio : tu n'as plus le droit de prendre l'avion
Eléonore : bien sûr que si
Sergio : pas du tout je sais de quoi je parle
Eléonore : ah bon ? (ironie). Je pensais que les footballeurs vous étiez des cas sociaux
Sergio : parle nous bien (s'énerve)
Mesut : tu as de la chance qu'on était passé par là. Tu aurais pu te faire mal et faire mal a ta fille...
Eléonore : je suis une mère irresponsable (s'énerve)...
Mesut : je n'ai jamais dit ça
Eléonore : tu l'as pensé. A vos yeux je suis la méchante dans l'histoire celle par qui le scandale est arrivé. J'ai couché avec le frère de mon mari il faut maintenant que je me fasse sujet
Sergio et Mesut :...
Eléonore : vous faites tous fausses route, je ne suis pas une fille facile (voix brisé)
Mesut : on a jamais dit que...
Eléonore : aller prendre la défense de votre portugais
Sergio : hein (ne comprend pas)

Je ne leur laisse même pas le temps de me répondre que je repars à l'étage prendre ma valise avant de redescendre. Ils n'avaient pas bougé de leur place

Sergio : tu vas aller où ?
Eléonore : je vais quitter le pays et aller en Australie
Sergio : tu ne pourras pas partir
Mesut : Sergio à raison tu ne peux pas prendre l'avion. Ils ne vont pas te laisser passer
Eléonore :...
Mesut : tu es obligé de rester en Espagne
Eléonore : ...
Sergio : une question tu t'ai disputé avec quelqu'un ?
Eléonore : pourquoi tu me pose cette question ?
Sergio : tu as le visage sécher de larme
Eléonore : ça ne te regarde pas. Amener moi a l'arrêt des bus
Mesut : je te demande pardon
Eléonore : je veux que tu m'amènes à l'arrêt des bus. Je ne peux pas prendre l'avion mais je peux prendre le bus
Sergio : tu comptes aller en bus magique en Australie
Mesut : éclate de rire
Eléonore : très amusant je me tort de rire. Je ne veux plus rester dans la capitale, cette ville m'étouffe. Je vais aller dans une autre ville d'Espagne accoucher laba puis je partirai avec mon bébé en Australie
Sergio : Cristiano est au courant de ça...
Eléonore : je n'en ai rien à faire de Cristiano pourquoi tu me parles de lui tout le temps (s'énerve)
Sergio : c'est bon ne t'énerve pas c'est juste une question
Eléonore : vous m'amenez ou j'appelle un taxi ?
Mesut et Sergio : se regarde
Eléonore : les regarde
Sergio : c'est bon on t'emmène
Mesut : tu veux aller dans quelle ville en Espagne ?
Eléonore : pourquoi cette question
Mesut : tout simplement pour savoir à quelle heure va partir le prochain
Eléonore : réfléchit
Sergio : il manque plus que tu vas à Barcelone (en rigolant)
Eléonore : Barcelone
Mesut et Sergio : quoi (surpris)
Eléonore : je veux aller à Barcelone
Sergio : choisit une autre ville
Eléonore : c'est ma vie pas la tienne (s'énerve)
Sergio : déjà soit contente que je t'ai recueilli chez moi (s'énerve)
Mesut : Sergio...
Sergio : il n'y a pas de Sergio qui tient. Tu as vu comment elle me parle celle la
Eléonore :..
Sergio : on la dépose comme sa on sera débarrasser d'elle
Eléonore : blesser
Mesut : prend la valise d'Eléonore

On sort de la maison et on se dirige vers l'une des voitures de Sergio. Je monte à l'arrière. Sur le chemin du trajet personne ne parle. Apres plusieurs minutes on arrive enfin. Sergio sort de la voiture et prend ma valise. Je sors moi aussi

Sergio : maintenant démerde toi
Eléonore :...
Sergio : quand des personnes essayent de t'aider au lieu de leur parler comme un chien tu devrais mieux les remercier (s'énerve). Je me demande comment Marcelo a pu supporter sous son toit une fille qui prend de haut les gens

Je le vois qui repart dans sa voiture en claquant la porte. Lui et Mesut me regarde de travers avant de partir. Ils ont raison j'aurais dû les remercier mais je n'ai toujours pas digère l'humiliation que Cristiano m'a fait. Je prends ma valise et je vais prendre mon ticket de bus. La vendeuse m'a dit que le trajet durera près de 3heures. Je commence à voir faim. Je vais au distributeur pour me prendre un sandwich mais je me rends compte que je n'avais plus d'argent sur moi. Je vais à un distributeur, je mets la carte de Cristiano mais on me refuse la carte. Je décide d'appeler la banque.

Eléonore : bonjour, je suis cliente dans votre banque et j'ai un problème. La carte de...la carte de mon frère ne marche plus
Banque : donner moi le numéro de votre carte bancaire
Eléonore : lui donne
Banque : patienter quelque minute

Alors que j'attendais sa réponse, je regarder avec envie un monsieur qui manger un sandwich j'ai tellement faim

Banque : mademoiselle
Eléonore : oui
Banque : nous avons trouvé le problème
Eléonore : c'est quoi ? J'espère que vous l'avez régler parce que j'en ai besoin
Banque : votre frère à bloquer la carte
Eléonore : je vous demande pardon (choquer)
Banque : il a bloqué son compte vous ne pouvez plus retirez...

Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase que je lui raccroche au nez. Je n'arrive pas à y croire quel enfoiré il ma couper les vivres. Ne panique pas tu vas trouver quelque chose pour te nourrir et nourrir Livia. Je le hais Cristiano qu'il aille en enfer de ce qu'il vient de me faire. S'il arrive quelque chose à ma fille il sera responsable. Plus jamais je ne verserais une larme pour cette ordure. Je n'ai même pas le temps de reprendre mes esprits que j'entendais la femme annoncer que mon bus était arrivé. Je me diriger vers le bus, présente mon billet qui vaut très chère puis je pars m'installer au fond avec ma valise. Durant les 3 heures de trajet, j'ai fait que dormir. Mon estomac me fait mal tellement j'ai faim. En plus de ça, devant moi il y avait un monsieur qui empeste l'alcool. Je suis à deux doigts de vomir. La nuit est tombée, on arrive enfin à Barcelone, a peine je sors du bus que je vomis. Je voyais des filles pouffer de rire et me montrer du doigt. Je prends ma valise et je me dirige à pied en ville. Je marcher en regardant avec envie les brasseries et les restaurants. Livia me donner des coups dans mon ventre. Je pense que elle aussi à faim. Je commence à être fatiguer. Je pars m'assoir sur un banc puis je reprends ma marche pour ne pas que je dorme. Je commence à avoir les jambes lourdes. Je me rends compte en regardant ma montre que sa fait plus d'une heure que je marche. Je regarde autour de moi il y avait pleins de maison chic à mon avis elles doivent couter des millions. Mon estomac gargouillé beaucoup. Je regarde de tous les côtés, je n'ai jamais fait de ma vie mais je n'ai pas le choix. Je pose ma valise par terre et je fouille dans une poubelle. Je cherche mais il n'y a pas de reste de nourriture. Je reprends ma marche et je fais la même chose avec une autre poubelle. Il y avait rien non plus. Je marche de nouveau et par le plus grand du hasard je vois un sac de course près d'une porte qui était ouvert. Je pose ma valise par terre et je prends mon courage a demain. Tu n'aies pas une voleuse Eléonore mais tu n'as pas le choix tu dois nourrir Livia. J'avance vite vers la porte et je prends le sac de course. Je jette un coup d'œil dedans il y avait plein de bonne chose à manger. A cet instant je vois un homme sortir de sa maison il me fait pense à quelqu'un de connu. Je le regarde attentivement il s'agit de Lionel messi. Il maquer plus que ça

Léo : pose ce sac
Eléonore :..
Léo : je t'ai dit de poser ce sac avant que j'appelle la police
Eléonore :...
Léo : ce n'est pas possible je ne peux pas rester tranquille sans qu'un fan vienne m'harceler (s'énerver). Maintenant pose mon sac de course et va-t'en
Eléonore : je suis désolé (pose le sac par terre)
Léo : la regarde attentivement et remarque qu'elle est enceinte
Eléonore : c'est la première fois que je fais sa
Léo :...
Eléonore : commence à pleurer
Léo : ce n'est rien il ne faut pas pleurer
Eléonore : non ce n'est pas rien (essuye ses larmes) je vole de la nourriture pour me nourrir moi et mon bébé
Léo :...
Eléonore : tous sa à cause du p...De cette ordure qui m'a mis enceinte (pleure)
Léo : lui donne un mouchoir
Eléonore le prend : désolé de vous avoir déranger, je vais vous laissez tranquille (va pour partir)
Léo : attendez
Eléonore : se retourne
Léo : venez manger chez moi
Eléonore : je ne veux pas de votre pitié et en plus je ne veux pas vous dérangez
Léo : déjà tu peux me tutoyer ensuite tu ne vas pas me déranger et en plus je suis nul en cuisine
Eléonore : le meilleur footballeur au monde ne sait pas cuisiner ? (essuye ses larmes et sourit)
Léo : enfin tu m'as reconnu je pensais que tu ne savais pas qui j'étais
Eléonore : sourit
Léo : tu sais quoi, je vais déposer ce sac chez moi et je t'invite au restaurant
Eléonore : tu vas inviter un inconnu enceint au restaurant ?
Léo : oui comme je le dis souvent c'est ton jour de chance
Eléonore : quel chance que j'ai (ironie). J'allais commettre un délit oui c'est mon jour de chance comme tu dis
Léo : ce n'est pas grave tu sais moi aussi j'aurais fait la même chose si j'étais à ta place
Eléonore : croise les bras
Léo : alors tu acceptes ?
Eléonore : je ne sais pas
Léo : tu n'as pas envie de manger une bonne paella catalane ?
Eléonore : je n'en ai jamais mangé
Léo : ça n'à rien avoir avec la paella espagnol. Aller vient j'en suis sûr que tu vas aimer
Eléonore : non je ne peux pas (pense à son argent)
Léo : c'est moi qui invite tu auras juste à manger (sourit)
Eléonore : bon c'est d'accord

Il prend son sac de course le dépose chez lui et revient vers moi. On se dirige vers l'une de ses voitures. Il met ma valise à l'arrière, je pars m'installer sur le siège. Il commence à démarrer. Sur le chemin je n'osais pas trop parler, je regarder par la vitre les rues barcelonaises. Apres plusieurs minutes on arrive devant le fameux restaurant. Ce restaurant était situé près de la plage. A peine on arrive que le serveur nous installe dans un coin à l'abri des regards. Je pense que c'est un habituer car il nous a posé deux grosses assiettes de paella sans qu'on commande avec une carafe d'eau. Je sentais son regard sur moi. Il me dévisager beaucoup. Ce qui me met mal à l'aise

Tome 1 :Un précieux secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant