Prison Break

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«On prend tous un sens interdit un jour.»

Michael Scofield.

«Un ami, ça se perd pas de vue, un ennemi encore moins.»

John Abruzzi.

«Crois-moi, on va récupérer cette clé, fais moi confiance. Et si c'est une fois que tu l'auras chiée c'est pas grave.
-Ce que tu peux être vulgaire parfois mon chéri.»

Scofield et T-bag.

«Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.»

Michael.

«Tu sais, Teddy, tu me déçois beaucoup. Et pourtant il y avait de la marge parce que j'attendais pas grand chose de la part d'un fils consanguin d'une attardée mentale. Eh oui, Teddy, j'ai lu ton dossier psychiatrique précisément où ça raconte que ton père a violé sa mongolienne de soeur, et que, neuf mois plus tard on a vu débarquer un petit Teddy.»

Bellick.

«Pas mal, mais le pantalon est un peu court, vous trouvez pas ?
-T'as qu'à te couper les pieds, c'est ton rayon !»

Abruzzi et Lincoln Burrows.

«Cette fois, j'ai besoin de toi, il faut être deux pour s'occuper de ce mur. On va tendre un drap.
-Non sûrement pas. On tend un drap quand on a envie de faire des gentillesses à son compagnon de cellule, pigé ?
-C'est ta réputation de taulard qui compte le plus ou te tirer d'ici ?»

Michael et Sucre.

«Je vais te sortir d'ici.
-C'est impossible.
-Pas quand on a conçu les plans du bâtiment. Là c'est possible.»

Michael et Lincoln.

«Tu connais les plans par coeur ?
-Mieux que ça, je les ai toujours sur moi.»

Lincoln et Michael.

«Tu es plutôt changeant comme mec, John.
-Je préfère imprévisible.»

Michael et Abruzzi.

«Ils m'ont abandonné sur le rivage, et maintenant, j'espère prendre le large.»

Alex Mahone.

«Je ferais tout ce que tu veux, tu vois ces mains ? Elles creusent comme des pelles ! Tu veux allée en Chine ? Je creuse jusqu'en Chine ! Je creuserais comme un putain de blaireau s'il le faut !»

Sucre à Michael.

«Va chercher Mahone.
-Je croyais que tu le faisais marcher.
-Maintenant on va le faire courir.»

Michael et James Whistler.

«Il y a trois choses inévitables dans la vie : la mort, les impôts et l'appel.»

Fernando Sucre.

«D'accord, tu me rejoins comment ?
-...
-Michael ?
-Sara...une personne doit rester et une autre doit ouvrir cette porte. Cette autre personne...c'est toi.
-Très bien, alors je te garderais la porte ouverte !
-Tu comprends pas... C'est le seul moyen.
-Michael, je ne partirai que si tu viens avec moi !
-Mais je viens avec toi !
-Tu sais que je t'aime ?
-Moi aussi je t'aime...Vas-y...Va t'en Sara...
-...»

Sara Tancredi et Michael.

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