18.Ensemble

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J'étais chez ma grand-mère, j'ai été incapable de fermer l'oeil de la nuit. Il revenais toujours dans mes penser, je me sentais mal par rapport à notre dispute. Je voulais le revoir lui dire que malgré toute la rage que j'ai envers lui, que je ne voulais pas le perdre. En plus je devais savoir si il m'avait dénoncer, sa me serai fatal...
Je décide de me lever du lit à ma mère, le réveil fut long et ardu. J'étais assit sur son lit et j'ai réaliser quelque chose, j'étais réellement une meurtrière. Au début, dans mes premier meurtre, je ne réalisais pas que c'étais bien vrai. Mais aujourd'hui oui, j'étais quelqu'un de mauvais, je devais vivre avec cela sur la conscience toute ma vie. J'étais assis les mains sur la tête quand ma grand-mère à cogner à la porte.

-Est-ce que tu est réveillée?

-Euuu...oui oui j'arrives dans pas long

-Prend tous ton temps, me répond t-elle

Justement il me manquait quelque chose, du temps. Si je ne me dépêchais pas les policiers seront arrivés chez le voisin et moi je serais toujours ici. Si ils me voient, ils comprendront que j'ai un lien avec tous ces meurtres. Je devais partir et au plus vite!

Je cours quand la chambre à ma mère, je ramasses tous mes effets personnel et je décide de partir.

-Tu vas ou comme ça? Me demande ma grand-mère

-C'étais bien gentil de m'accueillir mais je dois partir

-Tu dois aller où?

-À l'école

-Mais on n'ai samedi ma petite

J'avais pas le temps de discuter je devais partir et vite.

-Ouin mais j'ai des cours de rattrapage et je suis en retard. 

Elle allait me parler mais je suis partie en courant.

Je suis face à la maison de l'homme que j'ai tué, il n'y avait aucune auto de police. J'étais soulagée, si ils seraient sur les lieux du crime j'aurais été morte. Je décide de continuer mon chemin jusqu'à chez Gabriel. Je marche   et je trouve le trajet très long, sans fin.
Tous le long du trajet ma conscience me parle, un jour les policiers vont comprendre que je suis coupable et je serais envoyer en prison. Je devais faire plus attention au meurtre que je commet.
J'arrive en face de chez Gabriel, je monte les marches. J'attend quelque seconde devant la porte, j'hésite.
Est-ce que je dois y aller?
Est-ce qu'il va me rejeter?
Je suis perplexe, en arrivant mon idée était claire mais je ne suis plus sûre de ma décision. J'ai de plus en plus peur qu'il ne veule plus de moi.

Pendant que j'étais perdu dans mes pensés, j'entend un coup de fusil. Le coup résonne dans mes oreilles, le bruits était très fort. Après quelques secondes paralyser je réalise que le bruit vient de l'appartement à Gabriel.
J'essaye d'ouvrir la porte mais elle est verrouillée, je frappe de toute mes forces. Je pleure, j'ai tellement peur qu'il ce soit tuer. L'adrénaline ne fait pas effet, je ne me sent pas plus forte mais de plus en plus faible. Je cris de toute mes forces mais personne vient m'aider. Je décide de passer par le balcon, je court à l'extérieur. Je suis incapable de penser tous ce fait systématiquement. Je saute et m'accroche au rebord, je prend le peu d'énergie que j'ai pour enjamber le balcon. J'ouvre à porte, j'avais tellement peur de le retrouver mort. Quand j'ouvre la porte je tombe en sanglot, je suis incapable d'aller le voir.
Il était assit au sol le fusil à la main, lui aussi il pleurait, mais ce n'était pas de la tristesse mais bien de la colère. Le court vers lui pour lui retirer le fusil. Il ce met à hurler

-Laisse moi mourir! Donne moi le fusil! Je dois le faire je ne mérite que ça!

J'étais terrifiée, il avait vraiment essayer de ce tuer. Je met mes bras autour de sa tête et je lui dit

-Arrête Gabriel, tu ne mérite pas sa, tu le sais bien!

Je pleurais de plus en plus, j'étais incapable de le voir comme cela, je devais l'aider.
Il ce mis à pleurer, il était au bas du gouffre.

-Pourquoi j'ai bouger, si je ne l'aurais pas fait je serais mort.

-Tu ne peux pas mourir j'ai besoin de toi.

J'ai besoin de lui, il est le seul avec qui je suis réellement moi.
Je me détache de lui et je le regarde dans les yeux. Je m'avance vers lui, pour l'embrasser mais il me repousse.

-Non Amy, juste non....

-Quoi? Pourquoi?

Pourquoi refusait-il de m'embrasser?

-Je ne peux pas, je t'ai fais trop de mal,tu mérite mieux qu'une ordure comme moi.

-Gabriel, nous sommes plus forts que ça, nous allons nous en sortir, ensemble.

Je m'approche et je l'embrasse. Je voulais être avec lui, je l'aimais réellement, j'avais toujours besoin de lui.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 20, 2016 ⏰

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La vengeance d'une cannibaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant