Chapitre 18 : LE PASSER FINIT TOUJOURS PAR NOUS RATTRAPER

1.6K 71 10
                                    

PDV de Cristiano ;

Je le vois qui me regarde bizarrement après lui avoir confessé cet aveu

Marcelo : tu es entrain de me dire que si tu lui as parlé comme chien et j'en passe c'est pour quelle te déteste afin de t'oublier facilement ?
Cris : oui
Marcelo : donne-moi une pelle pour que je t'assomme
Cris ;...
Marcelo : mais pourquoi tu fais ça ? Tu es un gamin ou quoi ? (s'énerve)
Cris : pas la peine de t'énerver
Marcelo : mais il y a de quoi l'être. Tu l'as rabaissé plus bas que terre car tu te voile la face depuis le début. Je suis à deux doigts de t'étrangler.
Cris : je ne vois pas de quoi tu parles
Marcelo : arrête se enfantillages avec moi (s'énerve). Tu l'aimes depuis très longtemps mais monsieur fait le gamin capricieux...
Cris : je ne suis pas un gamin capricieux (s'énerve)
Marcelo : tu sais quoi elle ne te mérite pas enfin de compte. Je pense qu'elle a besoin d'un homme qui l'aime et la protègera pas de deux portugais fou furieux. J'espère de tout mon cœur quelle va refaire sa vie dans la ville où elle est actuellement à sa place je t'aurais déjà mis une balle dans ta tête
Cris :...
Marcelo : je fais ça pour quelle me déteste (l'imite) tu fais vraiment pitié. Je n'aurais jamais pensé que tu serais capable de lui bloquer sa carte de crédit pour pas quelle se nourrir et nourrir ta fille. Ah oui j'ai oublié que tu n'as pas de fille aussi (ironie)
Cris : je t'ai déjà répéter que ce n'est pas moi. Je lui ai transféré de l'argent sur ce compte.
Marcelo : mais oui c'est cela
Cris : tu n'as qu'à pas me croire je m'en fiche (s'énerve)
Marcelo : tu t'en fiche aussi de savoir que Livia doit mourir de faim (s'énerve)
Cris : hein c'est qui Livia ? (ne comprend pas)
Marcelo : c'est le prénom de ta fille abruti, j'avais oublié que monsieur s'en fiche

Elle lui a déjà donné un prénom au bébé. Je m'assois de nouveau. Celui-ci parler je n'écouter rien à ce qui disait.

Marcelo : tu as raison reste dans ta bulle (part)
Jorge en arrivant : qu'es qui te voulait ?
Cris :...
Jorge : cris...
Cris : il est venu me parler d'Eléonore
Jorge : il devrait arrêter de s'occuper d'elle et privilégier sa carrière. J'ai eu une discussion avec José il est très en colère
Cris : c'est de sa faute. Il m'a cherché la dernière foi
Jorge : qu'es qui t'a dit ?
Cris : que j'étais là sans être la
Jorge ; ensuite
Cris : c'est tout
Jorge : ne me prend pas pour un imbécile il m'a dit que lorsqu'il a parlé de Eléonore Marcelo et toi vous êtes devenu fou
Cris : mais oui c'est ça, il lui a manqué de respect ce vieux porc (s'énerve)
Jorge : Cristiano
Cris : il n'y a pas de Cristiano qui tient. Je commence en avoir marre de lui, du club et de cette ville (se lève). J'apprends qu'Eléonore a déjà donné un prénom au bébé ensuite qu'une personne lui a bloqué la carte de crédit
Jorge : quel carte de crédit (lève un sourcil)
Cris : je lui ai donné une carte de crédit pour faire des achats. Marcelo vient de me dire que sa carte et bloquer. Pourtant je lui ai envoyé de l'argent
Jorge : c'est moi
Cris : c'est toi quoi ?
Jorge : c'est moi qui est bloquer la carte...

Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase que je me lève d'un bond. Je l'attrape par le col et je le colle au mur

Jorge : lâche moi tu me fais mal
Cris : TU ES DEVENU FOU. TU VEUX QUE MA FILLE MEURE DE FAIM
Jorge : attend laisse mon t'expliquer...
Cris : JE N'AURAIS JAMAIS PU PENSER QUE TU ETAIS COMME CA
Jorge : je pensais qu'on t'avait volé la carte c'est pour ça que je l'ai bloqué
Cris : le relâche
Jorge : j'ai vu des achats pour des vêtements de bébé et pour du vêtement de femme enceinte. Je ne savais pas que Eléonore porter ton enfant et que c'est elle qui l'utilise cette carte
Cris :...
Jorge : Cristiano...
Cris : je suis désolé. Je pensais que tu voulais faire du mal au bébé

Je pars au salon m'installer sur le canapé. Jorge vient peut après s'assoir à côté de moi. Celui-ci me dévisager

Jorge : tu veux toujours avoir la garde exclusive de ta fille
Cris :...
Jorge : Cristiano
Cris : bien sûr...que oui (en bégayant)
Jorge : il te suffit d'un mot et je stop tout avant de lancer la machine. Tu pourras plus retourner en arrière quand les procédures seront lancées
Cris ; c'est quoi au juste ?
Jorge : tu devrais le savoir vu qu'on a fait la même chose avec junior
Cris : tu peux me redire
Jorge : si le juge accepte et j'en suis sûr qu'il va accepter. Eléonore devra revenir à Madrid pour accoucher. Des quelle aura mis au monde ce bébé ne sera plus le siens aux yeux de la loi mais le tiens. On lui donnera 12 millions d'euros. Elle aura de quoi vivre jusqu'à la fin de sa vie
Cris : non...
Jorge : je lui donne 13 millions alors
Cris : ce n'est pas de sa que je parle
Jorge : le regard surpris
Cris : je ne veux pas que va voir le juge
Jorge : tu en es sur ?
Cris : oui je ne veux pas qu'elle soit retirée à sa mère
Jorge : junior...
Cris : la mère de junior et Eléonore ce n'est pas pareil. La mère de junior est une prostituée, Eléonore est une femme respectable et je le connais très bien. Je sais quelle s'occupera bien du bébé
Jorge : pourquoi ce changement
Cris : lorsque ma fille grandira et me demandera ou est sa mère biologique. Je lui répondrais quoi
Jorge : c'est sa ton excuse (lève un sourcil)
Cris : je n'ai pas à te rendre des comptes
Jorge : je suis ton agent tu dois tout me dire. Je dois toujours être derrière toi pour ramasser les pots cassé. Tu as oublié pour la soirée du gala que c'est moi qui est tout nettoyé derrière. Si je ne l'aurais pas fait tu ferais toujours la une des média

Cris : fait juste ce que je te demande
Jorge : qu'es que tu vas dire à Irina ?
Cris : quoi Irina ?
Jorge : tu as oublié qu'elle va adopter le bébé
Cris : déjà le bébé s'appelle Livia ensuite je lui expliquerais ce que je viens de te dire
Jorge : tu crois qu'elle va te croire (ironie)
Cris ; bien sûr que oui. Ce n'est pas des paroles en l'air ce que je suis en train de te dire
Jorge : se retient de rire
Cris : tu as quoi à sourire (s'énerve)
Jorge se lève : oh rien (regarde sa montre) bon je dois y aller. Je vais appeler tes avocats
Cris : ok
Jorge : regarde Cristiano avec un grand sourit et va appeler les avocats

Je prends mon portable et je décide d'appeler Eléonore pour lui dire que je renonce à lui enlever le bébé. A peine je compose le numéro qu'une boite vocale me dit

Tome 1 :Un précieux secretOù les histoires vivent. Découvrez maintenant