Chapitre quatre.

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- Harry, tu aurais vu mon stylo noir Mont Blanc ? Tu sais celui que ma mère m'a fait offert, je te l'avais montré il y a quelques jours et j'ai oublié ou je l'ai mis, je l'ai peut être laissé dans ta chambre...
- Il n'y a rien, tu as du le perde.
- Ça m'étonnerait, avait soupiré Louis, j'y fais vraiment attention, j'ai l'impression de perde la tête à perde toute mes affaires.
- Rien ne se perds, rien ne se crée, tout se transforme, avait-je ajouté fièrement tandis que j'avais senti la pointe en métal du stylo entrer en contact avec mon dos.

Il était sortie de ma chambre, les sourcils froncés, ses cheveux dégagés et j'avais retenu mon ricanement.

Je ne m'étais pas senti le moins coupable du monde, au contraire j'avais eu cette sorte de vengeance qui grandissait petit à petit autour de moi et qui s'accumulait comme un démon et me poussait à agir comme ça. Je m'étais senti grand, sournois et rusé. Je m'étais senti invincible. Les gens m'avait aimé pour ce que j'étais tandis que moi je m'étais détesté pour ce que je fus. Je haïssais toute ses choses qui aurait pu me rendre heureux. Je ne m'étais pas rendu compte de ce que je fessais. Et que tout avait une fin.

- Harry ? Tu m'écoutes ?

- Quoi ? Continu, j'avais répondu distraitement.

- J'étais en train de te parler qu'ils sont prévu de renvoyer les émigrés dans leur pays qui sont dans des états instables ? Tu te rends compte ?

- Ça me révolte.

- Mais Harry ! Arrête de te foutre de moi, j'ai l'impression de parler avec un psychiatre qui ne sait rien faire d'autres que d'hocher la tête à chaque phrase que je débite.

- Si tu t'y connaissais Louis tu serais que les psychiatres ne sont pas toujours comme dans les films, j'avais répondu. Il avait rougit distraitement et je m'étais demandé qui était le plus âgé de nous deux. J'avais l'impression qu'il découvrait le monde petit à petit et je l'en plaignais, j'avais fais ce grand bon beaucoup trop tôt. C'était mignon un certain temps mais son innocence ne lui serait pas toujours utile.

J'avais engloutie ma part tandis que Louis était resté silencieux tout le long du repas et je m'étais mordu la joue peut sur s'il avait été intimidé par mes paroles.

- Tu fais quoi ce soir ? j'avais demandé, ce silence trop gênant qui rendait l'atmosphère lourde.

- Je vais au cinéma, tu sais celui sympas à côté d'Oxford Circus, tu veux venir avec moi ? J'y vais avec Alessandro.

- L'italien ? Pourquoi pas, j'avais esquivé un sourire.

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Les Larry moments approche ! Encore un petit chapitre que je modifierais encore prochainement ! Faites moi savoir vos avis aussi bien positifs que négatifs, les fautes que j'ai faites et ce que vous pensez de la fiction !

Bisous.

Calomnie // Slow UpdateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant